dimanche 30 octobre 2016

30 octobre 2016. Nouvelles de la Résistance : ces messieurs ont la mémoire courte ! Il convient de la leur rallonger

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Ce n’est pas l’ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c’est la lâcheté.

La citation du jour illustre à merveille notre lâcheté et notre merveilleuse propension à oublier nos propres ignominies
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1. LA CITATION DU JOUR.
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Je la dois à un ami parisien. Il s’agit d’un texte contemporain,écrit par un rapatrié d’Algérie de 1962.

Il vaut mieux être Clandestin en 2015 que Pied-Noir en 1962. A méditer
Très beau plaidoyer :

"J’ai lu l’appel de Bernard Cazeneuve invitant les Maires de France à accueillir le mieux possible les Migrants qui souhaitent s’installer en France.
J’ai entendu l’Appel des Artistes demandant que les Pays Occidentaux et les Monarchies du Golfe assument leur Devoir d’Asile, en ouvrant leurs Frontières et leurs bras aux réfugiés qui fuient la Guerre et la Barbarie.
J’ai noté l’Appel de la CGT à défendre le Droit d’Asile et à respecter la Convention de Genève.
J’ai vu les milliers de Manifestants qui se mobilisent dans toute la France pour venir en aide aux Populations en détresse.
Humanité, Solidarité, Générosité, Fraternité, Assistance, Tradition d’Accueil et Droits de l’Homme sont dans la bouche de toutes nos Élites depuis la découverte du corps du petit Eylan, échoué sur une plage de Turquie.
Partout, l’émotion est à son comble.Mais si tout cela me parait bien légitime, je ne peux m’empêcher de ressentir une grande amertume en pensant à l’accueil que la France avait réservé aux Rapatriés d’Algérie en 1962 .Pour eux, il ne fut pas question d’Humanité, de Solidarité ou de Fraternité.
Encore lycéen à l’époque, je n’ai pas vu de mobilisation des Maires pour les accueillir. Je n’ai pas entendu d’appel des artistes pour soulager leur détresse. Je n’ai pas souvenir de défilés pour défendre nos traditions d’accueil et leur venir en aide. Pourtant, non seulement ils étaient Français, mais eux aussi fuyaient la guerre et la barbarie, puisque les accords d’Évian n’ont jamais été respectés par le FLN.
Qui se souvient des odieuses paroles du maire socialiste de Marseille, Gaston Defferre ?
« En tout cas je ne les recevrai pas ici….. Qu’ils aillent se faire pendre où ils voudront. En aucun cas je ne veux des Pieds-Noirs à Marseille. » Et, comble de l’ignominie, cette phrase abjecte : « Français d’Algérie, allez vous réadapter ailleurs. Il faut les pendre, les fusiller, les rejeter à la mer… Jamais je ne les recevrai dans ma Cité. » Quant à Louis Joxe, le ministre négociateur des Accords d’Évian, il ne fut pas en reste. « Les Pieds-Noirs vont inoculer le Fascisme en France…. Il n’est pas souhaitable qu’ils s’installent en France. Il vaudrait mieux qu’ils aillent en Argentine, au Brésil ou en Australie. »
Pompidou voulait les envoyer en Amérique du Sud alors que de Gaulle préférait la Nouvelle-Calédonie ou la Guyane, Terres de pionniers. Sans oublier la CGT, qui ne trouvait rien à redire quand ses Dockers jetaient dans le Port de Marseille les caisses des rapatriés, seuls biens qu’ils avaient pu sauver au cours de leur exode.
Il est vrai qu’à l’époque, l’URSS soutenait le FLN, dans l’espoir de chasser les Français et d’implanter son Influence dans tout le Maghreb…. Selon un Sondage de 1962, pour 62% des Métropolitains, il n’était pas question de sacrifice pour aider les Français d’Algérie, rendus responsables de la Guerre et des nombreux morts parmi les Appelés du Contingent.
Telle fut la véritable tradition d’accueil que la France réserva à ses propres ressortissants, il y a plus de cinquante ans !
Une sinistre page d’Histoire qui n’honore pas nos élites de l’époque et qui contraste amèrement avec les manifestations de générosité déployées aujourd’hui envers les migrants étrangers.Pour beaucoup de métropolitains, les Pieds-Noirs n’étaient pas Français. Pourtant ils n’avaient fait que servir les intérêts de la république depuis 1830, transformant les Marécages en jardins, éradiquant les épidémies de typhus, de choléra et de peste.
En 132 ans de présence, à force de courage et de volonté, ils avaient fait pousser partout des villes magnifiques, des ports, des écoles, des voies ferrées, des hôpitaux, faisant des trois départements français d’Algérie le Pays le plus moderne de tout le continent africain avec l’Afrique du Sud. Personne n’a jamais autant aimé l’Algérie que les Pieds-Noirs.
Hélas, la dictature du politiquement correct a fait table rase de ce bilan exceptionnel, ne gardant que l’image caricaturale du colon avide, faisant suer le burnous aux indigènes.
Il est vrai que le terrorisme intellectuel n’est pas à un mensonge près, même s’il salit la France…
Les Français de 2015 se veulent la patrie des droits de l’homme et des valeurs humanistes, évoquant l’accueil réservé de tous temps aux populations persécutées : Russes chassés par la Révolution bolchevique de 1917, Espagnols fuyant Franco, Arméniens victimes du Génocide turc, Chiliens, Bosniaques ou boat people vietnamiens….
Mais ils ont oublié qu’en 1962, ils n’ont même pas été capables d’accueillir dignement leurs propres compatriotes, lesquels n’avaient pourtant d’autre choix que la valise ou le cercueil.
Heureusement, dans leur malheur, les Pieds-Noirs sont arrivés en plein boom économique des Trente Glorieuses.
Courageux et travailleurs, ils ne mirent pas longtemps à s’adapter et à contribuer fortement à notre Croissance. Qu’ils en soient remerciés, car ces battants qui avaient défriché les terres hostiles d’Algérie pour en faire un verger ont été et sont toujours une réelle richesse pour la France.

JACQUES GUILLEMAIN.
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2. COMMENTAIRES.
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Je n’ai pas envie de commenter l’évidence. Certes, ceux qui, en 1962, ont voué les pieds-noirs aux gémonies sont morts, pour la plupart. Mais il semble bien que leur descendants, tous socialistes (y compris Louis Joxe, ministre de de Gaulle) ou communistes, aient oublié leur honteuse attitude. Ne parlons pas des autres, qui se sont tus, tous simplement et ont été d’une lâcheté tout aussi insigne.

Mais de grâce, n’oublions pas !
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3. INFORMATIONS DIVERSES.
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Ils ont osé ! Et avec notre argent encore !

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Les chrétiens orientaux livrent leur témoignage. Les médias aux ordres ne les ont pas relayés !

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Et les chrétiens d’Orient continuent d’être persécutés par des « migrants » musulmans !

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L’avenir est aux familles nombreuses. Et comme souvent elles sont chrétiennes, l’Eglise a devant elle de très beaux jours.


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Les policiers continuent de manifester et ils ont bien raison 

A Toulouse.

A Versailles.

samedi 29 octobre 2016

29 octobre 2016. Nouvelles de la Résistance : mettre fin au régime de partis !

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Non, une fois de plus non, ce n’est pas l’ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c’est la lâcheté !
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1. LA CITATION DU JOUR.
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"L'absurdité, le gribouillisme qui résultent, va comme je te pousse, de l'enrôlement dans les partis, sont incomparablement plus manifestes aujourd'hui que jamais. Il suffit, d'ailleurs, que l'un d'eux se soit fait une spécialité des tournants en épingle à cheveux pour mettre en détestable condition tous les autres. N'y a aurait-il pas, dans la structure de tout parti politique, une anomalie rédhibitoire, un vice fondamentalement préjudiciable à l'homme ? C'est ce dont des esprits divers, mais qu'on peut tenir pour éclairer, se sont avisés tour à tour. Au meeting qui se tint l'an dernier à Pleyel sur le thème « Internationalisme de l'esprit» , l'occasion me fut donnée en sa présence de rappeler qu'Albert CAMUS voyait dans la non-appartenance à toute espèce de parti la première caution que devraient appelés à fournir ceux qui, d'un large et passionné échange de vues et d'idées, croient encore possible d'attendre un remède au mal actuel. On conçoit, en effet, que plus la discipline est forte à l'intérieur d'un parti, plus les idées qui le mènent tendent à se stéréotyper, à se scléroser. Qu'on se reporte aux maîtresses pages où Jules MONNEROT dans sa très importante Sociologie du communisme, montre comment un tel parti s'empare de «l'idéal du moi» pour le faire servir à sa propre socialisation."
André BRETON [Préface au livre de Simone WEIL « Note sur la suppression générale des partis politiques. »]
Climats/'Editions Flammarion, Paris, 2006 (date du dépôt légal). parue d'abord dans Combat, N°1803, daté du 21 avril 1950), p. 17.
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2. COMMENTAIRES.
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Le spectacle qu’offre aux yeux des citoyens médusés le petit monde clos des partis politiques justifie amplement le constat et le souhait que notre grande philosophe Simone WEIL (celle qui est morte à Londres an 1942) a utilisé comme titre pour un ouvrage absolument fondamental. Nous voyons des hommes et des femmes qui se déchirent au sein même des partis qui prétendent à nos suffrages. Marine interdit Marion de télévision, Claude Bartolone tourne les talons à François Hollande et Manuel Valls ne décolère pas contre celui qui l’a trahi en laissant paraître dans "le livre" des propos tenus en privé, Jean-Luc Mélanchon est en délicatesse avec le parti communiste. Jean-François Coppé déteste Fillon qui le lui rend bien, et Nicolas Sarkozy dézingue à tout va son adversaire à l’identité sans doute heureuse, j’ai nommé monsieur Juppé.
Un seul échappe à mon réquisitoire : Jean-Frédéric Poisson. Écoutez-le et concluez.
Ainsi, ces gens qui prétendent introduire de l’harmonie dans notre patrie, sont incapables de s’entendre entre eux. Vous pourriez croire que c’est pour des raisons de programme et d’idées ? Que nenni, c’est pour des raisons de pouvoir. Comment capter les voix des électeurs en les manipulant ? Avez-vous entendu parler de France, de patrie, de sécurité, de travail ? Que nenni ! On se bat pour des chocolatines à 15 centimes ou des footballeurs qui auraient besoin de muscler leur cerveau.
Tout cela est dérisoire. Aussi bizarre que va vous paraître mon opinion, le seul qui à gôôôche ait une certaine cohérence est monsieur Mélanchon. Outre qu’il est un orateur politique de la taille d’un Jaurès ou d’un Barrès, il a pris quelques initiatives intéressantes, comme celle de tirer au sort un certain nombre de participants se réclamant de ses principes, pour participer à ses conventions et congrès. C’est un bon début !
En vérité, je puis partager certaines idées de la droite qualifiée d’extrême, en matière de patriotisme et d’attribution de la nationalité française, trouver normal que la nouvelle gauche réclame une plus juste répartition des richesses (à condition qu’elle frappe à la bonne adresse !), admettre la nécessité d’aider ceux de nos compatriotes qui vivent dans le dénuement, vouloir que les délinquants soient effectivement punis, ne pas salir systématiquement les syndicats qui sont souvent utiles (monsieur Poisson du reste l’a dit), mais encourager le renouvellement de leurs méthodes et de leurs cadres, et par-dessus tout réclamer que l’on attribue aux corps intermédiaires des pouvoirs politiques réels et des franchises contre quoi l’État ne pourrait rien.
D’où la nécessité d’expulser ces nuisibles qui détruisent la France, parce qu’ils prétendent mieux la connaître que les Français eux-mêmes, et de voter pour des gens qui ont une pensée politique large, une compréhension profonde de nos problèmes, et une absence totale de préjugés. Celui qui correspond le mieux à ce profil idéal est monsieur Poisson. C’est pourquoi je convie mes quelques lecteurs à lui apporter leur suffrage aux élections primaires.
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3. INFORMATIONS DIVERSES.
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La carotte et le bâton de monsieur GAZNEUVE, euh CAZENEUVE !


Vous pourriez voir des difficultés à activer le lien. Copiez-le et allez sur Google ou Mozilla ou tout autre moteur de recherche.

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Un bon livre et de bonnes idées : mettre fin aux règnes des partis.

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Les propositions de Jean-Frédéric Poisson.

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Une religieuse qui doute malgré son immersion dans la foi.


vendredi 28 octobre 2016

28 octobre 2016. Nouvelles de la Résistance. Jean-Frédéric Poisson a tout bon

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Ce n’est pas l’ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c’est la lâcheté !
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1. LA CITATION DU JOUR.
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"Comment caractériser en quelque mot l’essence d’une telle idéologie [il s’agit de l’idéologie totalitaire] ? La pensée d’ARENDT la résume à une formule trop souvent négligée : le refus de la naissance. Être né, c’est toujours l’être, d’une certaine manière, par l’opération du Saint-Esprit. Le nouvel homme se trame dans le sein d’une femme quelconque, comme ça, des suites d’un acte de chair, sans qu’elle y comprenne rien. Il ne dépend donc pas entièrement du système. Il relève de la communauté sexuelle de ses parents et de leurs ancêtres ; et comme cette communauté ne l’a pas créé, puisque le processus de génération lui échappe, il relève aussi d’une transcendance qui ne saurait se réduire au jeu des volontés humaines. C’est trop pour l’idéologie. Elle ne veut pas de ce gus qui surgit d’une histoire obscure, mêlant Dieu, pénis, utérus, mais d’un individu malléable et productif, qui émarge à la planification : «  La terreur, en tant que servante obéissante du mouvement historique ou naturel, a donc le devoir d’éliminer, non seulement la liberté, quel que soit le sens particulier donné à ce terme, mais encore la source même de la liberté que le fait de la naissance confère à l’homme et qui réside dans la capacité qu’a celui-ci d’être un nouveau commencement. » (Citation prise In Hannah ARENDT. Le Système totalitaire. Traduction BOURGET-DAVREU-LÉVY. Seuil. Collection "Points", Paris, 1995.)"
In
Fabrice HADJADJ.
La profondeur des sexes. Pour une mystique de la chair. (Collection "Les dieux, [et] les hommes")
Éditions du Seuil, Paris, 2008, p. 241.
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2. COMMENTAIRES.
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Ne nous y trompons pas. Ce passage est essentiel pour comprendre les raisons philosophiques et politiques de s’opposer par tous les moyens à la GPA. Celle-ci, en effet, ignore les commencements ; elle fait de l’enfant ainsi porté par une tierce un objet, malléable en effet, et non une personne, jaillie du hasard de l’union des sexes, et, par conséquent, échappant à l’instrumentalisation et à la détermination technoscientifique. Les ovules sont sélectionnés, le sperme, s’il ne l’est pas (et encore, il existe des techniques qui permet de l’enrichir), vient féconder plusieurs ovules in vitro et l’on sélectionne artificiellement celui ou ceux des embryons qui seront réimplantés. Il n’y a aucun mystère, aucun jaillissement du commencement, aucune indétermination dans l’émergence de cet être nouveau qu’est un petit d’homme ; il n’est que le prolongement et la continuation d’un projet fou qui affirme la supériorité de l’ego et du désir individuel sur tout autre forme de considération morale, éthique, politique, sociale (c’est à dessein que j’utilise le deux mots morale et éthique qui ne sont pas strictement équivalents : l’une est relatif à la délibération de la conscience, l’autre à la définition tout extérieure des comportements acceptables en un lieu et en un temps déterminés). 

La GPA, le système néolibéral, la concurrence outrancière comme moteur de l’économie, la toute-puissance répressive d’un état impuissant par ailleurs sont les vrais moteurs du modernisme par essence totalitaire.

Jean-Frédéric POISSON sur ces questions a entièrement raison comme il a raison sur les lobbies (voir ci-dessous).
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3. INFORMATIONS DIVERSES.
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Quelques critères de discernement pour orienter les politiques migratoires.
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Du salon beige, un extrait de l’article relatif aux déclarations de Jean-Frédéric POISSON sur les lobbies sionistes :

Après les déclarations de Jean-Frédéric POISSON sur les lobbies sionistes américains, le Conseil Représentatif de Institutions Juives de France a réagi. Voici ce que précise un article documenté et factuel du Salon beige :

"Le Conseil Représentatif des Institutions Juives de France a vu rouge et les gros médias ont relayé la polémique. Dénonçant dans un communiqué des « propos nauséabonds », le mouvement communautaire a invité à mots à peine couverts les partis LR et UDI à exclure Jean-Frédéric POISSON de la primaire. Dans la foulée, le patron du comité d’organisation de la primaire, Thierry SOLERE, a dénoncé les propos du député et assuré que l’affaire serait discutée lors d’une réunion le 26 octobre prochain.
La réaction virulente du CRIF ne saurait étonner au regard du parcours de son Président, Francis KALIFAT. Dans les années 90, celui-ci a en effet dirigé la Fédération des organisations sionistes de France, et il a fondé en 2002, les Amis du Likoud d’Israël, une « association ayant pour objet de promouvoir une solidarité indéfectible avec l’État d’Israël »
Cette solidarité indéfectible s’exerce-t-elle également avec l’hyper-puissance américaine, comme le suggérait le député français. La question se pose :
            -L’actuel vice-président de la Banque centrale américaine (Fed), Stanley FISHER a été gouverneur de la Banque centrale d’Israël entre 2005 et 2013 
                -La stratégie internationale de JP Porgan Chase, une banque américaine souvent considérée comme le principal spéculateur sur le marché des matières premières, est aussi dirigée par un ancien gouverneur de la Banque centrale israélienne : Jacob FRENKEL l’a présidée entre 1991 et l’an 2000.
                -Pourvoyeur officiel de millions de dollars à la candidate Hillary CLINTON, fournisseur de plusieurs secrétaires au Trésor des États-Unis, Goldman Sachs a jadis financé l’empire des médias du britannique Robert MAXWELL, dont l’appartenance aux services secrets israéliens est supposée. À noter qu’après la crise financière de 2008, le président de la banque, Lloyd BLANKFEIN, a évoqué à plusieurs reprises le « travail de Dieu » pour expliquer la tournure des événements financiers.
Ces établissements bancaires sont les principaux créateurs de dollars, une monnaie qui est utilisée dans le monde entier. Leurs responsables peuvent faire – ou ne pas faire – la fortune des spéculateurs souhaitant lever de l’argent. En France, leur principal relais est assuré par la banque d’affaire Rothschild, financier historique de la réimplantation des communautés juives au Proche-Orient. Son vice-président assurait au début des années 1980 que « l’État d’Israël, pour le juif, est devenu la réalisation de la parole divine ». Le patron actuel de la banque d’affaire dispose d’un accès direct à Wall Street et au président américain, révélait en 2012 la journaliste Martine ORANGE, à qui David de ROTHSCHILD avait accordé des entretiens."

Il apparaît que monsieur POISSON n’a pas tout à fait tort. Et l’on s’étonne tout de même que certains de nos compatriotes affirment vouloir apporter leur indéfectible soutien à l’État d’Israël qui est un Etat étranger. Il va de soi que je ne suis en aucun cas antisémite ou judéophobe. Comment pourrais-je renier Celui qui est venu nous sauver et qui est né au sein du peuple élu ? Dans le cas présent, je mets en doute, non pas l'honnêteté des personnalités évoquées plus haut ; je mets en doute leur impartialité, ce qui n'est pas tout à fait la même chose. 
Et l’on s’étonne aussi que des bonnes âmes s’émeuvent de l’élection à la Présidence de l’Université de Strasbourg, d’un prêtre professeur de théologie, au motif qu’il serait soumis à l’État du Vatican (sic)… Or il se trouve que celui qui a séparé le domaine politique du domaine de la foi, est bien Jésus qui enjoint à ses disciples de rendre à César ce qui lui est dû et à Dieu ce qui lui revient, ce que ni le peuple juif ni les nations musulmanes n'ont su ou n'ont pu ou ne peuvent comprendre.

Pour conclure, je dirai qu'il apparaît un lien étroit entre le commerce, la finance, la marchandisation du corps humain. Cela n'a rien à voir avec la race ou la foi. Cela relève d'un manque total de bon sens et de discernement.


jeudi 27 octobre 2016

27 octobre 2016. Nouvelles de la Résistance : ce gouvernement est totalitaire ; saint Paul a la solution

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Ce n’est pas l’ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c’est la lâcheté !
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1. LES CITATIONS DU JOUR.
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(a) "Le pouvoir de l’État n’a de sens que s’il s’exerce sur des sujets et non pas sur des groupes dotés d’une certaine autonomie […]. Il ne suffit pas à l’État de réduire les princes pour s’affirmer, il lui faut recomposer la société tout entière. C’est pourquoi il n’aura de cesse que de détruire méthodiquement toutes les formes de socialisation intermédiaires formées dans le monde féodal […] : clans familiaux, communautés villageoises […], confréries, métiers, partis, etc. […]. Il développe l’atomisation de la société dont il a besoin pour exister. […]. Son but est d’assigner tous les individus à la même faiblesse devant lui."
In
Pierre ROSANVALLON.
Le capitalisme utopique.
Éditions du Seuil, Paris, 1979, pp. 115-116.

(b) "Le pouvoir “exécutif” est en réalité le pouvoir gouvernemental ; il prend des décisions qui ne sont déterminées par aucune loi. Il n’“applique” pas la loi, il agit dans le cadre des lois, ce qui est tout autre chose"
In
Cornelius CASTORIADIS.
Figures du pensable.
Éditions du Seuil, Paris, 1999, pp. 159.

(c) "Il y aura toujours un pouvoir. Mais pouvoir ne veut pas dire État. L’État est une instance de pouvoir séparé de la société, constitué en un appareil hiérarchique et bureaucratique, qui fait face à la société et la domine (même s’il ne peut pas rester imperméable à son influence). Un tel état est INCOMPATIBLE avec une société DÉMOCRATIQUE. Les quelques fonctions indispensables que remplit l’État actuel peuvent et doivent être restituées à la communauté politique."
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2. COMMENTAIRES.
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Le dernier rempart contre le totalitarisme étatique, celui de l’actuel gouvernement en particulier, est la famille. C’est la raison pour laquelle, comme le note si bien Pierre ROSENVALLON, il a fallu que l’État, pour exister, détruise tous les corps intermédiaires, et spécialement les communes et les familles. On voit comment Menton Pointu a déclaré que les opposants à la transplantation imposée des migrants trouveraient l’État devant eux (en fait des bureaucrates, et des dactylos !). Et l’on se pince pour comprendre ce qu’a voulu dire le préfet du Pas-de-Calais à propos des incendies volontaires (une trentaine) allumés par des « migrants » en instance départ (voir infos ci-dessous) : ce serait une tradition purement folklorique ! Si vous, vous n’avez pas de détecteurs de fumée dans votre maison ou votre appartement, vous êtes répréhensibles ! Allez comprendre.
Il est évident que quand l’État prétend imposer à l’école maternelle une éducation sexuelle sur la masturbation (voir info ci-dessous), il se substitue aux familles pour achever de les détruire.

MAIS :

Les disciples de Jésus ont des armes qui leur permettent de combattre pour la liberté : la prière, l’exemple, la foi, l’espérance et la charité. Pour lutter contre les anges des ténèbres, il nous faut relire saint Paul.

"Frères, puisez votre énergie dans le Seigneur et dans la vigueur de sa force. Revêtez l’équipement de combat donné par Dieu, afin de pouvoir tenir contre les manœuvres du diable. Car nous ne luttons pas contre des êtres de sang et de chair, mais contre les Dominateurs de ce monde de ténèbres, les Principautés, les Souverainetés, les esprits du mal qui sont dans les régions célestes. Pour cela, prenez l’équipement de combat donné par Dieu ; ainsi, vous pourrez résister quand viendra le jour du malheur, et tout mettre en œuvre pour tenir bon. Oui, tenez bon, ayant autour des reins le ceinturon de la vérité, portant la cuirasse de la justice, les pieds chaussés de l’ardeur à annoncer l’Évangile de la paix, et ne quittant jamais le bouclier de la foi, qui vous permettra d’éteindre toutes les flèches enflammées du Mauvais. Prenez le casque du salut et le glaive de l’Esprit, c’est-à-dire la parole de Dieu. En toute circonstance, que l’Esprit vous donne de prier et de supplier : restez éveillés, soyez assidus à la supplication pour tous les fidèles. Priez aussi pour moi : qu’une parole juste me soit donnée quand j’ouvre la bouche pour faire connaître avec assurance le mystère de l’Évangile dont je suis l’ambassadeur, dans mes chaînes. Priez donc afin que je trouve dans l’Évangile pleine assurance pour parler comme je le dois."
Lettre de saint Paul aux Éphésiens 6, 10-20.
Que ce soit bien clair. J'ai toujours dit que la solution de disperser les migrants étaient sans doute la meilleure. Il était inhumain de laisser dans la boue et les ordures des milliers d'hommes, quelques femmes et de rares enfants. Mais je maintiens qu'il ne fallait pas imposer leur présence dans des communes qui leur sont hostiles, alors que d'autres  les accueillent à bras ouverts et ont pris des dispositions pour que cet accueil s'accompagne d'une véritable intégration puis assimilation. C'est le bon sens.Mais nous sommes "gouvernés" par de fous qui pensent que l'Etat a tous les droits..
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3. INFORMATIONS DIVERSES.
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Quand l’État veut se mêler de l’intime des petits enfants :


Laissons ces messieurs s'occuper de leurs petites ou petits amis (ça arrive). Et demandons aux parents de ne pas accepter ce genre d'intrusion dans le cadre de l'école;
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Quand l’État a des représentants qui disjonctent :


Madame le préfet débloque à plein tube. Et si les Français, par pure tradition, mettait le veu aux préfecture ? Que dirait-elle ? Elle appelerait les pompiers.
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Quand l’État n’accepte pas d’être remis en cause par ses fidèles serviteurs :


Il s'est donc trouvé des officiers généraux pour plier l'échine devant ces pantins !

Cet Etat n'est pas démocratique. Il est totalitaire. Il est temps de dire stop.




mercredi 26 octobre 2016

26 octobre 2016. Nouvelles de la Résistance. Pour l'Etat, les hommes sont superflus !

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Ce n’est pas l’ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c’est la lâcheté !
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1. LA CITATION DU JOUR.
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"J’ai dit que la science moderne avait renversé les barrière qui séparent les Cieux de la Terre, qu’elle unit et unifia l’Univers. Cela est vrai. Mais, je l’ai dit aussi, elle le fit en substituant à notre monde de qualités et de perceptions sensibles, monde dans lequel nous vivons, aimons et mourons, un autre monde : le monde de la quantité, de la géométrie réifiée, monde dans lequel, bien qu’il y ait de la place pour toute chose, il n’y en a pas pour l’homme."
In
Alexandre KOYRÉ.
Études newtoniennes.
Gallimard, Paris, 1968, pp. 42-43.
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2. COMMENTAIRES.
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Ils sont superflus, le homme, les femmes et les enfants sur qui pleuvent les bombes américaines, russes, syriennes, turques, islamiques. Seule compte l’affirmation de la puissance étatique.
Ils sont superflus les habitants des bourgs et villages qui refusent d’accueillir des migrants, qui tous ne sont pas des réfugiés. Ainsi que je l’ai dit, il y a des villes et villages qui les accueillent les bras ouverts, s’en occupent, alphabétisent, et soignent. C’est vers ces lieux – et ils sont assez nombreux – que ces immigrés doivent être dirigés et non vers ceux qui s’y opposent. Ceux qui s’y opposent sont des hommes superflus dont monsieur VALLS n’a cure, puisqu’il est l’État à lui tout seul et que la mesure et les modalités de la dispersion n’ont dépendu in fine que de sa seule volonté ("Ceux qui se mettront en travers de l’accueil des réfugiés trouveront l’État devant eux ! [Tour, 22 octobre 2016]"). Sur ce point, je commence à avoir des doutes, car la réaction de nos policiers donne à penser qu’ils pourraient bien ne pas être aussi dociles que Menton Pointu le croit.
Elles sont devenues superflues nos gentilles femmes de ménage – requalifiées aujourd’hui, pour ce qu’il en reste, de techniciennes de surface. Le ménage peut être fait et très bien par de robots. Pour l'instant, ces derniers ne peuvent encore nettoyer les vitres. Mais la technoscience y parviendra, n’en doutons pas, histoire de diminuer le coût du travail et d’augmenter les profits des financiers.
Superflues encore les concierges de jadis – requalifiées en gardiennes pour celles qui subsistent. Elles sont remplacées par des digicodes (au moins deux : l’un qui donne sur le palier d’entrée, l’autre sur les escaliers ou les ascenseurs qui montent vers les étages).
Peu à peu remplacées par des caisses automatiques nos caissières d’autrefois - requalifiées hôtesses de caisse. Elles deviendront inutiles, et les codes barres se substitueront à leurs sourires.
Ils sont devenus superflus ces vieillards qui coûtent si chers à la Sécu. Suivons donc l’imbécile bernanosien en chef Jacques ATTALI qui soulève l’aspect économique du problème et qui promeut l’euthanasie pour le résoudre.
Ils sont superflus ces enfants que l’on a reconnus comme trisomiques 21 dans le ventre de leur mère. Il convient, avec l’aide des technosciences, de les éliminer dès que le diagnostic est posé.
Superflus, inutiles, obsolètes, les ouvriers de jadis qui, souvent dans de pénibles conditions, montaient des voitures sur les chaînes. Les robots font aujourd'hui l’affaire.
On en finirait pas de dresser la liste des hommes devenus superflus. Curieusement, on n’y met jamais les hommes politiques dont le seul rôle aujourd’hui consiste à harmoniser l’économie et la science par le pouvoir de l’État. Ce qui définit le totalitarisme.
Il est temps de prendre en compte dans la vie politique, comme le dit si bien Marc WEINSTEIN, la subjectivité sociale, faute de quoi nous courrons à la catastrophe. Nous pouvons parfaitement résister à ces dérives totalitaires de gouvernants impuissants à convaincre et réduits alors à employer la force pour imposer leurs vues. Il suffit de les oublier et de leur désobéir s'ils se font trop insistants.
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3. INFORMATIONS DIVERSES.
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La preuve qu’il y a des villes qui accueillent volontiers les migrants :


Toutefois, il s’agit de souligner ici que c’est l’avis du député PS de la circonscription et que les habitants de Saint-Brévin sont très divisés sur cette question.
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Gap accueille volontiers les migrants.

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Des paroisses se mobilisent pour accueillir des migrants.


Monsieur VALLS aurait mieux fait, avant d’imposer ses vues, de faire l’inventaire des communes pour lesquelles cet accueil ne posait pas de problèmes. Il y en a, et plus qu’on ne le croit. Il convient donc d’arrêter de jeter l’opprobre sur celles de communes (surtout du midi, d’ailleurs, et il doit y avoir des raisons particulières à cette résistance) qui ne veulent ou ne peuvent offrir une hospitalité décente à ces nouveaux arrivants dont on impose la présence.
C’est que les habitants de ces communes récalcitrantes sont devenus superflus devant l’arbitraire de l’état.


mardi 25 octobre 2016

25 octobre 2016. Nouvelles de la Résistance : oui à la Sainte Russie, non aux grossiums américains de la finance

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Ce n’est pas l’ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c’est la lâcheté !
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1. LA CITATION DU JOUR.
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"Une douzaine d’années après, avec la disparition de l’URSS, l’Europe a manqué l’occasion historique d’ouvrir les bras à la Russie, celle de Tolstoï et de Dostoïevski, de Kandinsky et Chagall, de Tchaïkovski et Chostakovitch, comme à une civilisation sœur. Les conséquences s'en font sentir aujourd’hui où l’Occident persiste à ne pas voir que les premières causes de ses probables revers à venir sont à chercher en lui-même. »
Claude DURAND.
Préface au petit Livret d’Alexandre SOLJÉNITSYNE. Le déclin du courage. Discours de Harvard, juin 1978, p. 12.
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2. COMMENTAIRES.
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À la remorque des grossiums de Wall Street, l’Europe à la Juncker s’efforce de convaincre les Wallons de céder au diktat de l’économie dite néolibérale, la plus esclavagiste jamais développée dans le monde depuis que la « science économique » existe. Ce peuple, si proche de nous par la langue et la culture, nous donne un bel exemple de liberté et de résistance. Et si nous regardions un peu plus loin que le bout de notre nez, par exemple une carte de géographie, nous verrions que la Sainte Russie nous est plus proche que l’Oncle Sam.
Les médias occidentaux salissent à longueur de colonnes Vladimir Poutine. C’est que celui-ci, en joueur d’échec chevronné qu’il est, a damé le pion aux États-Unis dans la guerre du Proche-Orient. Que monsieur Poutine ne soit pas un saint, c’est probable, mais l’homme qui ordonne l’exécution de quatre terroristes potentiels l’est-il davantage ? Et les bombes américaines qui se déversent en Syrie sur on ne sait trop quel ennemi sont-elles plus propres que celles des russes ? Et la guerre d’Irak faite à Saddam Hussein est-elle un succès, sans compter celle d’Afghanistan et celle du Vietnam ? Sans compter l’aide que la CIA a accordé au général Pinochet, un grand humaniste pour sûr, pour juguler la montée du communisme au Chili ?
Nous avons tout à gagner à une belle et bonne alliance avec les Russes, et tout à perdre à une alliance économique qui nous livrerait à la finance américaine, ruinerait notre agriculture, nos produits d’appellation d’origine, notre mode de vie. Eux, les mondialistes patentés, les plus protectionnistes du monde, que n’accueillent-ils des migrants par milliers ? Eux les puritains, champion du moralisme le plus étroit, que ne montrent-ils pas l’exemple de la solidarité avec ces peuples écrasés par une guerre qu’ils ont voulue, pour pouvoir construire leur foutu gazoduc du Qatar à la Turquie?
Et je préfère un peuple capable de prier pendant des heures devant une icône qu’un peuple de traders fascinés par un écran d’ordinateur.
Vive la Sainte Russie !
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3. INFORMATIOND DIVERSES.
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Sur le courage des Wallons, du site du Point :

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En voilà des patriotes qu’ils sont clairs ! On croit rêver ! Du site du Boulevard Voltaire

C’est à nous de partir et à eux de nous imposer leurs vues ? La manœuvre est claire : faire monter le FN, permettre à Pépère d’arriver en deuxième position pour battre Marine Le Pen, assurée d’être au second tour des élections présidentielles. Soyons clairs, ces collabos sont des salauds (je le dis comme l’ignoble Bedos l’a dit de Nadine Morano ! Je fais de l’humour pour ne pas être poursuivi [!!!])


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La désinformation sur la guerre en Syrie et en Irak : du site du Boulevard Voltaire cet article de Christian Vanneste..


Noter la mention du livre d’Alexandre des Valle : Les vais ennemis de l’Ocident, du rejet de la Russie à l’islamisation de nos sociétés ouvertes.
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Il paraît qu'être blanc c'est sale !

On croit rêver ! Lisez cet article qui en dit long sur l'état d'esprit de ces gens qui veulent nous imposer leurs vues ! (Ceci étant dit, je ne vois aucun inconvénient à des unions prétendues métissées, si l'amour et non le sordide intérêt de l'un des partenaires en est le moteur.)