Au lieu d’un château fort dressé au milieu des terres,
pensons plutôt à l’armée des étoiles jetée dans le ciel.
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POURQUOI
CE BILLET ? POUR DIRE NON AUX CINGLÉS DE LA SUBVENTION. UN PY CHASSE L’AUTRE
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François
PY, qui s’occupe du site Avenir de la culture, est l’homonyme du sinistre
Olivier PY. Il fait régulièrement parvenir, à ceux qui sont intéressés par la
culture, ce qui est une constante du parieur bénédictin, ce texte de
protestation, et en quelque sorte, il sauve l’honneur du patronyme. Voici ce qu’il
dit à propos du festival in d’AVIGNON,
ordonnancé par le nouveau chevalier de la légion dite d’honneur, le susdit
Olivier.
"Travestissement et transsexualité, troubles
de l’identité sexuelle, éloge de la non-binarité, mais aussi contestation de la
« domination patriarcale » : tout y est passé d’après le site du magazine
Causeur
(25/07/2018).
Et tout ceci est payé par le contribuable à
hauteur de 7,2 millions d’euros !
[…].
[…].
Certains spectacles étaient tellement
dégoûtants que je suis gêné de devoir vous en parler. « Saison sèche »,
de Phia Ménard commence ainsi par un « je vais te claquer la ch… », en référence
au sexe de la femme.
S’ensuit l’exhibition de sept femmes nues
couvertes de peinture, qui sautent en poussant des cris, manifestant ainsi leur
soi-disant libération du monde « masculino-centré », d’après Causeur.
Une autre représentation, appelée « Trans
(més enllà) » – c’est-à-dire « Trans, au-delà » en catalan -, mettait en scène
sept transsexuels qui ont infligé aux spectateurs le récit de leur
transformation, de leurs déboires familiaux et de leur perception du regard des
autres…avant de conclure par un appel moralisateur à la tolérance.Je suis aussi
dans l’obligation de vous signaler « L’Invocation à la muse », de
Caritia Abell et Vanasay Khamphommala. Abell est une artiste
« queer » et Khamphommala se présente à la fois comme « musicien »
et « chanteuse », autrement dit comme un homme et une femme en même
temps ! Leur « spectacle » est peut-être le plus répugnant et le
plus pervers de tous. Il met en scène un homme seulement vêtu d’une culotte en
dentelle qui se fait torturer par une femme durant de longues minutes, un sac
sur la tête, avant de laisser voir son visage fardé, de chausser des talons
aiguilles et de chanter avec une voix aigüe. Tout ceci dans la cité des papes
et devant un public non-trié où pouvaient donc se trouver des enfants !"
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UN
AVIS AUTORISÉ SUR LES CINGLÉS DE LA SUBVENTION : CELUI DE PHILIPPE MURAY
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Notre
cher Philippe répond à madame Florence KUNTZ en octobre 2003. La susdite lui
demande de parler de la culture.
"Chère
madame,
Vous
me demandez de parler de culture : mais je ne sais pas très bien ce que c’est
aujourd’hui, sinon une intimidation
constante, une terreur religieuse et une prétention infinie. Le procès qui a
été mené (et, bien entendu, mené à juste titre), dans la seconde moitié du XXe
siècle, contre les destructeurs et
les haïsseurs totalitaires de la culture, n’exonère pas de se demander ce que
cette dernière est devenue depuis.
[…].
La
culture et l’art, dans la bouche des intermittents ou de leurs partisans, ne
continuent pas la culture ou l’art, mais prolongent bien plutôt, sous des
oripeaux esthétiques jamais critiqué, l’histoire increvable et séculaire de la
conscience immaculée de la gauche dont commence seulement à apparaître, de nos
jours, qu’elle est la longue histoire d’une tartufferie. Sous la répétition de
ces vocables, historiquement et réellement, il n’y a nulle perpétuation ;
car jamais les artistes, à aucune époque avant la nôtre, ne se sont voulus les
réparateurs du « lien social », les médecins traitants de la
communauté souffrante, les sauveteurs, les infirmiers, les rebouteux, les
aides-soignants, les libérateurs, les rédempteurs d’un mnde en déroute.
[…].
Irresponsables,
mais aussi stato-dépendants au dernier degré, ils constituent une sorte d’élite
auto-désignée, une artistocratie,
dont la bonne conscience, rusée autant que naïve, et l’illusion de guider le
peuple, ne peuvent aujourd’hui que susciter une révolte instinctive et totale.
Mais
le procès de l’imposture culturelle moderne n’a même pas encore commencé. Il se
déclenchera lorsqu’on entendra pus partout qu’un seul cri : LES
ARTISTOCRATES À LA LANTERNE."
In
Philippe
MURAY.
Moderne
contre moderne. Exorcismes spirituels IV. Essais. Quatrième tirage.
Chapitre
Chère madame… (pages 145, 146 et 147,
passim).
Les
Belles Lettres, Paris, 2010 (pour la présente édition).
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LIENS
UTILES.
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Un
exemple illustratif de la malfaisance des cinglés de la subvention.
Sur
les enfants !
Version
réelle, version officielle, divergences !
Il
y aurait donc une justice ?
Et le parieur redit !
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