lundi 21 octobre 2019

Lundi 21 octobre 2019. Le chaos organisé


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Nous vivons dans une société qui organise le chaos.
Au motif qu’un TER avait percuté un convoi exceptionnel bloqué sur les rails à un passage à niveau, dans les Ardennes, un grand nombre d’agents de la SNCF, dûment chapitrés par l’insolente moustache de monsieur MARTINEZ ont cessé de travailler en invoquant le droit de retrait. Ce dernier, effectivement prévu par le code du travail, est exercé quand il y a un danger à travailler pour l’agent ou les agents qui l’invoquent.
Je vous invite à consulter les deux liens que voici pour avoir une idée de ce qui s’est passé et vous faire une opinion sur ce droit de retrait.



Un grand nombre de trains ont été supprimés, notamment tous les Ouigo, et ceci un jour de départ en vacances. Ainsi, les moins fortunés, notamment les familles avec enfants qui avaient prévu de partir quelques jours en vacances ont été pénalisées, sans autres solutions de remplacements que de prendre un TGV (quand il y en avait), bondé, que de rester debout des heures durant, à tâcher de calmer l’impatience et la fatigue des enfants. Si je dis  cela c’est que je l’ai vécu. C'est un véritable scandale. N'oublions jamais que l'idéologie se moque toujours des hommes concrets.
Normalement le droit de retrait s’exerce sur 24 h. La grève, car c’est une grève, illégale de surcroît, a duré presque 2 jours et demi. Les cheminots d’Occitanie, par exemple, ont d’un commun accord cessé tout travail, en invoquant ce fameux droit de retrait, comme si leur sécurité était, à Toulouse ou à Bordeaux, menacée par un accident survenu à l’autre bout du pays. Ils prétendent que la présence d’un deuxième agent de conduite est indispensable pour assurer la sécurité du transport. Dans le cas de l’accident de Ardennes, c’est fort douteux. Mais un jour viendra où tout sera automatique, y compris la sécurité, et il ne restera aux cheminots que leurs yeux pour pleurer, sans que la sécurité soit du reste mieux assurée. Vous remarquerez, en effet, que la plus grande insécurité règne sur certaines lignes du RER, notamment le soir, sans que le moustachu de la CGT s’émeuve des insultes, des menaces et des quolibets lancés aux conducteurs, par des racailles, c’est-à-dire des bandes ethniques, bien identifiées, contre lesquelles les pouvoirs publics semblent être impuissants. Sur ces lignes, c’est quotidiennement que le droit de retrait pourrait s’exercer.
Gouvernement, syndicats, médias s’en moquent. Non seulement ils organisent le chaos, mais encore ils ne veulent pas le voir. 

Je ne parle pas du chaos introduit par la loi en matière de filiation. Dans un prochain billet je reparlerai de ce chaos-là, beaucoup plus grave encore. Et aussi des conséquences de l’apostasie de notre patrie, de l’aveuglement et de la lâcheté des hommes politiques et du gouvernement devant l’apparente irrépressible avancée d’un islam salafiste ou wahhabite, financé par le Qatar et l’Arabie saoudite, dans notre pays. Tout cela relève de l’organisation légale du chaos dans notre société et il n’est pas question de laisser faire.

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