jeudi 3 janvier 2013

Henri III ou François-Normal Ier ?

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En cet an de grâce 1580, circulait à Paris sous le manteau un pamphlet versifié qui fustigeait la désastreuse politique menée par le Roi Henry III ainsi que sa conduite scandaleuse. Rien n'a changé depuis, et je vous livre ce petit poème dont chaque vers s'applique à celui qui prétend être le Président de tous les Français alors qu'il ne fait que les diviser toujours plus profondément, et n'est que le pâle reflet de son prédécesseur François MITTERRAND qu'en vain il s'efforce de singer aussi bien dans le ton que dans les gestes. Voilà qui achève de le rendre ridicule.
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"Las ! à ce coup, c'est fait de nostre France ;
Chacun le voit, le sçait et le congnoist.
Remède aucun cependant il ne naist ;
Mais au malheur plutôt sa cheute [= chûte] advance ;
Les étrangers emporte sa substance,
Pour les honneurs et faveurs qu'on leur fait ;
Les domestiques ont par un cas infaict [= infect]
Rempli la court [sic] de vice et d'ignorance,
D'où découlant comme par deux canaux,
Ont infecté du reste les cerveaux ;
Si que pour perdre autrui il s'extermine ;
[...]
Mais pleure au moins, ô France, ta ruine."
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Le peuple était prophétique. Le texte s'applique à merveille à cet homme qui veut marier les homosexuels, mais ne se marie pas, remet 5 milliards d'euros de dette à la Côte d'Ivoire (et des milliards d'euros supplémentaires à d'autres pays dits en voie de développement) et comble de faveurs les étrangers venus clandestinement profiter de nos bienfaits mais qui nous crachent dans la main, alors qu'il poursuit de sa haine tous ceux qui par leurs talents et leur travail produisent des richesses dont nous profitons tous, qui promeut comme garde des sceaux une incapable dont le seul mérite est de vouloir l'indépendance de la Guyane, qui trouve normal d'avoir comme premier secrétaire de son parti, lequel n'est qu'un clan, un homme convaincu de n'avoir pas fait son travail et condamné pour avoir exercé à Lille un emploi fictif dans une association s'occupant des migrants. Et il veut nous donner des leçons de morale ? Et il prétend diriger une économie moribonde alors qu'il n'a jamais travaillé de sa vie ? Mais tout va aller mieux. Monsieur Claude SERILLON va s'occuper des relations de l'Elysée avec la Presse. Voilà pourquoi sans doute il quitte l'émission de DRUCKER, Vivement dimanche prochain. Comme j'aimerais qu'il participât à une émission que j'intitulerais volontiers : Vivement qu'ils dégagent !

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