mercredi 30 janvier 2019

Mercredi 30 janvier 2019. Note pas brève à l'intention des lycéens.


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Ce billet s’adresse tout spécialement aux lycéens qui préparent le bac de français. Bien entendu, dans l’esprit de conformisme ambiant, je leur déconseille de s’inspirer entièrement de l’ouvrage dont je vais parler, bien qu’il soit d’une rare puissance.
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En effet, je n’ai jamais lu un ouvrage de critique littéraire comme celui-là. À côté de lui, les écrits de Sainte-Beuve, d’Émile FAGUET ou de Gustave LANSON font bien pâle figure. Dans son Rejet de Greffe. Exorcismes spirituels I. (Les Belles Lettres, Paris, 2010) Philippe MURAY analyse avec une érudition époustouflante, en s’aidant du reste des apports de FREUD (mais pas que), les œuvres de quelques grands écrivains français (qu'il aime et admire) ou d’écrivains célébrés par la bien-pensance bourgeoise, tout droit issue de la bourgeoisie libertine du XIXe siècle. RABELAIS, CHATEAUBRIAND, FLAUBERT, HUGO, ZOLA, BAUDELAIRE, Léon BLOY sont passés au crible de son esprit acéré, de sa plume flamboyante, et de son humour. Mais c’est à ZOLA et à HUGO qu’il décoche ses flèches enflammées. Elles atteignent leur cible, en plein cœur. Les autres, notre critique les aime.
Voici un petit extrait que MURAY tire d’un texte publié par Antonin ARTAUD en 1934 à propos de Victor HUGO :
"Toutes les commémorations me paraissent vaines. Et une époque comme la nôtre qui vit sans mémoire comme sans aspirations, pour qui le passé ne compte pas plus que l’avenir, qui vide le cerveau, qui se donne un présent purement alimentaire, parfois sportif, mais par-dessus tout lâche et terrorisé, qui ne pense plus qu’à son estomac et à sa bourse, preuve qu’elle n’a plus d’ailleurs ni l’un ni l’autre, et qui n’a d’autre préoccupation pour tout dire que le trottoir et le bordel, ne peut guère se laisser émouvoir par le souvenir d’un vieillard conformiste [il s’agit de Victor HUGO que l’on commémore], révolutionnaire contre l’Empire, niaisement humanitaire, patriote sur ses vieux jours, et en fait exclusivement bourgeois qui a laissé en tout et pour tout une petite dizaine de poèmes à apprendre dans les lycées."
Et MURAY de nous apprendre que lors de la panthéonisation du vieillard conformiste, de son inhumation dans le temple blasphématoire par excellence qu’est le Panthéon, on a scié la croix qui figurait sur le fronton de ce qui fut jadis une église.
Voyez-vous, ce n’est pas pour rien que cet écrivain polygraphe et anticatholique viscéral, a donné son nom à une des plus belles avenues parisiennes, habités par des bourgeois aussi conformistes que l’éponyme de leur avenue de résidence. Je déteste Victor HUGO, je le trouve ronflant, gonflant, insupportable de dégoulinante compassion, et d’une remarquable mauvaise foi. Toutefois je reconnais bien volontiers qu’il a commis quelques vers qui méritent d’être mémorisés.
Demain, nous dézinguons ZOLA, avec MURAY et Léon BLOY. Je vous dis que ça va décoiffer !





mardi 29 janvier 2019

Mardi 29 janvier 2019. Mes chroniques, en jaune et en rouge


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CHRONIQUE EN JAUNE.
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Ils ne faiblissent pas !


On peut comprendre que des gens qui ont perdu un œil puissent continuer à se plaindre des forces dite « de l’ordre ».

Par exemple, les cas ci-dessous.


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CHRONIQUE CHRÉTIENNE.
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« Je vomis les tièdes de ma bouche… ». 

Quand allons-nous nous réveiller ?
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CHRONIQUE EN ROUGE.
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Le mépris de classe et le macronisme tartufié !


Et la grande peur des bien-pensants


La grande peur du vide et le triomphe du bide !


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CHRONIQUE DU GRAND DÉBAT.
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Le débat à coup d’extincteurs !


Il nous prend pour des enfants !

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CHRONIQUE LITTÉRAIRE DE NOTRE CHÈRE ELVIRE.
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Cette chronique introduit mon billet de demain !


lundi 28 janvier 2019

Lundi 28 janvier bis. L'enfumage démocratique et la violence d'Etat à Saint-Victor et Melvieu


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Chers amis, je vous invite à lire cet article de Médiapart (ce n’est pas mon agence d’information préférée), mais il me semble équilibré et juste.


Il se trouve que je connais très bien Saint-Victor et Melvieu, où des amis m’invitent régulièrement pour passer quelques jours de vacances. J’ai suivi de bout en bout cette affaire, et j’ai déposé ma contribution lors de l’enquête préalable à la déclaration d’utilité publique. Je me suis aussi rendu sur le site de l’Amassada et j’ai pu discuter avec les jeunes et moins jeunes qui occupent les lieux pour éviter le saccage de cette terre agricole de 5 hectares ; ils sont paisibles, nullement agressifs mais refusent que des technocrates décident de vendaliser, au mépris de toute justice et de toute étude d’impact, un endroit magnifique. Ces jeunes ont été intimidés, conduits un beau matin, contre toute légalité, par des gendarmes, en divers lieu de l’Aveyron, et libérés le soir, sans aucun moyen de pouvoir rentrer chez eux commodément. Les responsables politiques locaux de la communauté de commune – je ne les nommerai pas pour ne point être attaqué en diffamation – soutiennent le projet d’implantation de ce transformateur sur une commune qui est réfractaire à leur façon de faire. (Je pense à cette séance où des jeunes opposants avaient pu rentrer, légalement, dans la salle où se tenait une réunion sur ce transformateur, et en ont été chassés en toute légalité (!) par le Président, qui a invoqué pour ce faire des motifs d’ordre public.) Ajoutons que la commune de Saint-Victor et Melvieu disposait des revenus issus de l’existence d’un barrage sur le Tarn, un barrage construit sur son ban communal, et que, jusqu’à un passé récent, cette commune jouissait de l’autonomie financière, laquelle lui a été supprimée. De sorte que le Président de la communauté de communes dispose, légalement, toujours (!) du droit d’utiliser ces revenus comme il l’imagine, et soumet ses projets à l’assemblée de cette communauté. Enfin terminons pour souligner l’injustice commise à l’encontre d’une population rurale, que la commune de Saint-Victor et Melvieu est déjà dotée d’un énorme transformateur, que des lignes à haute tension sillonne déjà son azur, et que le découpage du territoire de la communauté lui interdit de demander un changement de communauté, puisque l’on s’est arrangé pour qu’elle ne puisse être limitrophe d’aucune autre communauté, condition indispensable à une telle opération.
Je dis que la démocratie, la probité intellectuelle et le souci du bien commun ont été bafoués par des élus dont nombre ont des intérêts personnels qui motivent leur soutien aux initiatives du Président de la communauté. Et j’attends fermement que l’on démente ce que j’affirme ici.
C'est pourquoi je demande aux Gilets jaunes du coin de venir soutenir ces jeunes qui défendent en toute justice, ce qui est juste.




Lundi 28 janvier 2019. La France défigurée ! Non au tout éolien.

Chers amis, je relaie cette lettre d'information, qui me paraît capitale. Pendant qu'ils nous amusent avec leur grands débats nationaux, ils concoctent dans l'ombre un plan qui va couvrir la France d'éoliennes, ruiner les paysages, sans compter les propriétaires des maisons auprès desquelles ces moulins à vent électrogènes seront installés, et qui, comme par hasard, se trouveront toutes à la campagne. Au secours les Gilets jaunes. Opposez-vous à cette nouvelle folie technocratique, pondue par des crânes d’œuf qui se soucient comme d'une guigne des personnes CONCRETES !


LETTRE D'INFORMATION :  26 janvier 2019


Bonsoir
Au mépris de la consultation nationale en cours censée demander l'avis des citoyens sur la transition énergétique, le gouvernement décide de passer  en force 
Par une provocation  et un mépris de la démocratie, il vient d' annoncer le plan pluriannuel d'electricité (PPE),  qui va recouvrir  la France d'éoliennes géantes ( soit 2.000MW par an) et  entrainer  à lui seul  le doublement du prix de l'électricité pour les consommateurs.
La FED se battra éolienne par éolienne pour faire capoter  ce plan energétique  de  la destruction programmée de notre pays décidée unilatéralement  par le pouvoir.

Renouvelables-La France vise un rythme soutenu d'appels d'offres
REUTERS•25/01/2019 à 16:00
PARIS, 25 janvier (Reuters) - La France prévoit un rythme soutenu d'appels d'offres dans l'éolien terrestre et le solaire photovoltaïque afin de doubler ses capacités de production d'électricité renouvelable en dix ans, selon le projet de programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) publié vendredi.
Le texte, qui décline les objectifs du pays par filières énergétiques pour les périodes 2019-2023 et 2024-2028 et va être soumis à consultation, confirme en outre que quatre à six réacteurs nucléaires du parc actuel d'EDF EDF.PA seront fermés  d'ici à 2028, y compris les deux unités de Fessenheim (Haut-Rhin) au printemps 2020.

Selon le calendrier prévu de développement des renouvelables, des appels d'offres représentant près de deux gigawatts (GW) de capacités d'éoliennes terrestres et trois GW dans le solaire seront lancés chaque année sur la période 2019-2024.
Pour multiplier par environ 2,5 les capacités installées d'éoliennes terrestres et par 5 à 6 le parc solaire français en dix ans, environ 14.500 mâts seraient installés sur le territoire métropolitain à horizon 2028, contre 8.000 à fin 2018, et le développement des parcs photovoltaïques nécessiterait d'exploiter 365 km2 au sol et 175 km2 de toitures.
Dans l'éolien en mer posé, au-delà des 500 mégawatts (MW) du projet de Dunkerque prévus cette année, la PPE vise l'attribution de 1.000 MW en 2020 et de 1.000 à 1.500 MW en 2023-2024, le gouvernement demandant aux industriels de réduire leurs coûts avec des prix cibles inférieurs à 70 euros par mégawatt-heure (MWh) pour Dunkerque et de 60 euros en 2023-2024

Le gouvernement prévoit d'engager 30 milliards d'euros de soutiens publics supplémentaires sur la période 2018-2028 - qui seront investis en 20 ans et s'ajouteront à des dépenses déjà programmées de 95 milliards - afin d'augmenter la production d'électricité renouvelable de la France de 100 térawatts-heure
par an.
L'exécutif fait valoir que le développement des énergies renouvelables sera ainsi "10 fois moins coûteux que ce qui a été réalisé par les gouvernements précédents, reflétant la forte baisse des coûts de ces filières".
LE REPORT DE LA BAISSE DU NUCLÉAIRE OFFICIALISÉEmmanuel Macron avait présenté les grandes lignes de la PPE fin novembre 2018, officialisant à cette occasion le report de dix ans de l'objectif de réduction d'environ 75% à 50% de la part du nucléaire dans la production d'électricité du pays,
désormais prévue pour 2035. 
Pour atteindre ce nouvel objectif, qui nécessitera de changer la loi, 14 des 58 réacteurs du parc actuel d'EDF seront arrêtés d'ici à la même échéance.
La PPE reprend également l'engagement du chef de l'Etat de fermer les dernières centrales à charbon françaises d'ici à fin 2022.
La synthèse du texte ne mentionne pas l'hypothèse récemment émise par le ministre de la Transition écologique François de Rugy d'une prolongation de la durée de vie de la centrale de Cordemais (Loire-Atlantique) au-delà de la fin du quinquennat avec le remplacement d'une partie du charbon par de la biomasse.
Elle souligne toutefois que "l'Etat n'accordera pas de soutien financier pour les projets de production d'électricité à partir de biomasse". 
La PPE réaffirme en outre le développement du gaz "vert » - du biométhane produit par des déchets, notamment agricole -, avec 7 à 9 milliards d'euros de soutiens publics et une part de 7 à 10% visée en 2030 en fonction des baisses de coûts demandées aux industriels. 
Parmi les objectifs structurants du texte figurent, à l'horizon 2023, la rénovation de 2,5 millions de logements, le remplacement de 10.000 chauffages au charbon et d'un million de chaudières au fioul par du chauffage à base d’énergies renouvelables ou de gaz haute performance, ainsi que 1,2 million de voitures particulières électriques.
A l'horizon 2028, la France cible en outre une baisse de 14% de sa consommation finale d'énergie et une réduction de 35% de sa consommation primaire d’énergies fossiles par rapport à 2012.
(Benjamin Mallet, édité par Benoît Van Overstraeten)
Cordialement
Jean-Louis Butré
Président
Fédération Environnement Durable


Dimanche 27 janvier. 2019 Note brève : foulards rouges et komsomols, ou l'envie démasquée.


Si René GIRARD était encore de ce monde, il pourfendrait le ridicule de la manifestation dite des « foulards rouges » qui a réuni, tenez-vous bien 10.500 personnes (admirez la précision), et il ne manquerait pas de souligner que cette expression de soutien à monsieur MACRON soutient celui-ci comme la corde soutient le pendu.
Nous sommes dans la pleine rivalité mimétique : il a fallu à ce quarteron de Français singer les Gilets jaunes, en choisissant, comme eux, une pièce de vêtement, un foulard, et une couleur, le rouge. C’est oublier un peu vite que le foulard rouge était la pièce d’uniforme portée par les Komsomols, ces jeunes qui, du temps de STALINE, adhéraient au mouvement de jeunesse communiste. Voyez-vous, il me semble qu’ils auraient pu choisir mieux.
En fait, les organisateurs de cette manifestation avortée envient les Gilets jaunes. Et comme le dit le moine cistercien Isaac de l’Étoile, « le propre des gens malfaisants est de fermer les yeux tant qu’ils le peuvent sur les mérites d’autrui, et, lorsque vaincus par l’évidence, ils ne le peuvent plus, de le déprécier ou de le dénaturer. »
C’est une mauvaise action, qui ne fait rien pour apaiser le feu qui couve sous la cendre, et ce serait faire une grave erreur d’analyse que de miser sur l’essoufflement du mouvement pour retourner aux ronrons des temps ordinaires.




samedi 26 janvier 2019

Vendredi 25 janvier 2019. Note pas très brève : le temps des dénonciateurs et le temps du courage


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Le temps des délateurs et des dénonciateurs n’est pas mort. Le temps des imbéciles fleurit toujours à longueur de bave et de fureur. Le temps des courageux subsiste en de rares personnes, dignes de notre admiration et de notre soutien.
Madame Agnès THILL fait partie de ces femmes courageuses. Elle est député LREM, et elle a osé, contre la meute des imbéciles qui semblent former la masse des godillots de ce pseudo-parti, s’élever avec vigueur et sans langue de bois, dire très fort qu’elle était opposée à l’extension de la PMA aux couples de lesbiennes.
Monsieur GRIVEAUX, vous savez le ministre porte-parole du gouvernement, qui dit ne pas pouvoir se loger à Paris en raison de la modicité de ses revenus, mais qui est quand même candidat à la mairie, s’oppose en ces termes à madame Agnès THILL :
"Insupportables et méprisantes paroles d’Agnès THILL à l’égard des mamans et des enfants comparés à des médicaments. Ces mots blessent des familles et viennent nourrir tous les préjugés ignobles que je continuerai à combattre inlassablement. Effectivement, ça suffit."
Qu’a donc dit madame THILL qui justifie une telle attaque ?
"On me dit : elles en ont envie. Mais est-ce que la médecine a vocation à répondre à une envie ? Un enfant n’est pas un médicament. C’est un être humain. Elles souffrent. J’entends bien qu’elles souffrent. Mais qu’est-ce qu’on fait si un drogué souffre ? On lui donne de la drogue ?"

Alors je vais répondre à cet imbécile patenté de Benjamin GRIVEAUX par la bouche de Simon LEYS ceci (merci à Jean-Claude MICHÉA et André PERRIN, dans l’ouvrage duquel le premier cite LEYS dans une admirable Préface) :
"La passion policière qui poussent certaines gens à dénoncer voisins, parents, relations ou collègues ne trouve de véritable exutoire que dans les périodes de bouleversements, de guerres, d’occupations, etc. Mais même en temps normal, elle n’en demeure pas moins latente chez les ratés, les envieux et les médiocres et constitue un phénomène singulier qui mériterait d’être mieux étudié. La vénalité en est rarement absente, mais ce serait une erreur d’y voir un moteur exclusif ; dans ce genre de démarche, en effet, la recherche d’avantages personnels s’augmente d’autres mobiles non moins puissants : des sentiments d’infériorité ou de frustration (sur qui la seule apparence du succès chez autrui vient agir comme une intolérable provocation), le désir de se donner de l’importance, une forme d’exhibitionnisme, et surtout un respect inné du pouvoir, de l’Ordre établi, des Autorités, l’instinct flic, la haine de tout ce qui apparaît non conforme, différent, hétérodoxe, hérétique." (Tiré du livre de Simon LEYS, Images brisées.)

Monsieur GRIVEAUX émet une opinion personnelle de condamnation, mais n’analyse pas la PMA comme un objet de réflexion et de possibles discussion. Il parle à partir de son nombril de sous-ministre, poste auquel il tient énormément, et il condamne un messager, sans envisager la qualité de son message. C'est un homme rempli de préjugés, et ses préjugés, eux, sont vraiment ignobles (au sens étymologique). Madame THILL argumente. On peut contester son argumentation (personnellement, je ne le ferai pas, car elle a, philosophiquement parlant, parfaitement raison), mais on argumente, monsieur GRIVEAUX, on ne condamne pas, comme vous le faites, du haut de son petit trône, lequel, en langue française, a différentes acceptions, dont toutes ne sont pas royales.


Jeudi 24 janvier 2019. Petit voyage dans l'ordre symbolique post-moderne : le fric, le fric, le fric


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C’est avec beaucoup de retard que je produis mon billet de jeudi. Nous poursuivons notre voyage dans l’ordre symbolique post-moderne. Il est illustré par les deux photos de publicités que j’ai prises dans le métro.

La première photo est une publicité pour de l’encre d’imprimante. La photo est mauvaise et je vous prie donc de me croire sur parole. Que nous dit cette publicité ? Qu’on peut avoir deux cartouches de « toner » à des prix défiant toute concurrence. Peu importe que le client potentiel ait l’usage de deux cartouches à portée d’année. Rien ne nous est dit sur la qualité de l’encre : son éventuelle solubilité dans l’eau, l’intensité de sa teinte, sa persistance dans le temps : rien sur le produit, tout sur la consommation et l’argent. Tout pour la production, rien pour l'usage tempéré et tempérant !

La seconde est une publicité pour un site (dont le siège social est en Lituanie) consacré à la vente de vêtements qui ne sont plus portés. C’est tout simplement terrible de penser sur l’on puisse vendre des habits que l’on ne porte plus alors que tant de nos compatriotes ont besoin de se vêtir convenablement. Il ne manque pas d’associations qui récoltent des habits pour les redistribuer à ceux qui en ont besoin : armée du salut, secours catholique, cimade, secours populaire, etc. Il suffit de donner des habits propres et repassés à ces associations. Mais aujourd’hui, qui pense à vêtir ceux qui sont nus ? Apparemment pas les sites de revente… On se fait de l’argent sur le recyclage des vêtements. C’est scandaleux, au sens où l’entendent les évangiles : cette manière de voir la en effet vie fait trébucher l’homme sur la voie du bonheur : rien pour les autres, tout pour ma pomme !






mercredi 23 janvier 2019

Mercredi 23 janvier 2019. Mes chroniques...


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CHRONIQUE DE LA PERSÉCUTION DES CHRÉTIENS.
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Voilà ce qu’il en coûte d’être un disciple.

Il ne semble pas que madame SCHIAPPA qui aime tellement défendre la cause des femmes se soit émue… C'est loin l'Iran !
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CHRONIQUE DE LA RÉSISTANCE.
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Ces gens nous prennent pour des imbéciles. Ils nous manipulent.

Macron réélu en 2022 ? Tout faire pour que ce malheur n’arrive pas. Il faut bien comprendre que cette résistance est une résistance à un système qui broie l'homme, qui voit tout en termes de rapports de force, d'argent, de production, de compétition. Je ne supporte plus ce monde-là !
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CHRONIQUE EN JAUNE.
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Le bilan selon monsieur CASTANER.


Et le mépris des grands pour les petits se portent bien !

Cet article doit être lu en priorité !

Heureusement, il y a des pasteurs qui vont voir leurs troupeaux sur les ronds-points.


Mais ils ne sont pas mieux traités pour autant !

Violences policières, yeux crevés, mâchoire arrachée…



Et un ancien CRS pas d’accord avec les violences de ses collègues (voir les tweets de ce site).

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CHRONIQUE DU GRAND DÉBAT NATIONAL.
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Il finira par un rapport qui servira à caler les vieux meubles !


Et voilà comment en contrôlant tout, on peut passer pour un démocrate !


La fin de la grâce !



mardi 22 janvier 2019

Mardi 22 janvier 2019. Note brève : Figaro le barbier s'invite au Grand débat !


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À propos du Grand débat national et bidonnesque !
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FIGARO ET LA LIBERTE DE DIRE !
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"On me dit que pendant ma retraite économique, il s’est établi dans Madrid un système de liberté sur la vente des productions, qui s’étend même à celles de la presse ; et que, pourvu que je ne parle pas en mes écrits ni de l’autorité, ni du culte, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni des corps à crédit, ni de l’opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tienne à quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l’inspection de deux ou trois censeurs."
In
BEAUMARCHAIS.
Le mariage de Figaro.
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CONTREPOINT INFORMATIF.
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Référendum d’initiative citoyenne, pas au programme du grand débat, et pourtant…


Mais le Prince "ne parle pas à nous" !


On ne parle pas d’immigration

(Je précise qu’en donnant cette information, je ne partage aucun des vues des anti- et des pro-immigration ; je redis que c’est une question de discernement, mais que c'est une question qui mérite d’être discutée.)

Causez toujours, on ne changera pas !


Mensonge et ISF

(Je précise que cet impôt n’aurait jamais dû exister, puisque le capital est déjà taxé par l’intermédiaire des droits de succession : c’est donc soit l’un soit l’autre, pas les deux !)

lundi 21 janvier 2019

Lundi 21 janvier 2019. Note très brève sur la différence entre hommes éminents et hommes célèbres.


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Mes lecteurs habituels savent combien j’admire la civilisation chinoise, son art, sa littérature, sa philosophie et… sa cuisine. D’où l’idée de vous faire gouter une très brève citation qui illustre à merveille l’état présent du monde politique, Président de la République en tête, médiatique et intellectuel.

Dans la préface de ses Biographies des moines éminents. [Gāo sēng zhuàn ()], le moine bouddhiste HUIJIAO dit ceci : "Si un homme qui accomplit une œuvre substantielle voile l’éclat de ses talents, il sera éminent sans toutefois être célèbre. Si un homme de faible envergure se trouve en phase avec son temps, il sera célèbre sans être éminent."

Je vous laisse méditer les paroles de ce sage qui vécut entre 497 et 454 après J.-C. À mon avis, voilà qui s’applique à bien des célébrités qui pour être célèbres n’en sont pas moins médiocres.

J’ajoute qu’en cet anniversaire de l’exécution du bon roi Louis XVI, j’applique à cet excellent monarque, vilipendé et sali par une meute d’historiens de fortune, cette maxime : oui il a voilé l’éclat de ses talents ; oui il a promu des institutions qui perdurent. Mais il était trop bon, profondément chrétien, et c’est ce qui fit dire à Napoléon, à propos de la funeste journée du 10 août 1792, « quel couillon ! » (il le dit en corse), sous-entendu, il aurait dû massacrer (et cela lui était possible) cette populace qui commit des actes atroces ce jour-là…


dimanche 20 janvier 2019

Dimanche 20 janvier 2019. Mes chroniques un peu en jaune beaucoup en noir !

Je sais, il y a beaucoup d'articles à lire. Mais ils présentent des opinions diverses et qui me semblent bien intéressantes.
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CHRONIQUE EN JAUNE.
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LMPT et Gilets jaunes, même combat :


Une analyse sans concession.


L’usage de la force n’était pas disproportionné (paraît-il !).


Et aussi :


Et


Philippe BILGER défend les forces de maintien de l’ordre.

Il serait malhonnête de ma part de ne pas donner la parole à eux qui approuvent l’usage des divers projectiles utilisés par les CRS, les gendarmes et les policiers.
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Il est urgent de revenir à la pensée politique.

Je pense à ce que disait HEGEL, et que je vous livre : "L’opinion privée de pensée considère les choses déterminées comme seulement positive." C’est que dénonce, dans la première vidéo Étienne CHOUARD.

La farce du grand débat.





Tri préalable.



On n’a pas le droit de parler de tout ! Notamment de l’immigration (qui vient pourtant en bonne position dans les doléances des Français).


On les tabasse même s’ils ne sont pas des casseurs.



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CHRONIQUE DE MES CHERS VENDÉENS.
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Gloire immortelle aux héros de la liberté !

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CHRONIQUE DE L’ESPÉRANCE.
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Marche pour la vie aux États-Unis.


Le maire de TOURS est courageux.