Je désire répondre en détail aux commentaires que CORATINE avait fait de mon antépénultième billet. Elles sont à la fois trop précises, trop douloureuses, et, je me permets de le dire, parfois assez injustes, pour que je réponde dans la précipitation, sur le coup de l'émotion, sans avoir réfléchi..
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CORATINE a jugé bon de supprimer ces commentaires. Je n'ai donc pas eu le temps de les analyser en profondeur. Mais, me souvenant de la teneur générale de ses propos, j'en résumerai la tonalité par quelques mots : révolte, difficultés matérielles difficiles à supporter, appel à une juste solidarité, recours à l'état, et une malicieuse et gentille ironie pour mes naïves paroles.
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A qui a le nécessaire et même le superflu, ce qui est mon cas, il est facile de prêcher, et d'inonder ses proches ou ses lecteurs, de paroles lénifiantes. Je ne voudrais pas qu'on me compare à ce pharisien qui, dans le Temple de Jérusalem, se vantait de jeûner, de payer la dîme, de suivre scrupuleusement le sabbat et qui regardait de haut, le publicain, caché dans l'ombre au fond du sanctuaire et qui pleurait sur son péché. Je serais vraiment désolé ; ce n'est pas mon intention, et je suis tout à fait conscient de mes limites et de mes honteuses retenues en matière de partage et de solidarité.
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Cependant, il y a une chose que tout le monde peut faire : tenir compte de l'autre, y faire attention, lui sourire, lui parler. Cette ouverture me semble indispensable au maintien du lien social. Les exemples que j'ai donnés dans ce domaine sont vécus. Ils ne sont pas exemplaires, attention, mais anecdotiques et indicatifs. Déjà, de l'air et du liant. C'est dans cet esprit que, résolument, j'arpente l'espace public, fréquenté par autrui.
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Si j'étais conséquent, ce que je ne suis pas, je donnerai tout mon superflu à ceux qui manquent de tout. Je n'ai fait qu'effleurer le sujet, mais enfin je l'ai effleuré. Et très franchement, l'urgence du partage me travaille. Je fais ce que je peux. "Peut faire mieux" me dit ma conscience.
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Que faire alors ? Il me paraît évident que la situation de nombre de nos concitoyens, sans parler du reste de l'humanité, est inhumaine. Et il est non moins évident qu'aucun de nous n'est tout puissant et ne peut à lui tout seul résoudre cette insupportable quadrature du cercle. Je ne crois pas non plus que le recours à l'impôt soit la solution à tous les problèmes. Le développement des technostructures et de l'administration de l'Etat engloutit des sommes considérables pour les résultats que l'on connaît. Recruter des fonctionnaires pour engranger plus d'impôts pour faciliter la redistribution pour etc., c'est consommer la moitié des sommes collectées. Il est absolument nécessaire que nos concitoyens prennent conscience de ce fait. Utiles, ces structures le sont dans le monde tel que nous le voulons. Efficaces, c'est un autre problème.
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Il y aurait un moyen plus simple, qui consisterait à court-circuiter toutes ces administrations, et à laisser aux citoyens le soin de donner à qui il veut une portion (imposée par la loi en fonction de la richesse de chacun) de ses revenus. Il suffirait simplement, toujours par la loi, de définir les associations agréées (nécessairement encadrées par des bénévoles, et scrupuleusement contrôlées a posteriori, avec des statuts obligeant à la rotation régulière des responsables et des membres du conseil d'administration) susceptibles de recevoir ces contributions. Pour éviter que le contribuable ne triche, ces prélèvements seraient opérés a priori, après que le salarié ou le rentier ou le pensionné, ou l'artisan, ou le commerçant eussent choisi l'association bénéficiaires. Révolution ! Mais quel est l'homme politique qui accepterait de dessaisir l'Etat du pouvoir de nous tondre la laine sur le dos ? Comment flatterait-il sa clientèle électorale ? Il faudrait à l'Etat de quoi fonctionner, c'est l'évidence. Mais il lui resterait la TVA qui représente la plus grosse part des rentrées, et un impôt sur les sociétés complètement redéfinis et incluant les versements aux associations agréées. L'intérêt de ce système est que nous toucherions du doigt la détresse du prochain et que nous aurions le sentiment PERSONNEL de l'avoir concrètement touchée.
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Ainsi, chère CORATINE, je ne crois pas que l'Etat soit tout-puissant, je ne crois pas que l'on doive accuser le Président de la République des maux qui frappent une partie de nos concitoyens ; c'est collectivement que nous sommes responsables, par excès d'égoïsme, d'individualisme, d'indifférence. Et j'ajoute que demander à l'Etat ce que des enfants ou des proches pourraient, que dis-je ?, devraient faire pour leurs parents, me semble renforcer le climat d'immoralité et d'égoïsme dans lequel notre société contemporaine moisit, se décompose ou se noie.
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Je ne sais pas si j'ai répondu. Je désire simplement que CORATINE prenne mes propos comme ceux d'un homme qui cherche, voit bien ses limites, et se heurte à celle de l'humaine nature.
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A qui a le nécessaire et même le superflu, ce qui est mon cas, il est facile de prêcher, et d'inonder ses proches ou ses lecteurs, de paroles lénifiantes. Je ne voudrais pas qu'on me compare à ce pharisien qui, dans le Temple de Jérusalem, se vantait de jeûner, de payer la dîme, de suivre scrupuleusement le sabbat et qui regardait de haut, le publicain, caché dans l'ombre au fond du sanctuaire et qui pleurait sur son péché. Je serais vraiment désolé ; ce n'est pas mon intention, et je suis tout à fait conscient de mes limites et de mes honteuses retenues en matière de partage et de solidarité.
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Cependant, il y a une chose que tout le monde peut faire : tenir compte de l'autre, y faire attention, lui sourire, lui parler. Cette ouverture me semble indispensable au maintien du lien social. Les exemples que j'ai donnés dans ce domaine sont vécus. Ils ne sont pas exemplaires, attention, mais anecdotiques et indicatifs. Déjà, de l'air et du liant. C'est dans cet esprit que, résolument, j'arpente l'espace public, fréquenté par autrui.
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Si j'étais conséquent, ce que je ne suis pas, je donnerai tout mon superflu à ceux qui manquent de tout. Je n'ai fait qu'effleurer le sujet, mais enfin je l'ai effleuré. Et très franchement, l'urgence du partage me travaille. Je fais ce que je peux. "Peut faire mieux" me dit ma conscience.
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Que faire alors ? Il me paraît évident que la situation de nombre de nos concitoyens, sans parler du reste de l'humanité, est inhumaine. Et il est non moins évident qu'aucun de nous n'est tout puissant et ne peut à lui tout seul résoudre cette insupportable quadrature du cercle. Je ne crois pas non plus que le recours à l'impôt soit la solution à tous les problèmes. Le développement des technostructures et de l'administration de l'Etat engloutit des sommes considérables pour les résultats que l'on connaît. Recruter des fonctionnaires pour engranger plus d'impôts pour faciliter la redistribution pour etc., c'est consommer la moitié des sommes collectées. Il est absolument nécessaire que nos concitoyens prennent conscience de ce fait. Utiles, ces structures le sont dans le monde tel que nous le voulons. Efficaces, c'est un autre problème.
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Il y aurait un moyen plus simple, qui consisterait à court-circuiter toutes ces administrations, et à laisser aux citoyens le soin de donner à qui il veut une portion (imposée par la loi en fonction de la richesse de chacun) de ses revenus. Il suffirait simplement, toujours par la loi, de définir les associations agréées (nécessairement encadrées par des bénévoles, et scrupuleusement contrôlées a posteriori, avec des statuts obligeant à la rotation régulière des responsables et des membres du conseil d'administration) susceptibles de recevoir ces contributions. Pour éviter que le contribuable ne triche, ces prélèvements seraient opérés a priori, après que le salarié ou le rentier ou le pensionné, ou l'artisan, ou le commerçant eussent choisi l'association bénéficiaires. Révolution ! Mais quel est l'homme politique qui accepterait de dessaisir l'Etat du pouvoir de nous tondre la laine sur le dos ? Comment flatterait-il sa clientèle électorale ? Il faudrait à l'Etat de quoi fonctionner, c'est l'évidence. Mais il lui resterait la TVA qui représente la plus grosse part des rentrées, et un impôt sur les sociétés complètement redéfinis et incluant les versements aux associations agréées. L'intérêt de ce système est que nous toucherions du doigt la détresse du prochain et que nous aurions le sentiment PERSONNEL de l'avoir concrètement touchée.
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Ainsi, chère CORATINE, je ne crois pas que l'Etat soit tout-puissant, je ne crois pas que l'on doive accuser le Président de la République des maux qui frappent une partie de nos concitoyens ; c'est collectivement que nous sommes responsables, par excès d'égoïsme, d'individualisme, d'indifférence. Et j'ajoute que demander à l'Etat ce que des enfants ou des proches pourraient, que dis-je ?, devraient faire pour leurs parents, me semble renforcer le climat d'immoralité et d'égoïsme dans lequel notre société contemporaine moisit, se décompose ou se noie.
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Je ne sais pas si j'ai répondu. Je désire simplement que CORATINE prenne mes propos comme ceux d'un homme qui cherche, voit bien ses limites, et se heurte à celle de l'humaine nature.
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8 commentaires:
"Il me paraît évident que la situation de nombre de nos concitoyens, sans parler du reste de l'humanité, est inhumaine. Et il est non moins évident qu'aucun de nous n'est tout puissant"
Exact. Mais il faut ajouter immédiatement : "aucun de nous ne peut rien sans Dieu". Vous l'oubliez trop je crois, M. POINDRON. L'humanitaire non-religieux genre restos du Coeur ne m'a jamais bien convaincu. "Cherchez d'abord le royaume de Dieu" : cela ne vaut pas seulement pour la réussite sociale, mais aussi pour l'aide des autres. Souvenez-vous de ce mot de Saint Vincent de Paul : "Les pauvres ne nous pardonneront jamais l'aide humiliante que nous leur apportons, s'ils ne voient pas que nous les aimons."
La charité pour ceux qui sont loin, c'est facile et cela donne bonne conscience. Aimer son prochain, c'est autre chose.
« POURRIS PEUT ETRE PAS TOUS. »
Mardi 20 Décembre, 21h, le froid pique un peu. C'est la dernière maraude de l'année 2011.
La maraude de Noël : l’occasion pour l'ASP de distribuer aux exclus un peu plus que d'habitude. Jean-Pierre et Catherine ont pensé à un petit cadeau pour chacun. Mais là ne s'arrête pas la différence avec les tournées habituelles. Notre maraude a un petit ou plutôt un fort accent du midi. Ce soir là, notre quatrième comparse n'est autre que Louis Aliot. Oui, vous avez bien lu, Louis Aliot, le vice-président du Front National. Nous sommes à quatre mois de l'élection présidentielle. Son emploi du temps est, personne n'en doute, millimétré. Et pourtant, il a trouvé le temps de passer une partie de la nuit aux côtés des plus démunis. Je ne connaissais pas personnellement Louis mais j'avoue quant même être surpris de le voir servir du café ou de la soupe à tous ces "marginaux». Aucun d'entre eux ne le reconnaît et cela n'a rien d'étonnant .Il s'acquitte avec humilité de la tâche que lui a confié le Pasteur, comme un simple bénévole, un simple militant de base. Vous en connaissez beaucoup de dirigeants politiques de premier plan qui accompliraient ce genre de chose sans qu'ils puissent parader devant une nuée de micros et de caméras ? Eh bien, ce soir, le vice-président du Front National est là pour voir et écouter la parole des SDF, des laissés-pour-compte. Dans la voiture, Jean-Pierre expose sa vision du service social et surtout dévoile tous ses nouveaux projets. Louis Aliot écoute et questionne. Peut-être une bonne occasion de faire encore progresser l'esprit social au sein du Front National ? Car, n'en doutons pas, le combat politique est indissociable du combat social. Quelques cafés et une poignée d'heures plus tard, nous nous séparons. J'ai le sentiment que cette maraude n'aura pas été tout à fait comme les autres.
En somme, une maraude bien spéciale.
Bonne Année et bonne santé à tous !
Tristan Josseaume
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Non, cher Roparz HEMON, je n'oublie pas Dieu, et je n'aurais garde de mélanger la générosité, qui hélas s'épuise, et la charité que saint Paul a si bien exaltée dans sa première lettre aux Corinthiens. Nous ne pouvons rien sans Dieu. Mais Dieu, sur terre, ne peut rien sans nous, et le commandement NOUVEAU de Jésus, ce commandement qu'il a donné à ses disciples avant d'aller au Jardin des Oliviers, était d'aimer les autres de l'amour même dont il avait aimé les siens.
Je m'adressais là de manière à la fois personnelle et générale, à notre chère CORATINE. Sa vie est difficile, sa dignité offensée, son coeur douloureux. Déjà le comprendre, avoir de l'empathie (au sens profond du terme) n'est-ce pas le premier temps de l'amour ?
Je suis cependant ENTIEREMENT d'accord avec vous. Et si les Restos du coeur remplissent un rôle social non négligeable, je reçois sur eux des échos de-ci de-là sur des scènes que nous avons du mal à imaginer faute de les avoir vécues.
Quand un journal télévisé fera-t-il un reportage sans tronquer ce qu'il voit ? Et avec une caméra invisible !
Vincent de Paul disait aussi à Louise de Marillac :"Ma fille, souvenez-vous qu'il nous faut beaucoup d'amour pour que les pauvres nous pardonnent le pain qu'on leur donne". Cette citation reprend celle que vous donnez.
Enfin, le prochain est celui dont on se rend proche. Dans la parabole du Bon Samaritain, Jésus pose la question (Luc 10, 36) : "Lequel de ces trois (le prêtre, le lévite ou le Samaritain) s'est montré le prochain de l'homme tombé aux mains des brigands?" Cette parabole est souvent très mal interprétée. C'est ici le SAMARITAIN qui s'est montré le prochain du blessé, et non lui qui l'a considéré comme son prochain. C'est lui qui s'est rendu proche.
Les deux autres ont passé leur chemin, non par égoïsme, mais par souci de respect de la Loi, et pour ne pas enfreindre les règles de pureté rituelle ; le sang en effet était considéré comme impur.
Vous voyez donc que je suis tout à fait d'accord avec vous.
Bien amicalement.
Cher TIPPEL,
Oui, je suis heureux d'entendre votre témoignage. Le mot chien n'a jamais mordu personne, et l'exemple de votre ami Louis ALIOT est démonstratif : il suffit d'avoir un peu de sens de l'humain (le ren, disait CONFUCIUS) et DE FAIRE. Blablater, courir le tour de piste comme tant de bonimenteurs, c'est facile. Prendre du temps pour l'autre, c'est plus délicat.
Amicalement.
Je vais quand même spécifier la raison du retrait de mes commentaires. A tête reposée, et bien que je m'étais fait la réflexion, vous vous en doutez, en les écrivant, j'en ai conclu que votre blog n'était pas un lieu de récriminations personnelles ni le "mur des lamentations".
Je vous remercie de les avoir pris avec tant de considération et avec cette conscience humaine dont vous êtes imprégné.
Pour clore le sujet, et puisque vous semblez regretter de n’avoir pu tout analyser, je vais quand même repréciser le sujet principal de mon « indignation » qui est le gaspillage de l’argent par ce fameux gouvernement qui est incapable lui-même, on le sait bien de gérer son budget, et qui, au lieu d’aider les pauvres de son pays, les Français « de souche », dilapide l’argent dans son train de vie d’abord, et d’autre part dans le soutien aux pays africains et autres qui ne nous rendront jamais la monnaie de cette fameuse pièce qu’est l’euro !!!
Mon irritation repose aussi sur les fameux "tarifs sociaux" d'énergie accordés à condition de ne pas dépasser le plafond de la CMU (pour info, 606 euros environ pour une personne seule, 1272 euros pour 4 personnes et 242,40 par personne à charge supplémentaire, je vous laisse faire les comptes)!!! Si donc vous avez 10 enfants, vous l’obtiendrez, la CMU pour tout le monde !!! Et vous obtiendrez aussi ces tarifs!!! Qui sont à environ 50% du tarif officiel appliqué à tout un chacun!!!! Et quelles sont les familles en France possédant 10 personnes à charge ???
L’Etat Français n’est même pas capable de subventionner complètement lui-même, les fameux Restos du Cœur, puisqu’il est obligé de mendier auprès des grandes enseignes alimentaires, des entreprises et des particuliers pour pouvoir prolonger la distribution des colis jusqu’en avril 2012 !
Ce jeudi, le secrétaire d'Etat au Commerce et à l'Artisanat Frédéric Lefebvre a annoncé sur France 2 avoir «l’accord» d’enseignes de la grande distribution comme Casino, Auchan et Carrefour pour répondre à l’appel à la solidarité. «D'ores et déjà, j'ai l'accord de ces entreprises pour fournir de quoi faire ces repas qui vont manquer, sans doute à horizon février ou mars», a-t-il ajouté. Frédéric Lefebvre a ensuite lancé un appel «à toutes les entreprises qui pourraient accepter de participer à cet élan de générosité.»
Les Restos du Cœur sont financés à deux tiers par des apports privés et à un tiers par des apports publics.
Et voici les deux extraits que j’avais mis, glanés sur Internet, et qui me scandalisent particulièrement :
L’APD
L’Aide publique au développement (APD) de la France pour les pays du Sud se chiffre à près de 10 milliards d'euros….
ET LA JOURNEE MONDIALE CONTRE LE SIDA
Le 1er décembre 2011
(extrait d’un article écrit par Julien Dry)
Les associations de lutte contre le sida appellent les pays les plus développés à augmenter leur aide publique au développement. En France, elle représente 0,39% du PIB. Et l’association AIDES appelle l’Etat à l’augmenter à hauteur de 0,7% !!!!!
AIDES demande également la mise en place d’une taxe dite « Robin des bois » sur les transactions financières. Selon l’association, une telle mesure pourrait permettre de lever 12 milliards d’euros par an en France. Plusieurs pays, parmi lesquels la France et l’Allemagne se sont déclarés en faveur d’une telle taxe. Ben voyons !!!! Pendant que les Africains du Sud violent les lesbiennes, multiplient les partenaires (ils n’ont que cela à faire) sans souci d’aucune protection et se reproduisent bien sûr à la vitesse grand V !! donc c’est une goutte d’eau dans une mer de contamination perpétuelle !!! Pendant que notre Sécurité Sociale est en déficit et que l’on nous réduit de plus en plus les dépenses de santé !!!
Sans oublier les opérations militaires à l’international :
ET SUR UN PLAN INTERNATIONAL, CES OPERATIONS EXTERIEURES
DE L’AFGHANISTAN A LA LYBIE EN PASSANT PAR LA COTE D’IVOIRE
qui ne nous concertaient finalement pas !
Selon le général Pontiès, porte-parole du Ministère de la Défense
- 1 million d’euros par jour pour la destruction et la déstabilisation de la Lybie dont la politique ne nous regardait finalement pas et dont on ne parle d’ailleurs plus depuis la mort de Kadhafi (mis à part les contrats signés par un certain nombre de chefs d’entreprises français pour la reconstruction du pays mais que vaudront ces paraphes du CNT si le chaos se maintient dans le pays comme en Egypte et en Tunisie)?
- 1 million d’euros par jour pour la guerre perdue d’Afghanistan
- 1,2 milliard en 2011 pour les différentes opérations extérieures citées ci-dessus.
Et, cher Tippel, merci pour Louis Aliot!!!
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