Je n'aime pas beaucoup faire état d'opinions ou de jugements ou d'analyses quand il ne m'est pas possible de connaître le nom des auteurs. Si je vous fais part de la colère de cet homosexuel contre monsieur HOLLANDE, l'homme au cœur sec, c'est que la source secondaire m'est connue : il s'agit du site des Nouvelles de France, et que l'analyse me paraît particulièrement pertinente. De plus, une référence citée en fin d'article donne accès à un autre document que je n'ai pas encore consulté mais qui pourrait donner le nom de l'auteur.
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Colère d’un
homo contre Hollande, le président au cœur sec
Monsieur le président,
Devenu, en une année, le président le plus détesté de
toute la 5e République, vous vous interrogez peut-être sur ce
record d’impopularité. Je viens – bénévolement – vous en donner la clé.
Contrairement
à ce que beaucoup disent, ce qui choque le plus, dans votre personnalité, ce
n’est ni votre effrayante mollesse, ni vos gaffes répétées, ni même votre
criante incompétence, mais, jointe à tout cela, votre trop visible sécheresse
de cœur. Depuis votre élection, le ciel a pourtant multiplié ses efforts pour
humidifier l’atmosphère. Il n’a pas réussi à toucher votre cœur. Et cette
sècheresse d’âme vous rend détestable.
Notez que
c’est un ensemble : la sécheresse et même la dureté sont assez facilement
tolérées chez une personne active, énergique, entreprenante. À l’inverse,
le rigolard rondouillard reste, dans son lard, sympathique, quoique apathique,
tant qu’il est généreux, affable et bienveillant. Mais réussir à être à la fois
grassouillet et sec, flasque et roide – en un mot : mou mais dur, c’est
votre secret. Celui de votre impopularité.
Votre sécheresse, vous l’étalez en permanence. La
seule émotion que la misère d’autrui réussisse parfois à vous inspirer, c’est
l’amusement. Face à la détresse des commerçants de Lourdes, par exemple :
« Hé, hé, hé ! Votre saison est en croix ! Hi hi hi ! »
Si ce n’est pas de l’inhumanité, qu’est-ce donc ?
En deux
circonstances : envers les mourants et envers les homosexuels, cette
inhumanité atteint des sommets.
Inhumanité face aux mourants
Un de vos enfants, Monsieur Hollande, fait une
tentative de suicide (notez qu’il aurait des motifs, le malheureux). Comment
réagissez-vous ? Essayez-vous de comprendre le message de détresse qu’il
vous adresse ? Ou bien l’aidez-vous tranquillement à achever son acte, lui
plantant un couteau dans le cœur, et déclarant avec votre sourire
satisfait : « C’est lui qui a choisi ! » ?
Je pose la question pour la forme, vu que vous avez
déjà donné la réponse. Vous êtes, monsieur Hollande, pour le suicide
assisté. Ou plutôt : le suicide apaisé. Dans la bonne
humeur. Avec quelques petites blagues, si possible.
Tout le monde sait pourtant, au moins depuis La
Fontaine (La Mort et le bûcheron), qu’on peut appeler la mort sans souhaiter réellement mourir.
Tous les spécialistes vous expliqueront que les demandes d’euthanasie proférées
par certains malades sont très souvent des appels à l’aide. Ce qu’ils veulent, au fond, c’est seulement
qu’on les entoure mieux. Mais il est tellement plus facile de déclarer en un
cri de douleur : « Je veux mourir », que de détailler
précisément ses besoins. Cela ne signifie aucunement qu’on veut vraiment mourir.
Tout le monde le comprend. Tout le monde sauf vous, Monsieur Hollande. Vous
aussitôt, vous tuez. Et vous proclamez, avec votre éternel sourire
satisfait : « C’est eux qui l’ont voulu ! »
Quand on manque à ce point de la plus nécessaire des
intelligence, l’intelligence du cœur, quand on est incapable
d’entendre les cris de détresse des personnes dans la souffrance et qu’on
pousse la cruauté jusqu’à les prendre au mot dès qu’elles appellent la mort,
peut-on prétendre avoir un cœur ?
Inhumanité face aux homos
Même chose envers les homos, Monsieur Hollande. Là, je
suis directement concerné, puisque je suis homosexuel. Du coup, j’ai pleinement
ressenti le message de haine que
vous m’avez adressé à travers la loi Taubira.
Message de haine, oui ! Une haine clairement
discernable derrière le discours officiel (compassion, justice, égalité
des droits,…) – cette haine froide qu’on appelle ordinairement :
indifférence, égoïsme, mépris absolu.
Pourquoi, Monsieur Hollande, pourquoi cet empressement
à prendre au mot l’infime minorité qui réclamait le « mariage gay » ?
Pour payer vos dettes de campagne envers M. Bergé ? Sans doute. Mais
aussi, et surtout, pour ne pas avoir à entendre le cri de
détresse caché dans
cette revendication farfelue. C’est tellement commode, n’est-ce pas ? On
prend au mot, pour ne pas avoir à entendre la véritable demande.
Et hop : l’euthanasie ! Et hop : le « mariage
gay » !
La réalité, Monsieur le président, c’est que beaucoup
d’homosexuels sont des blessés. Des blessés de la vie. Ils souffrent de leur
état. Un certain malaise interne les
avertit, plus ou moins clairement, qu’ils ont, en eux, quelque chose de
déréglé. C’est d’abord la compassion qu’ils attendent.
Je vous entends d’ici : Pas du tout. L’homosexualité
n’a rien d’une blessure. Regardez ces milliers de gens qui défilent chaque
année lors de la Gay-Pride pour afficher à la face du monde leur fierté, leur
joie, leur béatitude d’être homosexuel !
« La réalité, Monsieur le
président, c’est que beaucoup d’homosexuels sont des blessés. Des blessés de la
vie. Ils souffrent de leur état. Un certain malaise interne les avertit, plus
ou moins clairement, qu’ils ont, en eux, quelque chose de déréglé. C’est
d’abord la compassion qu’ils attendent. »
Toujours la même tactique, Monsieur le président.
Prendre les gens au mot, sans regarder ce qu’il y a derrière. Un
grand blessé aurait suffisamment de cran, suffisamment de fierté pour vous
dire, avec un sourire forcé : « Tout va très bien » que
vous le feriez immédiatement expulser de l’hôpital, en déclarant
tranquillement : « Il l’a dit lui-même, tout va très
bien ! »
Pas besoin d’être grand psychologue pour comprendre
que la fierté ultra-affichée des militants gay, et leur extrême susceptibilité,
cachent une blessure intérieure. Une blessure que je connais bien, monsieur le
président, pour en souffrir moi-même. Je me rends compte qu’il y a en moi
quelque chose d’anormal. Et je comprends très bien qu’on puisse, par fierté, se
raidir contre ce constat. Surtout si d’autres personnes sont venues –
consciemment ou inconsciemment, par maladresse ou par cruauté – appuyer là où
ça fait mal. Réaction de fierté : Même pas mal ! Récupération
immédiate du président au cœur sec qui ne veut surtout pas avoir à se soucier
des autres : Vous voyez bien qu’il n’a pas mal !
Oui, une
minorité d’homosexuels a demandé le « mariage gay ». Comme un fils de
divorcés fait un caprice pour essayer d’attirer l’attention. Il réclame à grand
cri un jouet dont il n’a rien à faire. Ce qu’il veut, c’est que ses parents se
réunissent à nouveau pour l’aimer ensemble. Mais le père se croit d’une
générosité indépassable en achetant le jouet. Pour faire taire les cris.
Encore ce père donne-t-il un vrai jouet !
Tandis que les homos n’auront jamais, jamais
la réalité du
mariage ! Tout au plus la noce – s’ils peuvent payer…
Ce que vous
manifestez par cette loi Taubira, Monsieur Hollande, c’est votre mépris
universel. Votre morne indifférence pour tout ce qui n’est pas vous ! On
se demande d’ailleurs, dans cette histoire, ce que vous méprisez le
plus, le mariage ou les homos ? Vous le leur jetez comme on
balance un vieux meuble à des brocanteurs venus sonner à la porte – ravi de vous
débarrasser à bon compte, d’un seul coup, de l’un et des autres…
Vous connaissez la blague classique : Le
socialisme aime les pauvres ; c’est pour ça qu’il les multiplie. Cette
bonne farce vous amuse tellement que vous la refaites aux homos. Vous vous employez
à les multiplier …
Car, non, Monsieur Hollande, contrairement à ce que
raconte votre propagande officielle, on ne naît pas homo. Du
moins, rien ne le prouve. Beaucoup d’homos sont des accidentés de la vie. Je
sais bien que certains le nient frénétiquement, mais pourquoi les mêmes
insistent-ils tant pour se faire appeler « gays », sinon pour cacher
leur tristesse intime ? Pourquoi se sentent-ils si vivement agressés par
les propos « homophobes » sinon parce qu’ils réveillent leur
inquiétude intérieure ?
Tout semble indiquer qu’on ne naît pas
homo. On le devient. Souvent malgré soi. Des chocs, des accidents,
des circonstances assez diverses peuvent incliner un enfant en ce sens :
- l’homosexualité peut être la
conséquence d’un rejet par les camarades de même sexe, rejet qui peut lui-même avoir
différents motifs (par exemple, une mauvaise coordination œil-main, selon la
thèse du Dr Fitzgibbons) ;
- l’homosexualité peut aussi être une
réaction à une éducation trop puritaine (cf. les
explications du docteur Stocker),
- elle
peut être, tout simplement, la suite de réflexes conditionnés contractés au
moment de l’éveil de l’instinct sexuel.
- Etc.
(Je ne prétends pas être exhaustif.)
Dans tous
ces cas, l’homo perçoit son homosexualité comme une donnée de nature, presque
innée, tant elle semble s’imposer à lui spontanément, sans avoir été choisie.
Elle est pourtant la conséquence d’un accident (ou de plusieurs accidents
successifs). Et elle est ensuite renforcée, comme toute habitude, par chacun
des actes allant dans ce sens.
Maintenant,
examinons votre politique.
Vous
voudriez multiplier les chocs générateurs d’inversion sexuelle, que vous ne
pourriez pas mieux faire :
• Vous favorisez l’union libre, le PaCS, le divorce
et tout ce qui peut désagréger la cellule familiale : vous
multipliez donc les blessures
affectives,
• Sous couvert de bonté et de justice pour les
homos, vous promouvez l’homosexualité à la télévision, à l’école et jusque dans
le mariage. Vous influencez ainsi des jeunes qui, à cause de vous, seront enfermés dans une homosexualité
qu’ils n’ont pas choisie. Une homosexualité qui ne les aurait peut-être jamais
tentés s’ils n’avaient pas été atteints (comme je l’ai été, et sans l’avoir
cherché) par des images les poussant en ce sens, juste au moment sensible.
• Enfin pour enfermer encore plus sûrement dans
l’homosexualité, vous avez trouvé encore
mieux que l’éducation puritaine : l’éducation « Gender ».
La négation de la sexualité ! Combien d’adolescents seront, grâce à vous,
désorientés, déséquilibrés, voire poussés au suicide ?
Beaucoup d’homosexuels sont des accidentés de la vie.
Ils n’ont pas choisi l’homosexualité (du moins, pas entièrement). Ils n’y sont
pas nés non plus. Ils y ont été poussés par des circonstances, des chocs, des
accidents. Évidemment, des accidents, il y en aura toujours. On ne pourra
jamais les empêcher tous.
Mais le rôle des pouvoirs publics est quand même plutôt de les réduire que de
les favoriser, non ? Or vous faites exactement l’inverse.
Vous
prétendez aimer les homos. Mais vous favorisez l’homosexualité. Belle
trouvaille socialiste, Monsieur le président : prouver son
« amour » pour les accidentés en multipliant les accidents !
Quand on en arrive là, c’est sûr, on n’a pas de cœur, mais a-t-on encore un
cerveau ?
Veuillez
agréer, monsieur le Président, mes meilleurs souhaits de guérison.
Du même auteur :
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Jamais nous n'avons eu à la tête du pays un homme aussi aveugle, aussi sourd, aussi sûr de lui dans son erreur, aussi indécis dans sa fausse dureté. J'attends avec un certain intérêt ce qui va se passer dimanche sur les Champs Elysées !
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