-
Nous vivons dans une société qui organise le
chaos.
Au motif qu’un TER avait percuté un convoi
exceptionnel bloqué sur les rails à un passage à niveau, dans les Ardennes, un
grand nombre d’agents de la SNCF, dûment chapitrés par l’insolente moustache
de monsieur MARTINEZ ont cessé de travailler en invoquant le droit de retrait.
Ce dernier, effectivement prévu par le code du travail, est exercé quand il y a un danger à
travailler pour l’agent ou les agents qui l’invoquent.
Je vous invite à consulter les deux liens
que voici pour avoir une idée de ce qui s’est passé et vous faire une opinion
sur ce droit de retrait.
Un grand nombre de trains ont été
supprimés, notamment tous les Ouigo, et ceci un jour de départ en vacances.
Ainsi, les moins fortunés, notamment les familles avec enfants qui avaient
prévu de partir quelques jours en vacances ont été pénalisées, sans autres
solutions de remplacements que de prendre un TGV (quand il y en avait), bondé,
que de rester debout des heures durant, à tâcher de calmer l’impatience et la
fatigue des enfants. Si je dis cela c’est
que je l’ai vécu. C'est un véritable scandale. N'oublions jamais que l'idéologie se moque toujours des hommes concrets.
Normalement le droit de retrait s’exerce
sur 24 h. La grève, car c’est une grève, illégale de surcroît, a duré presque 2
jours et demi. Les cheminots d’Occitanie, par exemple, ont d’un commun accord
cessé tout travail, en invoquant ce fameux droit de retrait, comme si leur
sécurité était, à Toulouse ou à Bordeaux, menacée par un accident survenu à l’autre
bout du pays. Ils prétendent que la présence d’un deuxième agent de conduite
est indispensable pour assurer la sécurité du transport. Dans le cas de l’accident
de Ardennes, c’est fort douteux. Mais un jour viendra où tout sera automatique,
y compris la sécurité, et il ne restera aux cheminots que leurs yeux pour
pleurer, sans que la sécurité soit du reste mieux assurée. Vous remarquerez, en
effet, que la plus grande insécurité règne sur certaines lignes du RER, notamment
le soir, sans que le moustachu de la CGT s’émeuve des insultes, des menaces et
des quolibets lancés aux conducteurs, par des racailles, c’est-à-dire des
bandes ethniques, bien identifiées, contre lesquelles les pouvoirs publics
semblent être impuissants. Sur ces lignes, c’est quotidiennement que le droit
de retrait pourrait s’exercer.
Gouvernement, syndicats, médias s’en
moquent. Non seulement ils organisent le chaos, mais encore ils ne veulent pas
le voir.
Je ne parle pas du chaos introduit par la
loi en matière de filiation. Dans un prochain billet je reparlerai de ce
chaos-là, beaucoup plus grave encore. Et aussi des conséquences de l’apostasie
de notre patrie, de l’aveuglement et de la lâcheté des hommes politiques et du
gouvernement devant l’apparente irrépressible avancée d’un islam salafiste ou wahhabite,
financé par le Qatar et l’Arabie saoudite, dans notre pays. Tout cela relève de
l’organisation légale du chaos dans notre société et il n’est pas question de
laisser faire.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire