Je viens de recevoir d'un correspondant la lettre ouverte qu'un de nos compatriote, d'origine kabyle (berbère dit-il), a envoyé à la vice-présidente du Sénat. Ce qui m'intéresse dans cette lettre, c'est que son signataire n'oublie pas les blessures que l'histoire à infligées à sa patrie, d'une part, et d'autre part, la revendication d'une identité, qui en l'occurrence n'est pas celle de l'arabité, mais celle de la "kabylité", si je puis m'exprimer ainsi. Aveugles que nous sommes,et par analogie, nous ne voyons que l'histoire se venge aussi chez nous et que les horreurs de la Révolution, plus exactement de la Terreur, du Directoire, puis du Consulat, n'ont pas fini d'exercer leurs ravages dans l'esprit public. Nous n'entendons pas non plus ce qui se dit dans le silence des coeurs : nous sommes français, et non pas citoyens du monde, nous avons le droit et le devoir de revendiquer nos origines. Voici donc cette lettre ouverte :
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"Lettre ouverte d’Hamdane AMMAR à la SENATRICE BARIZA KHIARI (Vice-Présidente du Sénat)
Ecrite par un berbère à une berbère.Lettre ouverte à la sénatrice socialiste Bariza Khiari, qui ose parler d’un bon islam.
Tout d’abord, excusez mon audace, car j’ai beaucoup hésité avant de vous écrire, pour soulever le problème de l’Islam et pour répondre aux déclarations que vous avez faîtes sur la chaine de télévision parlementaire.En effet, vous avez dit qu’il y a une grande différence entre votre Islam et celui qui fait débat actuellement à travers le monde. Sachez Madame la Sénatrice, que je ne partage pas votre point de vue. Je crois savoir, si mes sources sont fiables, que vous avez les mêmes origines que moi : berbères. Eh bien, ouvrons les manuels d’histoire. L’Islam s’est propagé en Afrique du nord par l’épée et il a soumis nos ancêtres communs par la terreur, en appliquant à la lettre le Djihad. Sinon comment m’expliquer que OKBA le conquérant était devenu le libérateur et KOCEYLA, le patriote, était devenu l’ennemi de son propre pays, passant aux oubliettes de l’histoire ? Qui se souvient du prince KOCEYLA en Algérie ? Personne, parce qu’il était Chrétien ! Mais une ville du sud algérien porte le nom d’OKBA pour le glorifier. Qui dit mieux ? Ce ‘valeureux’ chef musulman OKBA, pour mieux humilier et rabaisser plus bas que terre nos ancêtres amazighs, à son retour dans son pays, emmena dans ses bagages 25.000 adolescentes berbères comme butin de guerre, séquestrées au cours de ses razzias qui furent vendues comme esclaves sexuelles sur les marchés de DAMAS. Et j’en passe mais sans oublier la diabolisation bien orchestrée de la Reine KAHINA, par les envahisseurs de la Numidie qui perdure jusqu’à nos jours.
Quant au Coran, c’est l’auberge espagnole, on peut y faire le marché à la carte, suivant le goût et l’odeur du moment. La religion islamique est une vraie lessiveuse des esprits…
Madame la Sénatrice, et avec votre permission, évoquons le sort réservé à la femme en Islam. Et commençons par MAHOMET, lui-même, ne s’est-il pas marié avec AÏCHA, la gamine de neuf ans, alorqu’il en avait cinquante-deux ou cinquante-trois ? N’avait-il pas pris comme épouse ZINEB, la femme de son fils adoptif ZAÏD, après l’avoir contraint à se séparer d’elle, par un verset coranique ? Et combien d’épouses et de femmes esclaves, avait-il possédé durant sa vie ? C’est une question que je me pose et que je vous pose et j’attendrai votre réponse pour aérer mon esprit embrouillé. Quant au statut de la femme, l’Islam a scellé son sort depuis 14 siècles. Il n’y a qu’à voir ce que les versets coraniques ordonnent en ce qui concerne le témoignage, l’héritage, la polygamie, le mariage, le divorce à son sujet…. N’est-il pas écrit dans le Coran : « les hommes sont supérieurs aux femmes parce que Allah leur a octroyé la supériorité sur elles. Par conséquent, il donne aux hommes le double de ce qu’il donne aux femmes. Les maris qui souffriront de la désobéissance de leurs femmes, peuvent les châtier : abandonner leur lit et même les frapper. Il n’a pas été légué à l’homme pire calamité que la femme. »
Arrêtons de nous voiler la face et de radoter que c’est un complot ourdi par nos ennemis que nous avons appris à ânonner haut et fort pour dédouaner l’Islam de la situation d’infériorité qu’il a infligé à nos mères, à nos épouses, à nos sœurs, et à nos filles depuis 14 siècles. Mais pour ma part, je crois que nous parlons de l’Islam sans connaître sa matrice, la bédouinité.
Je pourrai soulever d’ autres questions qui fâchent, à l’ exemple de l’ esclavage qui est codifié par l’ Islam, le sort des juifs et des chrétiens qui deviennent des dhimmis. Quant au sort du renégat, il est vite expédié, car il est du devoir de chaque musulman de lui couper la tête. On devient musulman par héritage et pour l’éternité… Où sont passés les droits de l’homme et où passée la liberté de conscience, de confession en territoires islamiques dont se gargarisent les intellectuels musulmans confortablement installés en Occident, terre par excellence des Infidèles, qui squattent à longueur d’année certains plateaux de chaînes de télévisions avec la complicité des journalistes en quête d’audimat ?
Mais moi, j’ai des trous de mémoire, excusez-moi, j’ai oublié qu’ il y a une vraie douceur de vivre en terre Chrétienne mille fois mieux qu’ à LA MECQUE. Alors de grâce, ces censeurs de conscience qui croient dur comme fer que l ’Islam est humaniste, pourquoi s’ accrochent-ils contre vents et marrées à demeurer en Occident alors qu’ ils seraient mieux lotis en terre d’ Islam pour adorer Allah en toute quiétude sans qu’ ils soient gênés par le comportement immoral des Occidentaux comme ils ne cessent de le radoter, aux pays du porc et du vin? Quant à moi, je les invite à me rejoindre dans l’enfer de l’arabo-catastrophisme, je les y attendrai avec du lait et des dattes tout en leur souhaitant la bienvenue au club des damnés de la terre, car de TANGER jusqu’ à DJAKARTA, je n’aperçois qu’aliénation culturelle, haine, sous-développement, misère et désolation.
J’arrête de divaguer mais pas avant de vous avoir dit, Madame la Sénatrice, que la femme n’a pas le droit de fouler le paradis où elle sera remplacée par les houris. Heureux le musulman qui accédera au ferdaous, le jour du jugement dernier, car il aura à sa disposition soixante-douze houris et des rivières de vin (verset coranique). Et je vous défie de m’apporter les arguments contraires. Arrêtez de faire de la manipulation, car tôt ou tard la vérité éclatera et les Français de gauche découvriront le vrai visage de cette religion basée sur les mensonges, l’exclusion et la barbarie quand ils seront devenus des dhimmis mais ce jour-là, il sera trop tard.
Veuillez agréer, Madame la Sénatrice, l’expression de ma haute considération.
Hamdane AMMAR
Mme BARIZA KHIARI, a la double nationalité, c'est à dire que si elle est Française, elle est aussi véritablement Algérienne. C'est son fils qui est pressenti pour prendre la Présidence de l'EPAD.
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« LE MARIAGE POUR TOUS »
Une supercherie linguistique doublée d’un mensonge
Dans le concert des arguments développés par les « pour » et les « anti » mariage gay, il est une voix qu’on n’a jamais entendue : celle de la langue française.
Au cours de mes 40 années d’enseignement (collège et lycée) en qualité de professeur de Lettres Classiques, j’ai toujours attaché une grande importance à la valeur des mots. Choisir le mot exact, le « polir sans cesse » comme disait Boileau, c’est à la fois s’assurer qu’il exprime parfaitement ce que l’on veut dire mais c’est aussi s’assurer que l’on sera bien compris de son auditoire.
La polémique que suscite le projet de loi sur le mariage gay offre un bel exemple de cette dilution de la pensée dans le brouillard d’une terminologie approximative. A force de triturer les mots dans tous les sens, les mots n’ont plus de sens et l’opinion déboussolée y perd son latin. Les slogans réducteurs répercutés par les médias ne font qu’entretenir la confusion au point qu’on a parfois l’impression d’avoir perdu le sens commun.
Prenons quelques exemples :
Premier exemple : La notion de « couple » homosexuel est-elle adaptée ? La réponse est non.
Si l’on se réfère à la terminologie du « Bon Usage », l’assemblage de deux éléments de même nature ne constitue pas un « couple » mais une « paire ». Ainsi, on dira une paire de ciseaux, une paire de lunettes et non un couple de ciseaux ou un couple de lunettes. Il en est de même pour les êtres vivants. Deux bœufs assemblés sous le même joug forment une paire de boeufs et non un couple de bœufs. Deux jumeaux de même sexe constituent une paire de jumeaux et non un couple de jumeaux. On pourrait multiplier les exemples.
La langue française nous indique clairement que la notion de « couple » repose sur un principe de différenciation et d’altérité. Le couple, c’est « un homme et une femme unis par des relations affectives, physiques » (Robert 2012). La prise en compte de la fin de la définition ne doit pas faire oublier le début. La distorsion sémantique à laquelle on s’adonne chaque fois qu’on évoque un « couple » homosexuel crée une confusion dommageable que rien ne peut justifier, pas même une évolution des moeurs. Il s’agit bien ici d’appeler un chat « un chat »
2ème exemple : qu’est-ce qu’un parent ?
La reconnaissance officielle du « couple » homosexuel entraîne nécessairement – tout le monde le sait - une modification du Code Civil. La disparition des mots « père » et « mère » au profit de la notion de « parent 1 » et « parent 2 » n’est en fait qu’une supercherie linguistique doublée d’un mensonge puisque le mot désigne étymologiquement les deux personnes (père et mère) qui conjointement sont à l’origine de toute naissance. En latin, le verbe parere veut dire « engendrer » pour le père, et « enfanter » pour la mère. Comment peut-on expliquer à un enfant que ce mot de « parent » (quel que soit son numéro) s’applique à une personne qui est totalement étrangère à sa naissance, un clandestin en quelque sorte ? La loi peut-elle cautionner ce mensonge ?
Ces deux exemples suffisent à démontrer que la terminologie avancée par les partisans de la loi n’est qu’un écran de fumée destiné à masquer une stratégie plus sournoise que les récentes manifestations viennent d’ailleurs de confirmer. Il semble en effet que les partisans du « mariage pour tous » se soient déjà engouffrés dans une brèche : l’incohérence du projet de loi :
Les récentes manifestations des partisans du mariage 21.01.13
ont clairement démontré que les homosexuels entendaient s’appuyer sur cette contradiction pour pousser plus loin leurs exigences. Sur cette question, on note les premiers signes d’un fléchissement de la part des promoteurs de la loi. Le recours à la PMA, exclue dans un premier temps, pourrait faire l’objet d’un amendement présenté par les députés de la majorité. Cette concession, logique en elle-même, met à nu la vraie nature du débat. Le « mariage pour tous », présenté au départ comme
l’objectif essentiel, apparaît de plus en plus clairement comme un simple point de passage, une étape transitoire pour obtenir « in fine » une égalité de droit pleine et entière avec les couples hétérosexuels stériles.
Comme le droit à l’adoption ne changera pas grand-chose à la situation des homosexuels, vu les réticences de la plupart des états à confier des enfants à des homosexuels, c’est bien sur la PMA et la GPA que se concentre toute la pression. Une fois acquis le droit à la PMA pour les femmes homosexuelles, comment interdire aux hommes, au nom de ce même principe d’égalité, d’avoir recours à la GPA ? Si c’était le cas, il y aurait là une discrimination incompréhensible, voire une injustice, tout à fait contraire à l’esprit même du projet de loi.
Le piège des slogans
Il est une autre supercherie linguistique qu’il convient de dénoncer et qui tient au discours même des homosexuels. Pendant longtemps, leur combat a été placé sous le signe du « droit à la différence », droit qui leur a été reconnu par l’ensemble de la communauté nationale avec la création du PACS. Aujourd’hui, le thème du « droit à la différence » a totalement disparu du glossaire homosexuel. Bizarre ! Ce virage à 180 degrés a quelque chose de surprenant et pourtant personne ne s’en étonne. Il est vrai que le slogan « le mariage pour tous » est plus rassurant et plus rassembleur que « le droit à la différence » jugé sans doute trop « clivant » pour employer un terme à la mode, un concept dépassé en tout cas que l’on range sans complexe au rayon des accessoires. Au contraire, « le mariage pour tous » sonne comme un appel à la fête, à la fusion universelle de toute l’humanité, un remake d’ « Embrassons-nous, Folleville », en somme une préfiguration du « paradis pour tous ». Qui peut résister à un tel programme ?
Malheureusement, cette vision édénique du mariage est en décalage complet avec la réalité des faits. Il est d’abord étrange que le PACS ait eu si peu de succès auprès de la communauté homosexuelle alors que cet aménagement de la législation était notamment prévu pour elle. Et si le mariage présente tant d’attraits, comment expliquer que tant d’hommes et de femmes, de la base jusqu’au sommet de l’Etat, choisissent l’union libre c’est-à-dire le non-mariage ?
Il est notable également que nombre d’homosexuels vivent leur vie le plus naturellement du monde sans réclamer nécessairement le passage devant Monsieur le Maire. Certains même s’étonnent de ce déchaînement médiatique sur une question qui leur est totalement étrangère.
Alors, au bout du compte, que penser de tout ce tapage, de tout ce galimatias ?
Pas grand chose, sinon que derrière ces acrobaties sémantiques ou stylistiques, il y a la volonté de nier une évidence.
La négation d’une évidence :
Quel que soit le mode de procréation choisi, la naissance d’un enfant est nécessairement le résultat de la rencontre de deux cellules, masculine et féminine. La différenciation sexuelle est constitutive de l’être humain, même si les choix de vie peuvent ensuite amener certains individus à la vivre différemment. De ce fait, on ne peut admettre qu’une simple évolution des moeurs soit un argument suffisant pour modifier le statut du couple et celui de la famille, tels qu’ils nous ont été transmis depuis les origines de notre civilisation. Les Romains eux-mêmes, qui pratiquaient librement et indifféremment les deux formes de sexualité, n’ont jamais songé à remettre en question ce mode d’organisation de la famille pour une raison très simple mais essentielle : cette structure de la cellule familiale est la seule à garantir la filiation. Grands législateurs (ne pas oublier au passage que notre Code Civil découle directement du Droit Romain), ils ont toujours tenu à préserver ce socle de l’organisation sociale. Quant à l’adoption, très courante à Rome, elle a toujours été soigneusement encadrée par tout un arsenal juridique de manière à préserver l’intégrité des liens du sang.
De ce fait, l’adoption n’était juridiquement admise que dans le cadre d’une famille déjà constituée et sur le modèle du couple hétérosexuel.
Jamais deux sans trois :
Mais il y a plus grave : la stérilité naturelle du « couple homosexuel » induit nécessairement l’intervention d’un tiers de l’autre sexe pour le rendre fécond. Dès lors, l’accès à la PMA ou à la GPA (quelle que soit la procédure adoptée, c’est-à-dire avec ou sans rapport sexuel) conduit à s’interroger sur la nature de ce prétendu « couple » qui ne peut assurer à lui seul son désir d’enfant. Ce qui revient à dire que le contrat de mariage que signeraient deux personnes de même sexe inclut nécessairement l’intervention prévisible d’une troisième personne. Il ne s’agit donc plus d’un « couple » mais d’une « triade », une forme d’adultère biologique accepté et reconnu par la loi. Sans parler des inévitables dérives financières qu’entraînera nécessairement la recherche effrénée de donneurs et de mères porteuses. Dans certains pays, on assiste déjà à des combinaisons multiples où les homosexuels s’adjoignent - pour un temps ou pour longtemps et moyennant finances –
le concours d’une ou plusieurs personnes pour mener à bien leur projet. Nous sommes là devant le risque majeur d’une marchandisation de l’enfant et par extension de la vie humaine. L’embryon devient un objet de convoitise assimilable à n’importe quel produit de consommation. Dans un proche avenir, on peut même imaginer l’achat en pharmacie de paillettes de sperme ou d’ovules congelées qu’on pourrait se procurer aussi facilement que la pilule contraceptive ou le Viagra, le tout remboursé par la Sécurité Sociale, au nom de ce « droit à l’enfant » brandi comme un dogme par les partisans de la loi.
Au terme de cet argumentaire, une conclusion s’impose :
Le « mariage » pour quelques-uns est en fait une menace « pour tous » :
A l’évidence, l’adoption de ce projet de loi fait courir à notre société un danger d’autant plus grand qu’il est paré de toutes les vertus aux yeux du plus grand nombre. Pour employer le langage des internautes, c’est un dangereux « cheval de Troie » qu’on introduit dans la législation française. « Malheureux citoyens, quelle folie est la vôtre ! » s’écriait Laocon en voyant les Troyens disposés à introduire ce cheval maudit dans les murs de leur ville (Enéide, II, 42).
Abandonné sur la plage, ce cheval imaginé par Homère avait tous les attraits d’un cadeau des dieux. Les Troyens sont restés sourds à l’avertissement de Laocoon. Ils ont fait mieux. Pour faciliter l’entrée du cheval dans la ville, ils n’ont pas hésité à abattre une partie de leurs murailles.
On connaît la suite ! …
Il est vain d’imaginer qu’on puisse contenir toutes les dérives inhérentes au projet de loi tel qu’il est présenté aujourd’hui. C’est bien sur la notion même de « mariage pour tous » qu’il faut se battre et résister. Si cette digue saute, le risque de submersion est hors de tout contrôle.
Daniel Godard
Professeur de Lettres Classiques
Dans le cortège des partisans de la loi « le mariage pour tous », il y avait un slogan intéressant : « UNE PAIRE DE MERES VAUT MIEUX QU’UN PERE DE MERDE » Si l’on accepte de faire l’impasse sur le caractère outrancier et injurieux du propos, ce slogan est une aubaine ! Pour la première fois, l’union de deux femmes est reconnue comme une « paire » et non comme « un couple » J’y vois la confirmation (involontaire) de mon analyse du mot « couple » Les arguments en faveur du mariage homo s’effondrent d’un coup devant cette évidence. Merci à celui ou à celle qui est à l’origine de ce slogan lumineux et providentie.
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