jeudi 3 septembre 2015

03 septembre 2015. Reprise des Nouvelles de la Résistance. Le Temps, maître de Vérité.

Je reprends mes billets après une longue panne informatique qui m’a empêché de les produire. Que mes lecteurs habituels veuillent bien excuser cette désertion momentanée.
-
Ce n’est pas l’ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c’est la lâcheté,

l’ignoble lâcheté de ceux qui préfèrent le pouvoir à tout autre forme de pensée.
J’ose dire que depuis le fondement de la République qui se prétend française, nous sommes gouvernés par des gens qui feignent de donner au peuple le pouvoir souverain, mais le méprisent au plus profond d’eux-mêmes. Pour eux nous sommes tous des
SANS DENTS ! Mais qu'ils prennent bien garde, parfois il nous arrive de mordre !

-
1. Les citations du jour.
-

Nous fêtions hier les bienheureux martyrs de la prison des Carmes, massacrés par des ignobles, le 2 septembre 1792. 
Nous sommes au petit matin du 3 septembre 1792. Voici ce que dit un historien bien placé (et pour cause) de la fin de ces égorgements, embrochements, et autres fariboles de la République Libre, Egalitaire et Fraternelle, dans son exemplaire manifestation de ces journées d'horreur.

(a) "Il était entre 6 et 7 heures du soir quand le massacre prit fin. Près de 120 confesseurs de la foi avaient succombé. Une trentaine de prêtres avaient pu s'échapper ou avaient été épargnés. Voyant leur épouvantable tâche finie, les assassins célébrèrent leur crime par une orgie dans l'église maintenant vide de ses prisonniers. Ils chantaient la Carmagnole lorsqu'ils entendirent le mouvement qu'un prêtre caché et étouffant entre deux matelas fit pour respirer. C'était l'abbé Dubray, prêtre de la communauté de la paroisse Saint-Sulpice. Les bourreaux le saisissent et l'entraînent jusqu'aux marches de l'autel où ils lui fendent le crâne. Ce fut la dernière victime. A la fin du massacre, on avait fait ouvrir les portes de l'église, pour faire entrer la populace et donner à cette horrible catastrophe une sorte de légalisation populaire. On vit de honteuses scènes de pillage : on fouillait, on dépouillait les cadavres. La nuit mit fin à cette triste suite du drame. La Section du Luxembourg prit rapidement des mesures pour faire inhumer les corps des victimes. Le plus grand nombre gisait autour du petit escalier où ils avaient été égorgés. Dès le lendemain on les dépouilla de leurs vêtements et on les amoncela au pied d'un if […]."
Eugène LEVESQUE, Supérieur du séminaire de Saint-Sulpice.
Sans mention d’éditeur, Paris, 1928.

J’en appelle maintenant et encore à Arthur SCHOPENHAUER, pour une ultime fois ! Oui le Temps est un maître de Vérité, et la Vérité est claire : c’est par la violence, le sang, les crimes et l’irréligion que s’est imposé ce régime qui n’a rien de démocratique et dont l’ultime et vénéneuse efflorescence a pour prénom Najat, la belle carnassière. Elle continue avec sa laïcité à la française l'oeuvre de sanglants prédécesseurs qui prétendaient régénérer l'humanité en tuant les âmes quand ce n'était pas les hommes !

(b) "De tout temps, la pauvre Vérité a eu à rougir de n’être qu’un paradoxe : et pourtant ce n’est pas sa faute. Elle ne peut prendre la forme de l’erreur qui trône partout. Alors, gémissante, elle implore du regard son dieu protecteur, le Temps, qui du doigt lui montre le triomphe et la gloire futurs. Mais le Temps a un coup d’aile si ample, si lent, que, cependant, l’individu meurt. [….]."
Arthur SCHOPENHAUER.
Le fondement de la morale.
-
2. Commentaires.
-
On ne commente pas l’évidence. Je demande simplement à mes lecteurs de réfléchir à ce que signifie la laïcité, la morale, la République, quand toutes ces estimables valeurs (je les tiens en effet pour estimables, qu'on ne s'y trompe pas) reposent sur le mensonge et le silence complice avec les assassins.
-
3. Informations diverses.
-
Le système Taubira : une lien intéressant !

http://www.leparisien.fr/economie/cafe-­‐chocolat-­‐les-­‐prisons-­‐cassent-­‐les-­‐prix-­‐27-­‐
06-­‐2012-­‐2067470.php
-
Dans le GARD, drôles de paroissiens !

La croix très ancienne de MONTFAUCON a été vandalisée.


Plus :

Saccage de l’oratoire de la Vierge de l’Eglise Jeanne d’Arc à Nîmes.
Vandalisme à répétition à l’Eglise Saint Dominique à Nîmes,
Inscriptions christianophobes sur l’Eglise de Sumène cette année
Iincendie et profanation de la chapelle Saint-Sébastien à Courry début août,
Vandalisme de l’Eglise de Saint-André-de-Valborgne.
-
Petites annonces.

Je recherche un microscope pour mieux observer l'ampleur de la reprise et la baisse des impôts.


Aucun commentaire: