-
Ce n'est pas l'ignorance, le saviez-vous, qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté.
-1. La citation du jour.
-
"Cette triple fin [le Vrai, le Bien et le Beau] vers laquelle se dirigent les activités de l'homme n'est pas arbitrairement définie. La nature réelle de l'homme et la nature même de la réalité avec laquelle l'homme est en relation l'imposent à tout être humain. Etre dans la vérité, c'est conformer son intelligence à une réalité que l'intelligence n'a ni construite ni rêvée, et qui s'impose à elle. Faire le bien, ce n'est pas s'abandonner à ses instincts, à ses pulsions affectives, à sa volonté propre, c'est ordonner et subordonner ses activités aux lois prescrites par la nature et par la Divinité que l'intelligence découvre dans son inlassable quête du bonheur. Composer une belle oeuvre, ce n'est pas projeter n'importe quelle idée dans n'importe quelle matière ni construire un modèle quelconque qui ne dépend que de l'acte créateur de l'artiste, c'est obéir à une loi de perfection propre à l'oeuvre entreprise et qui se révèle, dans l'invention même, à l'activité fabricatrice de l'auteur."
In
Marcel DE CORTE.
L'intelligence en péril de mort.
Editions du Club de la culture française, Paris, 1969.
In
Marcel DE CORTE.
L'intelligence en péril de mort.
Editions du Club de la culture française, Paris, 1969.
-
2. Commentaires.
-
2. Commentaires.
-
Chacun de nous fait quotidiennement l'expérience de l'erreur ou du mensonge, et cette expérience même appelle à l'existence son contraire, qui a nom vérité. La vérité n'habite pas dans des systèmes d'idées, ces systèmes si chers à tous les "ismes" (socialismes, libéralismes, communismes, nationalismes ; c'est volontairement que je mets ces termes au pluriel car il existe des multiples versions de chacun de ces systèmes). La vérité se découvre péniblement, y compris dans l'erreur - j'exclus le mensonge qui est une perversion de l'esprit - au contact de la réalité, et non dans la conformité d'une idée avec le système de référence. En imposant le système de la laïcité à des groupes humains qui ne peuvent s'identifier, de par leur culture ou leur origine, à une vie coupée de toute relation avec la transcendance, nos gouvernants sont en accord avec leurs systèmes, ils ne le sont pas avec le réel.
Chacun de nous fait de même l'expérience quotidienne du bien ou du mal. Quand une parole blessante nous est adressée, quand nous adressons nous-mêmes une telle parole à autrui, quand nous nous réjouissons du malheur de l'ennemi, il y a au fond de nous-même une petite voix qui nous interroge : es-tu bien sûr que tu as raison de dire ou de faire ce que tu fais ? Comprends-tu pourquoi cette personne t'a blessée par son injure ? Comprends-tu que tu ne dois pas faire à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'il te fasse ? Ce n'est pas la défense de la liberté d'expression qui a poussé des millions de Français à descendre dans la rue, c'est une certaine inclination pour le bien consubstantielle à la conscience humaine. Les imbéciles se trompent d'analyse.
Chacun de nous peut faire quotidiennement l'expérience de la laideur. Madame HIDALGO a pleuré aprèsla destruction du Plug anal de McCARTHY, une "sculpture" qui a souillé pendant quelques jours la beauté de la Place Vendôme, elle n'a pour partisans que des personnes qui vivent de la transgression des règles de la beauté. Et si règles de la beauté il n'y avait pas, nous serions dans l'incapacité d'admirer telle sculpture de l'art africain, tel poème chinois, tel récit imagé des populations andines. Il ne lui revient pas, à elle, pas plus qu'à un ministère inepte de la Culture de nous indiquer ce qu'il faut admirer. Je n'admire pas une photo qui nous montre un crucifix plongé dans de l'urine, je n'admire pas un tableau peint avec des excréments humains, je n'admire pas un tintamarre produit par la percussion aléatoire de casserole, de tonneaux ou d'objets bizarres.
C'est de cette décadence du Vrai, du Bien, du Beau dans nos esprits que l'on essaie de nous faire vivre. Mais l'homme est rebelle à toutes les tentatives d'atteinte à son humanité. Nous commençons à prendre conscience de ce viol permanent que la prétendue République ne cesse d'exercer sur nos personnes, sur nos familles, sur la société. La démocratie apaisée, ce n'est pas cela.
Chacun de nous fait de même l'expérience quotidienne du bien ou du mal. Quand une parole blessante nous est adressée, quand nous adressons nous-mêmes une telle parole à autrui, quand nous nous réjouissons du malheur de l'ennemi, il y a au fond de nous-même une petite voix qui nous interroge : es-tu bien sûr que tu as raison de dire ou de faire ce que tu fais ? Comprends-tu pourquoi cette personne t'a blessée par son injure ? Comprends-tu que tu ne dois pas faire à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'il te fasse ? Ce n'est pas la défense de la liberté d'expression qui a poussé des millions de Français à descendre dans la rue, c'est une certaine inclination pour le bien consubstantielle à la conscience humaine. Les imbéciles se trompent d'analyse.
Chacun de nous peut faire quotidiennement l'expérience de la laideur. Madame HIDALGO a pleuré aprèsla destruction du Plug anal de McCARTHY, une "sculpture" qui a souillé pendant quelques jours la beauté de la Place Vendôme, elle n'a pour partisans que des personnes qui vivent de la transgression des règles de la beauté. Et si règles de la beauté il n'y avait pas, nous serions dans l'incapacité d'admirer telle sculpture de l'art africain, tel poème chinois, tel récit imagé des populations andines. Il ne lui revient pas, à elle, pas plus qu'à un ministère inepte de la Culture de nous indiquer ce qu'il faut admirer. Je n'admire pas une photo qui nous montre un crucifix plongé dans de l'urine, je n'admire pas un tableau peint avec des excréments humains, je n'admire pas un tintamarre produit par la percussion aléatoire de casserole, de tonneaux ou d'objets bizarres.
C'est de cette décadence du Vrai, du Bien, du Beau dans nos esprits que l'on essaie de nous faire vivre. Mais l'homme est rebelle à toutes les tentatives d'atteinte à son humanité. Nous commençons à prendre conscience de ce viol permanent que la prétendue République ne cesse d'exercer sur nos personnes, sur nos familles, sur la société. La démocratie apaisée, ce n'est pas cela.
-
3. Informations diverses.
-
On ne lâche rien, en effet (Photo du Salon beige).
Comme vous pouvez le voir, il y en a des ringards en France, des nombreux, des qui ne sont pas CHARLIE, ce qui désespèrent les imbéciles des rédactions bien pensantes : L'obs, Libération ou Le Monde, sans compter les journaux gratuits à la solde, comme Direct 8 (un des moins mauvais) ou Metronews. Ils nous prennent pour des imbéciles ces imbéciles ? Ils n'ont strictement rien compris à ce qu'est l'homme, à ce qui fonde sa dignité et sa liberté. Ce ne sont pas les lois, les règlements, les décrets, les injonctions laïques qui la lui confère, mais sa conscience et l'expérience concrète de la vie. Ils ne voient pas que la vie, la vraie, est en train de se développer et de se dérouler loin d'eux, sans eux, dans l'indifférence la plus complète à leurs élucubrations.
On ne lâche rien, en effet (Photo du Salon beige).
-
Sans commentaires ! Ou le règne de la démagogie aveugle.
"Le 30 janvier 2015, alors en campagne pour les législatives partielles, M. Charles Demouge, candidat UMP, a affirmé au micro de BFMTV : « Ce sont les bons petits blonds qui m'emmerdent ». Il parle également de « Français autochtones ».Nous demandons expressément à M. Charles Demouge d’expliquer ce qu’il entend par « bons petits blonds » et « français autochtones », afin de clarifier le groupe de personne qu’il vise par ces propos.Nous demandons également au président de l’UMP, Nicolas Sarkozy, de sanctionner immédiatement ce membre de l’UMP, comme l’UMP a pu en être capable lorsqu’il fallait sanctionner des propos « homophobes » ou « racistes ».Il est impossible, aujourd’hui, d’accepter de tels propos qui divisent, clivent et détruisent la concorde civile et le respect des uns et des autres.Le bureau exécutif de l’AGRIF envisage actuellement les suites à donner à ces propos violents et inacceptables."
Personnellement, je ne voterais jamais, si je le devais, pour un homme qui tient de tels propos, signe d'un dévoiement du coeur et de l'intelligence, preuve tangible et concrète d'un racisme d'autant plus ignoble qu'il se vêt des oripeaux de l'antiracisme. Monsieur DEMOUGE est un des candidats les plus sérieux au trône des imbéciles ! Qu'on se le dise et qu'on agisse en conséquence.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire