Sur le site des Veilleurs-officiels, cet appel que je répercute auprès de mes lecteurs en leur demandant d'en démultiplier l'impact auprès de ceux qui partagent nos convictions :
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"Partage si tu penses venir au Grand Paris des
Veilleurs !
"Parce qu’un homme sans mémoire est un
homme sans vie, un peuple sans mémoire est un
peuple sans avenir." Ferdinand Foch
«
Mémoire & Espérance » Le samedi 31 août s’achèvera la grande marche des
Veilleurs, en plein cœur de Paris. Cette journée sera l'aboutissement de vingt
jours de marche et de plus de quatre mois de veille. Il sera temps de faire
mémoire de l’histoire que nous avons écrite sur l’asphalte de nos places et
dans le secret de nos consciences.
Mais
ce ne sera pas la fin. Non. Cette journée sera un nouvel élan, le commencement
d'une saison inédite, la préface de toutes les veillées à venir, riche de
promesses, de projets et d’initiatives durables pour l’avenir.
A
l’aube de cette rentrée nouvelle, offrirons-nous le spectacle d’un peuple résigné,
indifférent face à l’avenir qu’on nous dessine, ou bien aurons-nous la
généreuse persévérance d’assumer pleinement le rôle qui est le nôtre : celui de
relever sans relâche l’âme et la conscience d’un peuple, de nous rebeller
pacifiquement face aux violences, aux mensonges et aux injustices, et de semer
enfin l’espérance d’un avenir où chaque personne sera honorée dans ses
différences et sa dignité propres, tout en acceptant de porter pour son pays un
projet commun ?
Il
appartient à chacun d’entre nous de lancer un signal vibrant et fort à
l’approche des rentrées scolaire et parlementaire.
Tout
est entre nos mains !"
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Cet appel est fort, inattendu, et plein d'espérance. Je supplie mes lecteurs parisiens d'être au rendez-vous du 31, pour montrer à nos gouvernants, avec détermination et non violence, le refus de la civilisation mercantile, hédoniste, ultralibérale au sens le plus négatif du terme, dépourvue de tout sens et mortifère qu'ils veulent nous imposer. C'est un refus définitif qui implique le plus intime de chacun d'entre nous. Il me revient en tête, à ce point de mon billet, un passage du Chândogya Upanishad (3, 13, 7), un des antiques poèmes religieux de l'Inde, un passage recueilli au cours de mes récentes lectures : "Oui, cette lumière d'au-delà du firmament, qui brille par-delà tout, par-delà les mondes les plus hauts, oui, cette lumière, c'est celle-là même qui brille dans le cœur de l'homme". Voilà ce que révèlent au grand jour les Veilleurs, voilà ce que ce Gouvernement et tous les autres avant lui ne comprennent pas, n'ont jamais compris et ne peuvent comprendre dans le cadre de l'actuel régime. "Et la Lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres n'ont pu l'atteindre" (Jn 1, 5) dit saint Jean, rejoignant et sublimant la parole des Upanishad en nommant la source de cette Lumière. A chacun de nous, il est donné de l'accueillir. C'est possible, c'est urgent ! Ne pas attendre.
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