samedi 11 juin 2016

11 juin 2016. Nouvelles de la Résistance : message de Jean-Frédéric Poisson.

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Chers tous, il est de la plus haute importance de nous opposer aux nouvelles dispositions liberticides, staliniennes et insupportables de la belle carnassière. Que madame Najat VALLAUD-BELKACEM, à la fois française et marocaine préfère la deuxième patrie à la première en nous imposant d'enseigner l'arabe dès le CP à des enfants destinés à vivre et à travailler en France est tout simplement gros de problèmes pour ne pas dire de guerre civile. Mais enfin la belle carnassière prêche pour son Maroc et nous ne sommes pas capables de prêcher pour notre France.
Je recommande à votre lecture cette communication de Jean-Frédéric POISSON à propos de l'autorisation préalable aujourd'hui exigée pour ouvrir une école hors contrat, alors que jusqu'ici le régime de la déclaration préalable suffisait.
S'il faut descendre dans la rue pour défendre nos libertés mis à mal par ces idéologues, eh bien nous y descendrons, et en masse.
Voici la déclaration de monsieur POISSON, à qui j'offrirai sans hésiter mon suffrage aux élections dites primaires, organisées par quelques cliques et écuries énarcho-élitiques qui ne valent guère mieux que les cliques issues de la promotion Voltaire. Monsieur POISSON pense haut et bien. Ses idées sur l'homme sont saines et pleines de bon sens. N'hésitez pas à voter pour lui. Après le premier tour, on verra bien :

"Si Najat Vallaud Belkacem persiste dans sa volonté de mise sous tutelle des écoles hors contrat, je saisirai le Conseil constitutionnel.
 
Ce matin en conférence de presse, la ministre de l’Education nationale a confirmé son coup de force : la mise sous tutelle des écoles hors contrat - écoles qui ne bénéficient pourtant d’aucun financement public.
Là où la liberté d’ouverture était la règle, la ministre décide qu’elle autorisera ou non cette ouverture.
Elle dénonce « L’indigence de l’enseignement » qui régnerait dans nombre de ces écoles alors que beaucoup réussissent là où l’Etat a tragiquement échoué. Elle dénonce « l’embrigadement idéologique et religieux » qui sévirait dans ces écoles mais confirme qu’aucun cas de radicalisation n’a été identifié.
Que des initiatives locales hors du giron de l’Etat, puissent réussir quand l’Education nationale fait naufrage, voilà ce qui préoccupe le ministère !
L’argument des écoles islamiques ne tient pas. La sécurité intérieure à elle suffirait à fermer ces écoles.
Dans sa décision du 23 novembre 1977, le Conseil constitutionnel a conféré au principe de la liberté d’enseignement une valeur constitutionnelle. Le projet du gouvernement est une atteinte fondamentale à la liberté constitutionnelle d’enseignement.
 Devant la persistance idéologique de la ministre, je m’opposerai par tous les moyens à cette réforme.
Je saisirai le Conseil constitutionnel si nécessaire.

Jean-Frédéric POISSON
Député des Yvelines
Président du Parti Chrétien-Démocrate
Candidat à la primaire de la droite."

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