Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai !
Ignorance ? Mon oeil !
Déni et manipulation surtout.
Ce sera ma manière de résumer notre devise
-1. La deuxième citation du jour.
-
Ce n'est pas à vrai dire une citation, mais le pillage
d'un excellent article de Marc CRAPEZ publié sur le site des Nouvelles de
France :
"Le 4 septembre dernier, un article du
journal Le Monde, intitulé « Migrants : la guerre des
images », renvoyait toute contestation du témoignage du père d’Aylan dans
l’enfer de l’extrême-droite complotiste. Le 8, Libération enchaîne
avec un article : « Non, les photos d’Aylan n’ont pas été mises en
scène ». Le 10 vers midi, l’accusation de complotisme d’extrême-droite est
réitérée par un second article duMonde : « Mort d’Aylan :
mensonges, manipulation et vérité ». Le stigmate de la manipulation est
retourné contre l’adversaire d’extrême-droite, qui contesterait la version
officielle « Y compris en usant de procédés malhonnêtes : manipulation des
images, contre-vérités sur la famille de l’enfant ».
Au même moment pourtant, plusieurs médias australiens
recueillaient le témoignage d’une passagère qui accuse le père d’Aylan d’avoir
fait partie des passeurs (Sky News, The Daily Telegraph, The
Sydney Morning Herald). Ce jeudi 10 à 22h, le Wall Street Journal observe :
« Le récit du naufrage du bateau de migrants est contesté ». Le
lendemain matin 11 septembre, le Corriere della Sera embraye :
« Une femme accuse le père d’Aylan : ‘c’est lui le passeur’ ».
Simultanément, Le Journal de Montréal publie un
article intitulé : « Abdullah Kurdi est un passeur, accuse une
réfugiée ». La chaîne d’info québécoise TVA Nouvelles emboîte le
pas : « Le père du petit Aylan est un passeur ».
Le monde anglo-saxon et l’Italie commencent à informer
leurs citoyens de l’existence d’une contestation du témoignage du père d’Aylan.
D’autres pays suivent. A 15 h, le site d’info belge 7 sur 7 répercute
l’accusation : « ‘Le père d’Aylan est un trafiquant: il est
responsable de sa mort’ ». A 18h, la version suisse du journal 20
Minutes fait de même : « Le père d’Aylan est un
trafiquant ». Pas étonnant si l’on précise qu’un débat organisé à la
télévision suisse laissait la parole à pas moins de deux critiques de la
version sacro-sainte de la photo d’Aylan (émission « Infrarouge » du
8 septembre).
Dans d’autres pays, en revanche, le pouvoir
d’intimidation de la version officielle est tel que la remise en cause est
laborieuse. En Allemagne, il faut attendre 21 h, et ce n’est que sur le site
conservateur-populiste Politically Incorrect : « Daily
Mail : le père d’Aylan Kurdi est le passeur ». En Espagne, il faut
attendre minuit pour que El Mundo explique : « Le
père d’Aylan est accusé d’être un des trafiquants qui conduisaient le bateau,
mais il nie ».
En France, les deux articles du Monde valent
avertissement : les journalistes n’osent émettre des doutes qui leur
vaudraient de se voir extrême-droitiser. L’omerta est rompue à 17 h par Le
Nouvel Obs, dans un article non signé de tonalité sceptique :
« Selon une survivante interrogée par la télévision australienne, le père
d’Aylan ‘était un passeur, il conduisait le bateau’ ». Quelques jours
auparavant, le même journal titrait : « Aylan et sa famille, morts
d’avoir voulu fuir la guerre ». Le Figaro suit à
21 h : « Aylan : le récit du père contesté par une survivante du
drame ». Puis Atlantico : « Le récit du père d’Aylan contesté
par une survivante qui affirme qu’il était ‘un passeur’ ». Le souci de
circonspection ne suffit pas à expliquer un manque de courage qui provient de
la peur de se voir assimiler à l’extrême-droite. Comme si le seul fait qu’une
information soit relayée par l’extrême-droite la rendait suspecte.
Marc Crapez est chercheur en science politique. Vous
pouvez visiter sa page Facebook ici.
-
2. Commentaires.
-
Un bel exemple de manipulation. Nous ne voulons pas que notre souveraineté
soit inféodée à des lobbies et des institutions qui ne représentent rien
d'autres qu'elles-mêmes et passent leur temps à moudre du vent.
Nous ne voulons pas que l'on nous dicte notre manière de penser. Dans la
section des petites informations, vous verrez comment fonctionne la dictature
de la pensée de gôôôôche, et vous comprendrez les raisons de la perte
d'influence des journaux qui l'encensent. Les milliards de monsieur BERGE ne peuvent
rien contre le bon sens du Peuple.
-
3. Informations menues et intéressantes.
-
Un bel exemple de tolérance que celui des maires de gauche à quelqu'un qui
ose ne pas penser comme eux et le dit !
Ceci ne signifie aucunement que j'approuve ni ne
désapprouve monsieur SANCHEZ. Simplement, je pense qu'en matière d'accueil des
"réfugiés", il apparaît nécessaire de faire preuve de
discernement.
-
Réjouissantes nouvelles : la presse de gôôôôche est en
train de
mourir à petit feu ! (Via le Salon beige.)
En pourcentage.
§
Le Monde : -14,47 % (perte d'un lecteur sur 7) ;
§
L'OBS : -17,51% (perte d'un lecteur sur 6) ;
§
Libération : -27,86 % (perte d'un lecteur sur 4).
En nombre de lecteurs
perdus par la gauche.
§
L'OBS perd plus de 88 000 lecteurs (on comprend qu'avec une plume et un organe aussi remarquables que celui de Bruno Roger PETIT, les lecteurs fuient à tire d'aile) ;
§
Le Monde plus de 44 000 ;
§
Libération plus de 33 000 (on comprend qu'avec une plume aussi alerte que celle de madame Bernadette SAUVAGET, les lecteurs prennent la poudre d'escampette) ;
Pour rappel : Le Monde et L'OBS ont le
même trio d'actionnaires (dont un certain Pierre Bergé). Et Le Monde est en
train d'acheter L'OBS.
Je dois dire que cette nouvelle est des
plus réjouissantes. Que les bourreurs de crâne voient leur influence décroître
n'est point fait pour me déplaire ! Ils le doivent au profond désamour qu'ils portent à leur patrie, au privilège qu'ils accordent à une mondialisation apatride et financiarisée, et au mépris, voire à la haine, qu'ils portent à ceux qui ne pensent pas comme eux. Si au moins, ils argumentaient au lieu d'anathématiser, on pourrait au moins dialoguer !
-
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire