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CHRONIQUE DE LA LUTTE CONTRE LA SERVITUDE.
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Sommes-nous mûrs pour la servitude par la peur ?
Quelques trente-cinq personnalités du monde scientifique appellent à la dissolution du « Conseil Scientifique » (hum !!!! ;Je confirme la qualité de Conseil, mais je conteste formellement celle de Scientifique).
Ecoutez jusqu’au bout cette interview.
Le
Dr TROTTA a raison de bout en bout. Il évoque le cas du Dr Michel GEFFARD que
j’ai très bien connu. J’ai siégé à Bordeaux dans le jury de thèse de l’une de
ses élèves. Une thèse de haute volée, sur l’image interne (le récepteur
musculaire de l’acétylcholine) de l’antigène dans le cas de la myasthénie (anticorps anti-idiotypiques).
GEFFARD a été radié de l’ordre des médecins par une bande de nuls, mais des
nuls tout-puissants. Tout cela est lamentable. Il a guéri des gens de la
sclérose en plaque, mais il ne l’a pas fait dans les règles. En France, pour la
Covid-19 comme pour la sclérose en plaques il est nécessaire de mourir dans les
règles plutôt que de guérir par des méthodes qui n’ont pas l’aval des Diafoirus
et des banques.
Le
masque fut utile et j’en ai défendu l’usage au moment fort de l’épidémie. Il
est inutile aujourd’hui, et personne ne semble s’étonner de voir que malgré son
port devenu obligatoire un peu partout, le nombre de personnes infectées (mais
pas malades) augmente. Cherchez l’erreur.
La maladie n’est pas grave. La preuve pour ce qui est nombreux porteurs asymptomatiques dont on ignorerait qu’ils sont peut-être contagieux s’ils n’avaient pas fait de test PCR. Tout cela est devenu lamentable.
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CHRONIQUE
DE LA HONTE.
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Cet athlète a été
pendu pour avoir défendu la liberté.
Mais
on préfère défendre madame OBONO, député de la nation, qui déteste la patrie à
qui elle doit tout, jusqu’au traitement d’élu qui lui permet de cracher dans la
soupe sans crainte de poursuites. Ne lui en déplaise, il y a eu des peuples
africains suffisamment cupides pour vendre leurs frères à des trafiquants d’esclaves
français (nantais ou bordelais, tous francs-maçons), qui sont la honte de notre
histoire. Et ça continue en Afrique orientale où l’on vend des esclaves
africains à des pays du golfe, depuis le Yémen jusqu’à Oman et Mascate. Mais,
chut !!!, il ne faut pas blesser ces pays détenteurs d’un précieux
pétrole.
2 commentaires:
Mon Cher Philippe,
C'est toujours un plaisir de vous lire. Voici ce que je pense des masques chirurgicaux (pas des FFP2 ou FFP3):
depuis qu'on les a rendus obligatoires, le nombre de cas augmente. Corrélation fortuite me direz vous ? Pas si sûr ! Voyons cela de plus près. Sur les boîtes de masques chirurgicaux, il est expressément mentionné que le masque ne protège pas des virus, ce qui sert d'argument à ses détracteurs. En effet, le virus est plus largement plus petit que les pores du masque. Un peu comme si on voulait bloquer des moustiques avec une clôture à vaches. Argument balayé péremptoirement et d'un revers de main dédaigneux par nos experts de tout poil. Vu qu'ils ont passé leur temps à se planter, je soupçonne donc, mais je suis méchant, que tel est encore le cas. Comment arrivent ils donc à cette conclusion ? Ils nous expliquent dédaigneusement comme à des demeurés que nous sommes que le virus ne voyage pas in naturalibus mais au contraire bien enveloppé dans des postillons nettement plus grands, qui eux sont bloqués par le masque ? CQFD. Heureusement que nos savants sont là, sans quoi, l'humanité souffrante irait droit à sa perte. Alors essayons de réfléchir mieux qu'eux avec les faibles moyens intellectuels que la nature, fort injuste, a consenti à mettre à notre disposition : que devient le postillon dans le masque ? Avec le courant d'air dû à la respiration, il sèche. Vous allez me dire que non, car de l'air humide est sans cesse apporté par la respiration. À quoi je rétorquerai que dans ce cas, le masque devrait très vite être imbibé de salive, ce qui n'est pas le cas. Il s'instaure donc un état d'équilibre, dans lequel les apports d'eau salivaire sont compensés par l'évaporation. Et donc, les postillons les plus anciens finissent par sécher et sont remplacés par de nouveaux. Et quand, ils sèchent, les virions se retrouvent à l'état de particules solides de taille réduite, que le souffle de la respiration propage à travers le masque car ses pores sont trop grands pour les bloquer. Je conviens qu'une fraction doit demeurer adsorbée ou liée a des protéines filmogènes salivaires, mais une fraction seulement. Pas tout. Et donc, notre virus, fort heureux de l'aubaine, se retrouve libre comme le vent au delà de la barrière qui était supposer le contenir. Donc, nous serions revenus à la case départ ? Que nenni ! C'est pire ! Sans masque, un postillon se propage à environ un mètre (phénomène démontré par des essais) et, du fait de sa masse, finit par retomber au sol. Mais avec le masque obligatoire, nous n'avons plus affaire à un postillon, mais à des particules virales individualisées infiniment plus légères, capables de demeurer en suspension dans l'air nettement plus longtemps, et donc susceptibles d'être beaucoup plus longtemps contaminantes et capables de voyager sur des distances nettement plus grandes. Et il a été démontré récemment qu'un virus Covid-19 aérotransporté (hors postillon) restait contaminant. Et donc, la corrélation entre l'obligation du port du masque chirurgical et la recrudescence des cas n'est sans doute pas entièrement fortuite. Je pense même qu'il s'agit de la raison principale.
Hervé BROCHART
Vous avez une analyse très juste. Et je pense exactement que l'augmentation du nombre de cas est directement lié à l'usage intempestif du masque. Mais nos experts n'ont pas vu la corrélation...
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