mardi 8 octobre 2019

Mardi 08 octobre 2019. Mes chroniques : qui c'est que c'est-y qu'avait raison (suite, et sans doute pas fin !)


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Le billet est un peu long, je sais. Mais l'actualité nous oblige à confronter les événements tragiques de la Préfecture de police, l'aveuglement volontaire de nos gouvernants, et la chasse honteuse ouverte contre ZEMMOUR. Il va de soi (et je l'explique plus bas) qu'il faudrait nuancer son propos, et surtout prendre les moyens de combattre le radicalisme islamiste. Il n'en est qu'un : l'annonce du salut en Jésus-Christ. Mais pour les farouches anticléricaux, francs-maçons, athées, c'en est trop. C'est la religion elle-même qu'il faut détruire : les imbéciles ont des jours douloureux devant eux !
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CHRONIQUE DE QUI C’EST QUE C’EST-Y QU’AVAIT RAISON.
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Dans mon billet du lendemain de la tuerie de la Préfecture de police, j’évoquais la possibilité que l’assassin ait emporté par devers lui des informations sur ses collègues chargés de la lutte contre le terrorisme. Bien entendu, personne n’en parlait, surtout pas les médias jusqu’à ce que que, patatras, le pot aux roses fût découvert.

Dans n’importe quelle démocratie, le Préfet de police aurait été démissionné, et le ministre de l’intérieur aurait été prié de prendre la sortie. Il n’en est rien, mais rien du tout. Les responsables évoquent des « dysfonctionnements » d’État. Il ne leur vient même pas à l’idée qu’ils sont un rouage essentiel de cette machine, de ce bateau ivre et que quand un rouage est défaillant, on le remplace. Et pourtant :




Eh oui ! Il est encore là.

Je prends le pari : il n’interviendra pas et attendra que le feu s’éteigne… Car c’est le propre de l’opinion publique que d’oublier, passée l’émotion.

J’avais dit aussi que le tueur fréquentait une mosquée dirigée par un imam radicalisé et fiché S. La chose a été prouvée. Pensez-vous que la hiérarchie de la Préfecture de police se soit préoccupée de cette inquiétante fréquentation ? Nenni ! Nenni, vous dis-je.

Or mon intuition était exacte, trop exacte.

Et même monsieur DRAY met les pieds dans le plat.

Dans le même temps, une horde de censeurs, juchés sur les hauts toits de la haute morale médiatique (les hauts lieux de Canaan !) veulent zigouiller ZEMMOUR sur l’autel de leurs petites croyances. Il n’y en a pas un pour relever l’autre, pas un qui ait eu l’intelligence de faire la différence entre musulmans, islam, radicalisés, théologie musulmane et Mahomet, tout comme il convient de faire la différence entre chrétiens, christianisme, intégristes, théologie chrétienne et Jésus-Christ. ZEMMOUR, avec sans doute une virulence excessive, condamne l’intrusion de l’islamisme dans notre patrie. Les événements ne lui donnent pas vraiment tort. Ils ont bonne mine, les enfarinés du vivre-ensemble : écoutez-les ! Et versez quand même quelques pleurs sur les familles endeuillées, y compris celle du tueur qui avait deux enfants.



On hurle, on dézingue, mais jamais on n’argumente. Elisabeth a bien raison.

Or qu’a dit Éric ZEMMOUR contre qui la chasse est lancée ? Je vous livre le texte que m’a communiqué un ami alsacien.

"La chasse est ouverte ! Pas celle au sanglier ni aux perdreaux, mais celle qui va tenter, dans les prochains jours, de tuer journalistiquement Éric Zemmour. Les grandes orgues sont lancées. Il ne reste plus qu’un tweet d’Emmanuel Macron pour achever la bête immonde.
Édouard Philippe, qui n’a rien à se reprocher, a évoqué « les discours nauséabonds de la Convention de la droite » dont il a eu de la peine à prononcer le nom. Hollande, sur France Inter, a dénoncé « l’outrance introduite dans le système médiatique » car « ce n’est pas n’importe quel propos qu’il a prononcés ». L’ineffable BHL s’est fendu d’un tweet en affirmant que Zemmour avait déclaré la guerre aux musulmans et cristallisé le Grand Remplacement.
Ce Grand Remplacement qui reste, évidemment, une illusion mais que Jean-Pierre Chevènement avait tout de même osé évoquer au micro de France Inter, le 29 août 2016 (déjà !), en dénonçant le fait que « 80 % des enfants du primaire du 93 ne maîtrisent pas le français. Il y a à Saint-Denis 135 nationalités mais une a quasiment disparu. »
Visiblement, quand c’est évoqué par Éric Zemmour, cela devient islamophobie, xénophobie et j’en passe. Ce qu’a aussitôt affirmé le parquet de Paris en annonçant l’ouverture d’une enquête pour injures publiques et provocation publique à la haine, à la discrimination ou la violence. Sibeth NDIAYE, que le polémiste avait qualifiée de « sommet de la distinction française », lui a très vite répliqué en le qualifiant d’« avatar de cette pensée xénophobe ».
Et tout ce petit monde bien formaté par quarante ans de non-dit a été rejoint par les confrères de Zemmour. D’abord la Société des journalistes de LCI, qui s’est désolidarisée de la diffusion de ces élucubrations, puis la Société des journalistes du Figaro, qui vire de plus en plus à gauche, qui a réclamé qu’un terme soit mis à sa collaboration.
Un homme vient de s’élever contre cette chasse aux sorcières en la personne de Philippe de Villiers, qui a tweeté : « Le parquet lance une procédure contre Zemmour. C’est le signal d’une dérive totalitaire du gouvernement, la fin de la liberté d’expression. Si Zemmour va en prison, je revendique l’honneur d’être son voisin de cellule. » Merci, cher Philippe. Je reconnais bien là la noblesse qui vous anime.
Tout ce charivari parce qu’Éric Zemmour, que dans ces colonnes certains verraient bien à l’Élysée, a osé parler. Dans cinquante ans, la France ne sera plus ce qu’elle fut depuis la nuit des temps parce que, a dit Zemmour, « l’avenir n’est pas fait par les courbes économiques mais par des courbes démographiques ». Contestable, cette affirmation : « En France, comme dans toute l’Europe, tous nos problèmes sont aggravés par l’immigration, école, logement, chômage, déficits sociaux, ordre public, prisons […] et tous nos problèmes aggravés par l’immigration sont aggravés par l’islam. C’est la double peine » ? Ou est la haine ?
Une citation qui tue le macronisme et les gouvernements précédents : « L’État français est l’arme de destruction de la nation et de l’asservissement de son peuple, du remplacement de son peuple par un autre peuple, une autre civilisation. »
Les réseaux sociaux se sont très vite enflammés. Divisant, une fois de plus, la France en deux camps très éloignés l’un de l’autre."

Je ne vois, moi, qu’une solution. Annoncer aux nations que la Bonne Nouvelle du salut, c’est à dire la promesse de la Vie éternelle nous a été délivrée par Jésus-Christ.




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