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Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté !
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1. La citation du jour.
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1. La citation du jour.
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Lu à la dernière veillée parisienne cet extrait d'une conférence de Georges BERNANOS, datée de 1945 (merci à AXEL qui m'a transmis ce texte) :
"Qui
ne défend la liberté de penser que pour soi-même est déjà disposé à la trahir.
Si
l’homme ne pouvait se réaliser qu’en Dieu ? Si l’opération délicate de
l’amputer de sa part divine – ou du moins d’atrophier systématiquement cette
part jusqu’à ce qu’elle tombe desséchée comme un organe où le sang ne circule
plus – aboutissait à faire de lui un animal féroce ? Ou pis peut-être, une bête
à jamais domestiquée ?
Il
n’y a qu’un sûr moyen de connaître, c’est d’aimer.
Le
grand malheur de cette société moderne, sa malédiction, c’est qu’elle
s’organise visiblement pour se passer d’espérance comme d’amour ; elle
s’imagine y suppléer par la technique, elle attend que ses économistes et ses
législateurs lui apportent la double formule d’une justice sans amour et d’une
sécurité sans espérance."
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2. Commentaires.
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Nous sommes gouvernés depuis des lustres par des hommes qui pratiquent une justice sans amour, parce qu'ils ne croient qu'au droit positif, c'est à dire aux lois votées par des majorités de rencontre. Ils appliquent aveuglément à leurs adversaires des sanctions qu'ils ont imaginées pour eux et des règles qui protègent leurs affidés ; ils se sont ménagés des refuges qui les met à l'abri de punitions qu'ils méritent par leur complaisance.
Nous sommes gouvernés depuis des lustres par des hommes qui prétendent nous apporter la sécurité avec leurs lois sur le chômage, mais sont incapables de procurer du travail à leurs concitoyens qu'ils réduisent au désespoir ou forcent à l'exil. Ils se mêlent de tout et ne s'occupent de rien. Ils sont ténébreux, tortueux, vindicatifs, parfois - hélas - corrompus matériellement et très souvent corrompus intellectuellement.
Mais ils sont des hommes, des frères en humanité. C'est bien ce qui rend très difficile de lutter contre leur politique suicidaire pour la patrie, ruineuse pour leurs concitoyens, et tueuse de nos libertés. Il n'y a qu'une manière de le faire : la pensée, la réflexion, la culture et le courage de la protestation.
Simone WEIL a dit quelque part qu'une société ne pense pas. Il faut des hommes exceptionnels pour lui imposer un cours contraire à celui d'un fleuve emporté vers la mer des illusions. Nous en manquons cruellement. Ceux qui nous dirigent vont dans le sens du courant ; ils sont le produits d'une société qui se prive délibérément d'espérance et d'amour. Nous avons les dirigeants que nous avons secrétés par notre refus de Dieu.
Toutes les mesures prises par ce gouvernement consistent à dresser "les plus démunis" contre "les riches" pour justifier la spoliation des classes moyennes assimilés à ces "riches". Je croirai à leur sincérité le jour où ils dénonceront le véritable scandale de ce monde : 1 % des hommes possède 99 % des richesses de notre planète. Ils font la pluie et le beau temps ; ils manipulent les cours des matières premières et des monnaies ; ils imposent leurs normes et leurs produits ; ils font l'opinion mondiale en contrôlant les médias ; et souvent ils soutiennent des groupes armés en Afrique ou en Amérique du Sud, dans le seul but de contrôler les sources de matières premières sises dans les territoires gagnés par lesdits groupes. Ces hommes auront des compte à rendre au tribunal de Dieu. Rien ne nous empêche de prier pour eux afin d'éclairer leur conscience. Mais rien ne nous empêche non plus de dénoncer sans relâche ce scandale abominable.
Nous sommes gouvernés depuis des lustres par des hommes qui prétendent nous apporter la sécurité avec leurs lois sur le chômage, mais sont incapables de procurer du travail à leurs concitoyens qu'ils réduisent au désespoir ou forcent à l'exil. Ils se mêlent de tout et ne s'occupent de rien. Ils sont ténébreux, tortueux, vindicatifs, parfois - hélas - corrompus matériellement et très souvent corrompus intellectuellement.
Mais ils sont des hommes, des frères en humanité. C'est bien ce qui rend très difficile de lutter contre leur politique suicidaire pour la patrie, ruineuse pour leurs concitoyens, et tueuse de nos libertés. Il n'y a qu'une manière de le faire : la pensée, la réflexion, la culture et le courage de la protestation.
Simone WEIL a dit quelque part qu'une société ne pense pas. Il faut des hommes exceptionnels pour lui imposer un cours contraire à celui d'un fleuve emporté vers la mer des illusions. Nous en manquons cruellement. Ceux qui nous dirigent vont dans le sens du courant ; ils sont le produits d'une société qui se prive délibérément d'espérance et d'amour. Nous avons les dirigeants que nous avons secrétés par notre refus de Dieu.
Toutes les mesures prises par ce gouvernement consistent à dresser "les plus démunis" contre "les riches" pour justifier la spoliation des classes moyennes assimilés à ces "riches". Je croirai à leur sincérité le jour où ils dénonceront le véritable scandale de ce monde : 1 % des hommes possède 99 % des richesses de notre planète. Ils font la pluie et le beau temps ; ils manipulent les cours des matières premières et des monnaies ; ils imposent leurs normes et leurs produits ; ils font l'opinion mondiale en contrôlant les médias ; et souvent ils soutiennent des groupes armés en Afrique ou en Amérique du Sud, dans le seul but de contrôler les sources de matières premières sises dans les territoires gagnés par lesdits groupes. Ces hommes auront des compte à rendre au tribunal de Dieu. Rien ne nous empêche de prier pour eux afin d'éclairer leur conscience. Mais rien ne nous empêche non plus de dénoncer sans relâche ce scandale abominable.
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3. Infos menues.
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Merci à Brigitte qui me transmet ce texte.
"Au cours du journal télévisé de 13h00, du 24 janvier 2015, sur France 2, un reportage faisait état de la situation de l’imprimerie qui fut le dernier refuge des frères Kouachi. Les dégâts occasionnés à la suite du déclenchement des feux, mettant fin à la fuite des deux terroristes islamistes, auraient été chiffrés à 100 000 euros. Pour une remise en état des lieux, ces fonds manquent. L’imprimerie est à l’arrêt, le personnel au chômage et la population a lancé un appel aux dons qui se traduit par un millier d’euros… Je suis abasourdi et révolté par cette information. Une entreprise française subit une double peine et mendie de quoi reprendre le travail, tandis que Charlie Hebdo récolte des millions d’euros des Français… et, surtout, ce journal, qui était, initialement, en faillite, a reçu immédiatement un million d’euros de l’Etat, avec un accompagnement médiatique indécent. Je demande que ce journal, qui n’est pas le mien, reverse à l'imprimerie 100 000 euros de la somme reçue de l’Etat, soit 10%.... Dans ces 100 000 euros, venus des impôts des contribuables français, il y aura ma part… Qu’un semblant de morale ou de justice apparaisse, enfin, dans notre société qui marche sur la tête, mais qui excelle en communication…"
Je ne suis plus CHARLIE du tout !
Je ne suis plus CHARLIE du tout !
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Merci encore à Brigitte pour cet éloge des vautours !
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Lu sur le site Agora Vox ceci.
Ce texte vient confirmer ce que j'ai de l'origine de l'Islam dans plusieurs billets (textes du père SOUBEYRAND ou d'Alfred-Louis de PREMARE, notamment) :
Lu sur le site Agora Vox ceci.
Ce texte vient confirmer ce que j'ai de l'origine de l'Islam dans plusieurs billets (textes du père SOUBEYRAND ou d'Alfred-Louis de PREMARE, notamment) :
"L’actualité met l’islam
dans toutes les conversations et toutes les préoccupations. Attentats, djihad,
« islamisation », polémiques et coups littéraires masquent cependant
une réalité fondamentale de cette religion.
Un cataclysme de
proportions bibliques se déroule en effet sous nos yeux sans qu’il n’y
soit prêté attention. L’islam est entré dans sa phase d’apocalypse, et qui
sait, peut-être d’effondrement, malgré ce que laisse à penser le raidissement
des forces islamistes dans le monde entier. L'apocalypse, c'est
étymologiquement la « révélation ». L’eschatologie musulmane veut
croire qu’il s’agira du « jour du jugement », lorsque Jésus reviendra
sur terre aidé du Mahdi pour triompher des infidèles et établir l’islam à tout
jamais. Dans le monde réel, le « jour du jugement » est déjà arrivé
pour l’islam, en catimini : c'est la mise à jour récente par la recherche
historique des origines véritables de cette religion, bien loin des
présupposés de la légende islamique. Le visage du monde en sera bientôt
transformé.
Des publications d’une
portée historique quasiment sans précédent ne cessent de se succéder depuis les
années 2000, dans l’indifférence du grand public. Des sources nouvelles y sont
étudiées, des documents mis à l’écart au cours des siècles y sont redécouverts,
des hypothèses nouvelles quant aux origines de l'islam sont avancées. Ces
travaux démolissent peu à peu la validité du discours musulman et la cohérence
de l’histoire sainte musulmane, (voir par exemple Le Grand Secret de l’Islam,
synthèse de quelques unes de ces recherches parue cet automne). Le colosse
islam vacille. Il ne le sait pas encore.
Ainsi, le caractère nouveau et inédit de
la « révélation coranique » a été balayé (Edouard-Marie Gallez, Mehdi Azaiez, Manfred Kropp, Guillaume Dye) :
le consensus des chercheurs établit désormais que le coran s’inscrit dans la
continuité du milieu judéochrétien qui l’a accouché. C’est cette
« antiquité tardive », travaillée par des courants juifs et chrétiens
hétérodoxes - les spécialistes parlent de « judéo-nazaréisme ».
On a établi l’impossibilité physique de
l’existence de la ville de La Mecque au temps de Mahomet selon ce que prétend
le discours musulman (Patricia Crone).
Les « Mecquois » que décrit le Coran, et donc les origines de
l'islam, sont à chercher ailleurs, probablement en Syrie (Robert Kerr, Edouard-Marie Gallez).
Le texte coranique lui-même, soumis pour
la première fois à une étude informatisée systématique (Jean-Jacques Walter)
a révélé de tout autres fondements que ceux que le discours islamique lui
attribue : il n’a pas été composé entre 610 et 632, mais par une
cinquantaine d’auteurs différents sur une période de plus de deux cent
ans ; Mahomet ne s’est jamais prétendu le prophète d’un monothéisme
nouveau, mais a prêché l’antichristianisme du milieu nazaréen dont il était
issu (Christoph Luxenberg a
prouvé par ailleurs que le texte coranique provient pour une part de
traductions directes de l’araméen). Il n’a été intronisé fondateur d’une
religion nouvelle qu’au moins 60 ans après sa mort.
Les travaux en cours des projets Coranica et Corpus Coranicum laissent
supposer d’autres publications tout aussi renversantes. Ils convergent et
renforcent la lame de fond qui risque bien d’emporter cette religion.
Et que font les
musulmans face à cela ? Ils s’écharpent l’un l’autre au nom du
« véritable islam » qui doit selon eux prévaloir sur toute la terre.
Ils continuent de le faire aujourd’hui comme ils le font depuis 1400 ans, et ce
alors même que le tapis vient d’être tiré sous leurs pieds. Leur écrasante
majorité ignore tout de ces découvertes. Elle se braque dans le refus
dogmatique de considérer les origines de l’islam dans une perspective
historico-critique. Que fera-t-elle lorsque ces travaux atteindront la
conscience du grand public ?
Voici qui change
considérablement les présupposés des scénarios de catastrophe subtilement
élaborés par les lanceurs d’alerte, les déclinologues, les partisans du
« choc des civilisations » et autres pourfendeurs de l’islamisation
et du « grand remplacement ."
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