Depuis avril 2007, je m'efforce, avec un bonheur inégal j'en conviens, de donner des éclairages personnels sur les événements politiques, économiques ou culturels, en m'efforçant de les replacer dans le contexte d'une vie sociale morale et humanisée, c'est à dire accordée à la fin qui nous est due, et vers laquelle NOUS DEVONS nous diriger pour atteindre le bonheur. J'ai essayé de vous montrer combien les échafaudages intellectuels des idéalistes, qui ne s'appuient que sur leur cerveau et non point sur le réel, nous conduisaient à l'abîme. Et je suis étonné de voir que, si j'ai des lecteurs, j'ai très peu de contradicteurs, ou de commentateurs ce qui me donne à penser que je suis loin d'avoir atteint l'objectif que je m'étais fixé. Je me sens déserté, quand bien même je sais que j'ai quelques lecteurs assidus. Je les prie, et je prie les lecteurs occasionnels, d'apporter leur contribution à un combat qui est essentiel pour l'avenir de l'humanité : le combat pour la pensée. Il s'agit de savoir si l'homme est le maître absolu de l'homme, ou s'il existe dans le réel des piliers solides, qui ne dépendent pas de nous, sur lesquels nous appuyer pour progresser sur la voie de la concorde et de la paix. Car c'est bien de cela qu'il s'agit. Je vous supplie donc d'être à vos plumes, de titiller vos petites cellules grises et de me donner votre avis, car on réfléchit mieux à plusieurs que tout seul. Demain, j'essaierai de vous montrer comment DESCARTES interprété par des esprits qui annonçaient la dialectique de HEGEL nous a fourvoyé sans le vouloir, et pourquoi, nous, Français, nous avons tant de mal à ne pas passer pour arrogant aux yeux des étrangers, et pourquoi, encore, nous n'exportons que des idées, ou des révolutions, mais assez peu de marchandises.
samedi 1 mars 2008
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1 commentaire:
Mon cher Philippe,
Chacun de tes billets demande une lecture attentive et approfondie, ensuite il faut comparer avec les sédiments de notre mémoire à long terme, faire un tri souvent douloureux avec nos conformismes, nos jugements de valeur, nos préjugés et j'en passe. Bref, nous devons changer! Cela vois tu c'est trés difficile !
Mais ce n'est pas tout il faut ensuite "penser" une réponse, avec le sentiment que ta démonstration est si évidente que probablement nous ne pouvons rien apporter de plus.
Enfin, il faut maîtriser la technique (je ne sais pas encore si je vais parvenir à expédier ce commentaire. En cas de doute tu recevras un courriel !
Amitiés
Francis
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