La couleur de ses idées mise à part, madame AUBRY n'a que peu de rapport avec le rouge cardinalice dont RICHELIEU se paraît pendant le siège de la ROCHELLE. Les efforts apparemment énormes qu'elle fait pour soutenir son ex-rivale au poste de premier secrétaire dans une élection législative à haut risque pour madame ROYAL semblent bien dérisoires. Elle me donne l'impression de la soutenir comme une corde soutient un pendu, et il se pourrait - mais je reconnais que c'est une pure interprétation - qu'elle soit ravie dans le fond de son coeur à la perspective d'une défaite de celle qui la surpasse dans bien des domaines, hormis le machiavélisme.
-
Monsieur FALORNI n'est pas le maire Jean GUITON dont on se plaît à montrer dans une pièce de la mairie de la ROCHELLE le couteau qu'il planta sur son bureau dans un accès de colère alors que le siège de sa ville par RICHELIEU tournait au désastre. C'est plutôt l'actuel maire Maxime BONO et ses dix-huit adjoints qui risquent de se mordre les doigts pour avoir soutenu Ségolène ROYAL dans son entreprise. Mais un candidat qu'on soutient est un candidat qui penche aurait dit TALLEYRAND (il suffit de remplacer candidat par gouvernement pour retrouver la citation exacte du roué diplomate).
-
Venons-en à cette intervention de madame TRIERWEILER (orthographe non garantie). Il y a deux interprétations possibles mais une seule conclusion à tirer. La première interprétation est malveillante et consiste à attribuer à la journaliste une intention "régicide" ; elle aurait voulu abattre l'ex-compagne de son actuel compagnon ; ce serait de la pure vengeance de sa part ; l'expression d'une jalousie féroce, de cette jalousie féminine qui fit la trame de si nombreux romans, pas seulement policiers. L'autre est bienveillante. Madame TRIERWEILER peut effectivement préférer Olivier FALORNI pour des raisons objectives. Elle en a le droit. Avait-elle le devoir de faire connaître sa préférence ? Certes non. Son intervention est perçue, à tort ou à raison, comme ridicule ; elle est maladroite et déplacée. Si celle que l'on persiste à appeler "la première dame de France" parce qu'elle vit avec François HOLLANDE réitère ce type d'intervention, on peut se demander qui porte la culotte dans ce couple peu ordinaire. Notez aussi que je m'abstiendrai ici de faire état des bruits, rumeurs et constats matrimoniaux qui circulent sur les uns et les autres à travers les réseaux sociaux. Ces ragots, bruits et rumeurs ne sont pas dignes du débat politique. Et ce n'est pas parceque les socialistes se sont complus et vautrés dans la calomnie, l'ironie ou les insultes contre Nicolas SARKOZY que l'on doit les imiter.
-
Laissons les choses basses mourir de leur propre poison.
-
-
Monsieur FALORNI n'est pas le maire Jean GUITON dont on se plaît à montrer dans une pièce de la mairie de la ROCHELLE le couteau qu'il planta sur son bureau dans un accès de colère alors que le siège de sa ville par RICHELIEU tournait au désastre. C'est plutôt l'actuel maire Maxime BONO et ses dix-huit adjoints qui risquent de se mordre les doigts pour avoir soutenu Ségolène ROYAL dans son entreprise. Mais un candidat qu'on soutient est un candidat qui penche aurait dit TALLEYRAND (il suffit de remplacer candidat par gouvernement pour retrouver la citation exacte du roué diplomate).
-
Venons-en à cette intervention de madame TRIERWEILER (orthographe non garantie). Il y a deux interprétations possibles mais une seule conclusion à tirer. La première interprétation est malveillante et consiste à attribuer à la journaliste une intention "régicide" ; elle aurait voulu abattre l'ex-compagne de son actuel compagnon ; ce serait de la pure vengeance de sa part ; l'expression d'une jalousie féroce, de cette jalousie féminine qui fit la trame de si nombreux romans, pas seulement policiers. L'autre est bienveillante. Madame TRIERWEILER peut effectivement préférer Olivier FALORNI pour des raisons objectives. Elle en a le droit. Avait-elle le devoir de faire connaître sa préférence ? Certes non. Son intervention est perçue, à tort ou à raison, comme ridicule ; elle est maladroite et déplacée. Si celle que l'on persiste à appeler "la première dame de France" parce qu'elle vit avec François HOLLANDE réitère ce type d'intervention, on peut se demander qui porte la culotte dans ce couple peu ordinaire. Notez aussi que je m'abstiendrai ici de faire état des bruits, rumeurs et constats matrimoniaux qui circulent sur les uns et les autres à travers les réseaux sociaux. Ces ragots, bruits et rumeurs ne sont pas dignes du débat politique. Et ce n'est pas parceque les socialistes se sont complus et vautrés dans la calomnie, l'ironie ou les insultes contre Nicolas SARKOZY que l'on doit les imiter.
-
Laissons les choses basses mourir de leur propre poison.
-
4 commentaires:
Valérie Trierweiler, choisi par « Royal Canin » pour la course des pédalos de la Rochelle contre la dinde du Poitou, soutenu par DOUX avec la béquille de Martine Aubry représentant PICON « la boisson des beaux croupions »
Après le clown voilà la famille Groseille !
L'affaire du Tweetweilergate...
En tout état de chose il me semble qu'il y a des Rottweiler qui se perdent et que le Parti (presque unique) a oublié de museler.
Mais visiblement la parachitude n'a plus la cote et cela me réjouit d'avance que d'imaginer qu'elle pourrait passer à côté de dizaines de milliers d'euros de la Présidence de l'Assemblée avec ses multiples avantages cocconing pour cette socialo-caviar ayant fait carrière dans la fausse compassion envers les laissés pour compte à l'époque d'un président qui trompa la France durant des décennies ...
En tout cas, j'ai hâte de suivre les prochains épisodes de la fameuse saga "petits meurtres entre amis chez les socialos". C'est mieux que Dallas ^^
Je me demande d'ailleurs si Mélenchon peut rebondir pour la députation à la Rochelle?
Enregistrer un commentaire