Sans doute, chers amis, certains d'entre vous se souviennent-ils des paroles de ce chant qui se dansait sur air de Madison : "Le Gorille a mordu l'archevêque. Maaadison !" C'était il y a une quarantaine d'années.
Il a donc fallu que quelques journalistes en mal de scoop et de notoriété publient un article au vitriol accusant Mgr AUPETIT de toutes sortes de méfaits et d'une liaison avec une femme qui aurait duré un certain temps. Bien entendu, ces gens doivent être des modèles de moralité, de fidélité conjugale, de discrétion, de prudence, de discernement, bref des juges presque au niveau du Seigneur Jésus, des saints ambulants. Mais pour qui donc se prennent-ils ?
Les gorilles ont réussi leur coup. Ce sont des sales bêtes. Ne plus lire le journal qui a publié cet article.
Il se trouve que j'ai eu l'occasion d'entendre une intervention de Mgr AUPETIT, quand il n'était encore que vicaire général à Paris, sur le SIDA et les patients atteints de cette maladie. C'était lumineux, bienveillant mais juste, et on entendait là un médecin chrétien parler de ses patients.
Le gorille en chef qui a réussi à dézinguer cet homme de valeur est une sale bête. Et son journal n'est bon qu'à mettre à la poubelle. Il a mordu l'archevêque, mais le message de l'archevêque consécutif à sa démission est un modèle de foi et d'humilité. Et on ne saurait l'accuser d'avoir. eu une relation privilégiée mais platonique (qu'il qualifie lui-même d'ambiguë) : preuve d'intelligence. Jean-Paul II a ainsi eu une très chère amie, sans qu'il y ait eu la moindre ombre dans cette relation. Mgr vous avez tout mon soutien et mon admiration. Et que ceux qui n'ont jamais péché vous jettent la première pierre. Quant aux journalistes primates, qu'ils se mouchent et s'essuient le derrière ; et qu'ils mesurent le poids de leurs propos.
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