samedi 30 novembre 2019

Samedi 30 novembre 2019. Plus un soldat français ne doit mourir pour le Mali.

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Nous n’avons rien à faire au Mali et les Maliens n’ont rien à faire chez nous. Que ce soit bien clair. S’il plaît aux habitants du Mali de s’entretuer, entre Peuls, Africains et autres ethnies, qu’ils se battent. Et que les jeunes Maliens en âge de combattre prennent les armes et défendent leur démocratie au lieu de venir pleurnicher en France, bénéficier souvent d’aides indues, et former des bandes ethniques qui agressent et détroussent les paisibles passants, tandis que nos jeunes hommes perdent la vie pour les défendre. La mort de 13 jeunes et brillants soldats dans un accident d’hélicoptère montre bien à quel point ces sacrifices sont terribles et, hélas, inutiles à notre patrie.
Que défendons-nous au juste ? C’est très simple, selon moi. Nous défendons les intérêts d’Areva au Niger et les mines d’uranium dont nous profitons pour alimenter nos centrales nucléaires, sans compter quelques autres intérêts privés dont il faudra bien qu’un jour on parle. Le Mali jouxte le Niger en effet.
Il faut à l’évidence arrêter l’immigration incontrôlée en provenance des pays du Sahel (sauf cas particulier, voir ci-dessous). Ces pays ont des ressources minières abondantes, sont peuplés et ont les moyens de se défendre. Qu’ils se défendent, merde ! Et qu'ils exploitent convenablement leurs ressources au lieu d'entretenir la corruption de leurs dirigeants.
La colère me monte au nez quand j’entends les défenseurs de l’immigration clandestine, prôner l’ouverture des vannes. Je reçois tous les jours des informations en provenance de divers lieux qui toutes décrivent les exactions de ces migrants clandestins : souvent des afghans, des tchetchènes, des kosovars, des érythréens et des africains du Sahel.
Il convient d’être accueillant, c’est évident. Mais il ne faut être ni aveugle ni bisounours. Et il faut renvoyer illico dans leur pays d’origine tous les migrants irréguliers qui utilisent les ficelles embrouillées du droit français pour demander l’asile, ne pas l’obtenir après un ou deux ans d’instruction de leur cas par les autorités, et rester finalement chez nous, même sous le coup d’une reconduite à la frontière, en vivant d’expédients, de rapines et de trafics en tout genres. Il faut déduire les frais de reconduite des aides que nous accordons à ces pays. Et si les Chinois veulent prendre notre place en Afrique, qu'ils la prennent. Il y aura quelques problèmes...
Il y a de vrais demandeurs d’asile dont les vies sont menacées dans leur patrie : il s’agit en général de chrétiens. Ils sont persécutés en Inde, en Afghanistan, dans les pays à majorité musulmane africaine (Nigeria) et proche-orientale, en Chine, voire en  Indonésie. J’en vois dans ma paroisse et ils font mon admiration par leur piété. Ceux-là, il faut leur ouvrir largement la porte. Je pense aussi aux Yézidis, aux Alevis, aux minorités religieuses diverses qui constellent ces pays ou ce qu’il en reste. Il faut donc discerner, mais ne pas fermer les yeux et accepter volontairement d’être bernés par une population jeune, qui pourrait travailler dans sa patrie d’origine et ne le fait pas.
Bien entendu, et j’en connais, il y a des Africains, des Maghrébins, des Indiens, des Sri-Lankais, etc. admirables, qui travaillent, dans des conditions régulières et qui sont souvent sous-payés. Ce qui est bien évidemment une honte. Mais de grâce ne mélangeons pas tout. Plus un soldat français ne doit laisser la vie en Afrique. Plus un Africain irrégulier ne doit séjourner chez nous. Sinon, nous allons droit dans le mur. Nous nourririons un racisme irrationnel et nous ferions monter la violence jusqu’à un point qui nous mettrait au bord de la guerre civile.


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