Il y a des moments où je désespère de ma patrie, et alors je dois me répéter que
Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté !
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1. La citation du jour.
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" Le peuple romain, depuis le roi ROMULUS jusqu'à l'empereur AUGUSTE, a, pendant sept cents années, accompli tant de choses dans la paix et dans la guerre, que, si l'on comparait la grandeur de son Empire avec sa durée, on le croirait plus ancien. Il a porté ses armes si avant dans l'univers, qu'en lisant ses annales, ce n'est pas l'histoire d'un peuple que l'on apprend, mais celle de tout le genre humain. Il a été en butte à tant de travaux et de dangers, que, pour établir sa puissance, le courage et la fortune semblent avoir réuni leurs efforts."
Après avoir divisé l'histoire romaine en quatre périodes, les trois premières glorieuse, et la quatrième, décadente, l'auteur de ce texte dit de cette dernière, ceci :
"Enfin, depuis CESAR AUGUSTE jusqu'à nos jours, nous ne comptons pas beaucoup moins de deux cents ans, pendant lesquels l'inertie des empereur l'a fait vieillir [il s'agit du peuple romain ; note du transcripteur] en quelque sorte et tomber en langueur. Cependant, sous le règne de TRAJAN, il ranime ses forces, et, contre l'espoir de tous, ce vieil Empire, comme rendu à sa jeunesse, reprend une nouvelle vigueur."
In
Lucius Aenaeus FLORUS
Lucius Aenaeus FLORUS
Histoire romaine. Traduction nouvelle, accompagnée d'un commentaire et de notes historiques et critiques ; par
M. Ch. du ROZOIR.
A. Belin, Imprimeur-Libraire, Paris, 1829.
(Livre Premier, Préface [Liber primus. Proemium]).
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2. Commentaires.
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Nous allons jouer à un petit jeu : voici quelques mots qu'il vous faudra placer dans la citation, en supprimant les données romaines :
Mérovingiens ;
Révolution française ;
Napoléon ;
France ;
Général de Gaulle ;
Noms des Présidents de la Républiques incapables ou corrompus.
Vous pourrez constater que l'histoire de notre malheureuse patrie est exactement celle de Rome. Oui, nous avons répandu la gloire de notre patrie sur la terre entière (Indes, Canada, Louisiane, Afrique, Asie du Sud-Est) [Gloire qu'il faut attribuer à quelques militaires de génie, compatissants et connaisseurs des peuples qu'ils rencontraient [par exemple LYAUTEY ou BUGEAUD], et à nos missionnaires [par exemple Mgr de LAVAL au Canada], et certainement pas aux hommes politiques, du genre Jules FERRY, qui n'avaient qu'une idée en tête : exploiter au profit de leur coterie les richesses des peuples qu'ils voulaient asservir sous prétexte de les éduquer]. Pendant plus de 7 siècles depuis les rois mérovingiens jusqu'à ce malheureux Louis XVI (exemple : le voyage de monsieur de LA PEYROUSE), la France a nourri avec obstination une ambition, et entretenu un rayonnement que nous n'avons jamais plus retrouvé depuis. Depuis 200 ans, nous vivons sous le règne non seulement des folies révolutionnaires, mais encore et surtout sous celui de la "caserne philosophique" (TAINE) édifiée par leur héritier direct, NAPOLEON. Et l'inertie de nos empereurs, représentés par des Présidents comme Paul DESCHANEL tombé du train en pyjama, lors d'un voyage officiel en province, Félix FAURE mort dans les bras de sa maîtresse, Albert LEBRUN qui a cédé sans broncher le pouvoir au Maréchal PETAIN, d'un général de Mc MAHON qui s'exclamait contemplant les inondations provoquées par une cure de la Garonne "Que d'eau ! Que d'eau !" (mais le mot est contesté) ou d'un Vincent AURIOL dont l'unique mérite politique était de s'être mu dans l'ombre de JAURES.
Bien sûr, il y eut parmi ces Empereurs inertes, certains qui l'étaient moins ; Raymond POINCARE, par exemple. Mais enfin on ne peut pas dire qu'ils aient laissé, dans leur ensemble, une trace indélébile dans l'histoire de notre patrie. Le TRAJAN de notre histoire récente fut le général de GAULLE. Qu'on l'aime ou que l'on ne l'aime pas, il a su pendant une dizaine d'années donner un lustre inégalable à la France, et inégalé depuis. Ce n'est donc pas le régime républicain qui est en cause, mais bien la médiocrité des vues de nos princes.
Madame la jolie et carnassière Najat achève le travail de déconstruction ourdi dans le secret des loges. On ne parle plus de Louis XIV ni de Napoléon en cours d'histoire. Aucun intérêt. On fait de l'histoire "thématique", ce qui permet ainsi de couper la jeunesse de ses racines nourricières et de lui mettre au coeur des idées de repentance pour des actes répréhensibles ou ignobles, comme l'esclavage ou la colonisation dont les principaux promoteurs furent précisément des gens se réclamant des idées progressistes ! Je crains fort que la volonté de la belle Najat soit de défaire en trois ans, 1000 ans de notre histoire... Oserais-je dire qu'il est parfaitement anormal de confier le ministère de l'éducation nationale à une compatriote qui n'a pas renoncé à sa nationalité marocaine ? On ne peut pas servir deux maîtres, la chose est bien connue.
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3. Informations diverses.
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Pèlerinage de CHARTRES (via le Boulevard Voltaire).
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Polonais, pas fous !
Un président conservateur et eurosceptique élu Président de la république de Pologne hier. Comme le note le site des Nouvelles de France, il y en a qui ne vont pas bien dormir à Bruxelles. Merci à Andrzej DUDA, le nouveau Président.
(Livre Premier, Préface [Liber primus. Proemium]).
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2. Commentaires.
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Nous allons jouer à un petit jeu : voici quelques mots qu'il vous faudra placer dans la citation, en supprimant les données romaines :
Mérovingiens ;
Révolution française ;
Napoléon ;
France ;
Général de Gaulle ;
Noms des Présidents de la Républiques incapables ou corrompus.
Vous pourrez constater que l'histoire de notre malheureuse patrie est exactement celle de Rome. Oui, nous avons répandu la gloire de notre patrie sur la terre entière (Indes, Canada, Louisiane, Afrique, Asie du Sud-Est) [Gloire qu'il faut attribuer à quelques militaires de génie, compatissants et connaisseurs des peuples qu'ils rencontraient [par exemple LYAUTEY ou BUGEAUD], et à nos missionnaires [par exemple Mgr de LAVAL au Canada], et certainement pas aux hommes politiques, du genre Jules FERRY, qui n'avaient qu'une idée en tête : exploiter au profit de leur coterie les richesses des peuples qu'ils voulaient asservir sous prétexte de les éduquer]. Pendant plus de 7 siècles depuis les rois mérovingiens jusqu'à ce malheureux Louis XVI (exemple : le voyage de monsieur de LA PEYROUSE), la France a nourri avec obstination une ambition, et entretenu un rayonnement que nous n'avons jamais plus retrouvé depuis. Depuis 200 ans, nous vivons sous le règne non seulement des folies révolutionnaires, mais encore et surtout sous celui de la "caserne philosophique" (TAINE) édifiée par leur héritier direct, NAPOLEON. Et l'inertie de nos empereurs, représentés par des Présidents comme Paul DESCHANEL tombé du train en pyjama, lors d'un voyage officiel en province, Félix FAURE mort dans les bras de sa maîtresse, Albert LEBRUN qui a cédé sans broncher le pouvoir au Maréchal PETAIN, d'un général de Mc MAHON qui s'exclamait contemplant les inondations provoquées par une cure de la Garonne "Que d'eau ! Que d'eau !" (mais le mot est contesté) ou d'un Vincent AURIOL dont l'unique mérite politique était de s'être mu dans l'ombre de JAURES.
Bien sûr, il y eut parmi ces Empereurs inertes, certains qui l'étaient moins ; Raymond POINCARE, par exemple. Mais enfin on ne peut pas dire qu'ils aient laissé, dans leur ensemble, une trace indélébile dans l'histoire de notre patrie. Le TRAJAN de notre histoire récente fut le général de GAULLE. Qu'on l'aime ou que l'on ne l'aime pas, il a su pendant une dizaine d'années donner un lustre inégalable à la France, et inégalé depuis. Ce n'est donc pas le régime républicain qui est en cause, mais bien la médiocrité des vues de nos princes.
Madame la jolie et carnassière Najat achève le travail de déconstruction ourdi dans le secret des loges. On ne parle plus de Louis XIV ni de Napoléon en cours d'histoire. Aucun intérêt. On fait de l'histoire "thématique", ce qui permet ainsi de couper la jeunesse de ses racines nourricières et de lui mettre au coeur des idées de repentance pour des actes répréhensibles ou ignobles, comme l'esclavage ou la colonisation dont les principaux promoteurs furent précisément des gens se réclamant des idées progressistes ! Je crains fort que la volonté de la belle Najat soit de défaire en trois ans, 1000 ans de notre histoire... Oserais-je dire qu'il est parfaitement anormal de confier le ministère de l'éducation nationale à une compatriote qui n'a pas renoncé à sa nationalité marocaine ? On ne peut pas servir deux maîtres, la chose est bien connue.
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3. Informations diverses.
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Pèlerinage de CHARTRES (via le Boulevard Voltaire).
"Si l’on voulait paraphraser l’immortel Audiard,
anarchiste de droite dont tout le monde cite les dialogues alors que plus
personne ne comprend ses idées, on pourrait presque conclure de tout cela que
trente-cinq mille cons qui votent vont moins loin que dix mille croyants qui
marchent."
35 000 est le nombre de personnes qui ont voté en faveur de la motion de môssieur CAMBADELIS (0,1 % du corps électoral, note avec malice le site du Boulevard Voltaire, d'où je tire ces données [Article d'Arnaud FLORAC]) et 10 000 est celui des pèlerins de CHARTRES.
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Pour apprendre les mathématiques (via le Salon beige).
Polonais, pas fous !
Un président conservateur et eurosceptique élu Président de la république de Pologne hier. Comme le note le site des Nouvelles de France, il y en a qui ne vont pas bien dormir à Bruxelles. Merci à Andrzej DUDA, le nouveau Président.
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