Nombre
de mes lecteurs doivent s’étonner que j’accorde une telle importance à
l’affaire de l’hydroxychloroquine. Je vais essayer d’expliquer pourquoi cette
affaire relève des aberrations politiques dont notre malheureuse patrie est
accablée.
À
la suite des mesures de confinement décidées par les pouvoirs publics, qui se
retranchent derrière l’avis des scientifiques pour justifier leur décision, des
centaines de milliers de nos concitoyens vont se retrouver au chômage à la
rentrée, des milliers de restaurants, de petits commerces, de petites
entreprises vont fermer, ou déposer le bilan, ou, pire être rachetées pour une
bouchée de pain par des requins de la finance pour être incorporées dans des
chaînes mondialisées, sans âmes, fades, anglo-saxonisées, en un mot NULLES.
L’hydroxychloroquine aurait pu sauver de nombreuses vies, l’isolement après
dépistage aussi. Rien. Pas de tests, pas de masques, du doliprane. Et des
bonnes paroles, dispensées par les gens de la France d’en-haut.
On
aurait pu imaginer que les députés eussent d’autres chiens à fouetter que de
savoir si madame Y, lesbienne notoire, pourrait donner ses ovocytes à sa
compagne, madame Z, pour qu’elle puisse porter un enfant issu de l’insémination
par le sperme d’un inconnu. Pas du tout, mes amis, pas du tout. Cette loi dite
de bioéthique (on se demande où est l’éthique), va passer en priorité fin
juillet pour être adoptée en seconde lecture par une assemblée aux ordres. L’idée
très claire de cette initiative est de susciter une réaction violente des
opposants (elle aura lieu de toute façon) en nous faisant oublier la gestion
désastreuse de la crise sanitaire. Mais nous n’oublierons rien : ni la loi, ni la crise.
On
aurait pu penser que les députés avaient mieux à faire que de reprendre le
projet de loi sur les retraites, probablement dans la version voulue par le
pouvoir. Ce projet est combattu vent debout par les syndicats, avec souvent
(pas toujours) de bonnes raisons. Ils s’en foutent, là-haut. Ils vont continuer
à nous bassiner avec l’âge pivot, les points, la pénibilité, nous monter une
usine à gaz (ils sont très bien payé pour ça, les énarques de BERCY). Pendant
ce temps, ils pensent que nous oublierons la gestion calamiteuse de la crise
sanitaire par un quarteron autoproclamé de scientifiques, et des hommes politiques impotents… Mais, je vous le dis,
nous n’oublierons rien.
On
aurait pu penser qu’il fallait interdire, puisque c’était interdit, la
manifestation haineuse de toute une foule essentiellement composée d’Africains,
réunis à l’instigation de mademoiselle TRAORE, dont les frères ont tous (ou
presque) été condamnés pour des délits très graves. Pas du tout. C'était l'émotion qui parlait, disait l'inénarrable monsieur CASTANER, qui en réalité pétait de trouille devant une possible insurrection des banlieues hors-la-loi. On nous
bassine avec le prétendu racisme qui sévirait dans la police. Pendant ce temps
on oublie ce qui se passe dans les quartiers dits sensibles, livrés aux bandes
ethniques et aux trafics en tout genre.
En
effet, on aurait pu penser que les journaux, plutôt que de nous parler de "jeunes défavorablement connus" de la police nous parlent de jeunes issus de
l’immigration. Ils n’osent même pas donner les prénoms de ceux qui sont suspectés d’avoir
battu à mort monsieur MONGUILLOT, ou de celui du chauffard responsable de la mort de
mademoiselle Mélanie LEMÉE ; il était sous l’emprise de stupéfiants, il
roulait sans permis, à 130 km/h, et lui aussi était "défavorablement connus des
services de police", ou encore ils auraient pu nous parler de celui qui a tué le
jeune Thomas, âgé de 19 ans ; l’assassin était un repris de justice libéré
par les mesures injustifiables de l’ex-garde des sceaux, madame BELLOUBET.
Quel
est donc le rapport avec l’affaire de l’hydroxychloroquine. Il est évident. Les
gens qui nous gouvernent savent mieux que nous ce qui est bon pour nous. Allons
plus loin, ils se délectent dans l’exercice du pouvoir, celui qui permet
d’utiliser la force pour faire appliquer les normes qu’ils ont élaborés, mais
ils n’ont aucune autorité, c’est-à-dire aucune légitimité pour le faire. Et
cela est gros de dangers.
Nous
sommes censés être des ignorants, des gens incapables de nous gouverner
nous-mêmes, et il est vrai que nombre de nos concitoyens donnent cette image. Nous
sommes en effet des Gaulois réfractaires. TANT MIEUX. Cette image est justifiée
par le fait que le système français est un des plus normatifs au monde qui
soit, et qu’une règle de sociologie jamais démentie veut que toute interdiction
entraîne dans la société et chez les acteurs sociaux des attitudes de
contournement. Avez-vous entendu un ministre, un haut fonctionnaire, proposer
des solutions positives aux problèmes qui nous accablent ? Rien. Que des
interdictions.
Tout
indique que l’hydroxychloroquine, ça marche. Le ministre l’avait interdit, sur
la foi d’un article falsifié et honteux. Tout le monde fit semblant de
s’incliner, et tout le monde utilisa en sous-main un traitement qui avait fait ses
preuves. Les autorités de santé avaient parlé. Heureusement, l’arrêté de mars a été
supprimé le 10 juillet. Il fallait obéir officiellement, et faire,
officieusement selon sa conscience, notion dont le gens d’en-haut, sans
aucun repère moral, puisque leur seul repère est leur nombril, ignorent jusqu’à l’existence.
Nous
vivons dans une schizophrénie perpétuelle.
Toute
personne sensée sait que la PMA ou la GPA, sont des procédés inacceptables qui violent le principe d'indisponibilité du corps humain, qui
transforment le corps, la sexualité et l’être humain en objet de commerce. Mais
le Grand Orient, ennemi déclaré de l’Église et du Christ, et le mouvement LGBT
ont parlé, et nous allons céder aux pressions de minorités qui, comme les coucous,
ont pondu leurs œufs dans les nids du pouvoir, en plaçant aux postes clés leurs
affidés.
Tout
le monde sait que la question des retraites est épineuse et qu’il faut une
réforme profonde des régimes. Là-haut, ils disent qu’ils concertent, mais les projets
sont déjà dans les cartons. Les réactions violentes qui vont s'ensuivre permettront de passer sous le tapis des médias les sanglantes poussières de la gestion de la crise sanitaire.
Il
est temps de rentrer en résistance. Et je reviendrai sur la manière de la
faire, sans jamais offenser ce qu’ils osent appeler la démocratie qu’ils ne
cessent de violer.
Il faut écouter cette interview remarquable du Pr
PERRONNE. Un homme d’une finesse, d’une humanité et d’une modestie
exceptionnelle. Il résume exactement la situation qui prévaut dans l’esprit des
élites, à propos de l’hydroxychloroquine.
1 commentaire:
"Il est temps de rentrer en résistance. Et je reviendrai sur la manière de la faire, sans jamais offenser ce qu’ils osent appeler la démocratie qu’ils ne cessent de violer."
Les agressions actuelles sont un autre motif d’entrer en résistance.Elles font partie d'un plan général pour casser la France : On agresse toujours les travailleurs non musulmans des secteurs économiques stratégiques : transports, chemin de fer... De sorte que ces travailleurs non musulmans, effrayés, ou morts, n'osent plus y rester. Ainsi tous ces secteurs tomberont sous le contrôle des musulmans, qui pourront organiser à l'envie des greves, manif, revendications salariales et autres, casses., blocages, faire embaucher leurs co-religionaires... et affaiblir , contrôler la France
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