dimanche 30 septembre 2018

Dimanche 30 septembre. Nouvelles du pari bénédictin. Un Comité pas si éthique que ça.


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Au lieu d’un château fort dressé au milieu des terres, pensons plutôt à l’armée des étoiles jetée dans le ciel.
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LE COMITÉ DIT D’ÉTHIQUE A LA MÉMOIRE COURTE.
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"L’ancienneté et la force de cette tradition juridique aident à comprendre pourquoi les divers comités d’éthique européens, dès leur création au début des années 80, avaient fait de cette indisponibilité du corps humain un principe intangible. Le Comité consultatif national d’éthique français (CCNE), dans son avis n°20, intitulé Avis sur la non commercialisation du corps humain réaffirmait : « La dignité de l’homme est menacée chaque fois que [sa] liberté tend à être niée ou refusée, c’est-à-dire chaque fois que se profile une chosification de l’homme ou son instrumentalisation, notamment sous l’effet de considération financière. » Dénonçant — déjà ! — le poids du commerce dans cette affaire, le Comité ajoutait : « l’Argent chosifie tout ce qu’il achète et met un signe d’égalité entre tout ce qu’il a chosifié, non par accident, mais par essence. » Il jugeait donc urgent de « préserver de toutes nos forces l’être humain de l’indignité de toute chosification. »"
In
Jean-Claude GUILLEBAUD.
Le principe d’humanité. (Page 104.)
Éditions du Seuil, Paris, 2001.

En vertu du principe d’indisponibilité du corps, il ne devrait pas être possible à un homme de disposer de son sperme pour qu’il soit utilisé, même gratuitement, aux fins de PMA, sans parler de GPA. Procéder ainsi, c'est chosifier la semence humaine. Le Comité d’éthique actuel, entièrement renouvelé par François HOLLANDE, est constitué de frileux, d’aveugles, d’inconscients, ou, si ses membres ne sont rien de tout cela, de gens parfaitement conscients de ce qu’ils décident et qu'ils décident au service d’une idéologie de ténèbres. 
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CONTREPOINTS DE GABRIEL MARCEL.
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"De cet ensemble d’observations qui forment à la vérité un écheveau assez difficile à démêler, se dégagent pour certains de nous certains avertissements des plus précis.
"Le plus impérieux pourrait peut-être se formuler de la façon suivante : à partir du moment où je pense — et penser veut dire réfléchir — je dois non seulement constater l’état d’extrême péril dans lequel se trouve aujourd’hui le monde, mais encore prendre conscience de la responsabilité qui m’incombe dans cette situation. Ceci doit être souligné : car l’acte de penser, et ceci toute l’histoire de la philosophie le démontre, comporte une tentation, celle du détachement, de l’insularisation de soi. Mais cette tentation n’existe que là où la réflexion ne s’est pas déployée selon toutes ses dimensions. Je la découvre comme tentation, et par là même je la surmonte, dès le moment où j’ai compris que ce que j’appelle le moi n’est pas une source mis un obturateur ; ce n’est pas de lui, ce n’est jamais de lui que jaillit la lumière, bien que par une illusion difficile à dissiper il soit de l’essence du moi de se prendre pour un projecteur alors qu’il est un écran. Le moi est essentiellement prétentieux, dans toutes les acceptions de ce verbe sa nature est de prétendre.
"Cette responsabilité fondamentale étant reconnue, comment chacun de nous peut-il s’efforcer d’y faire face ? Ou, en un autre langage, quel est le premier commandement éthique auquel j’ai à me conformer ? Sans nul doute possible, c’est de ne pas pécher contre la lumière. Mais quel sens exact convient-il de donner à ce mot lumière ? Je n’ai pas dit à cette métaphore : car nous ne disposons à la vérité d’aucun mot par rapport auquel le terme de lumière puisse être jugé métaphorique. L’expression johannique : la lumière éclairant tout homme venant au monde définit, de façon la rigoureuse et en termes d’une adéquation insurpassable, ce qui est vraiment la caractéristique existentielle la plus universelle qui soit. On le verra clairement si on ajoute, à titre de complément, à cette expression ce corollaire que l’homme n’est homme que s’il est éclairé par cette lumière. Si maintenant, cédant malgré tout à une exigence presque incoercible, nous tentons d’élucider ce mot lumière, nous devrons dire qu’il désigne ce que nous ne pouvons définir que comme l’identité limite de la Vérité et de l’Amour ; nous devrons ajouter qu’une vérité qui se situe en deçà de cette limite n’est qu’une pseudo-vérité, et corrélativement qu’un amour sans vérité n’est à certains égards qu’un délire."
In
Gabriel MARCEL.
Les hommes contre l’humain. (Page 198.)
La Colombe, Éditions du Vieux Colombier, Paris, 1951.
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COMMENTAIRES PERSONNELS.
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Le moi n’est jamais un projecteur, mais un écran. Gabriel MARCEL le dit d’une manière éclatante : le moi est prétentieux, car il ne cesse de prétendre… Comment le parieur peut-il s’y prendre pour devenir transparent à cette Lumière qui se confond avec le Verbe de Dieu ? En s’efforçant de vivre saintement, en priant, et en écoutant la Parole. Il est clair que les scandales qui secouent l’Église n’aident guère à convaincre l’humanité de la puissance salvifique de Jésus. Du reste, pour la plupart des êtres humains, la notion de salut n’a aucun sens, surtout dans les contrées occidentales, gavées de nourriture, de bruit et de plaisirs. Il nous faut à temps et à contretemps rappeler sans cesse la vérité sur l’homme, et cette vérité nous est donnée par l’homme parfait qui s’appelle lui-même le Fils de l’homme.
Nous devons espérer contre toute espérance… « Je suis avec vous jusqu’à la fin des temps » a dit le Maître. Ce serait manquer de foi que de ne pas accueillir ces mots en vrai disciple.
Je me moque complètement de passer pour ringard, arriérés, réactionnaire, pas de mon temps. Je dis ce que crois juste, pas seulement pour moi, mais pour les hommes, les êtres de chair et de sang qui peuplent notre terre. Il n’y a pas d’alternative au chemin de bonheur qui nous est proposé. Laissons donc le Comité Consultatif National d’Éthique à ses délires ; il est éthique comme moi je suis vice-camerlingue au Vatican ! Vous verrez qu’un jour, il donnera son feu vert à la GPA, puis à l’inceste, puis aux relations sexuelles entre adulte et enfant. Car il n’a qu’une idée en tête : détruire la barrière qui sépare l’homme de l’animal. Quand cette ultime barrière humanisante aura cédé, craignons, craignons que ne s’abattent sur l’humanité des cataclysmes dont nous n’avons pas encore la moindre idée mais qui seront sans aucun doute sanglants.








 [PP1]Ut-il s’efforcer d’y faire

samedi 29 septembre 2018

Samedi 29 septembre 2018. Mes chroniques


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CHRONIQUE DES PATRIES.
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Ils vont crier au fascisme, les subventionnés cultureux et médiatiques. Ils ne se poseront même pas la question anthropologique de fond. Pourquoi ce retour ? Ils n’ont que la critique à la bouche et le catéchisme maçonnique leur sert de réservoir à idées.

Il semble que l’on préfère les étrangers aux Français.
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CHRONIQUE DE LA CHIENLIT.
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Jours ordinaires en banlieue.

Et à Grenoble.

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CHRONIQUE DES CHANCES POUR LA FRANCE.

Tout cela baigne dans une douceur extrême ! A Marseille

Comme à Nantes.
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CHRONIQUE DES PERSÉCUTIONS.
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Tout le monde s’en fout ; ils ne sont pas musulmans, ni salafistes. Ils sont simplement chrétiens.

Même remarque que ci-dessus.

Eh bien je vais vous dire que si les choses continuent sur ce pied, l’islam deviendra la religion la plus détestée au monde, et ce sera justice. Entendez-vous les recteurs de mosquée, les imams et autres prédicateurs s’élever contre ces horreurs ? Je n’entends, moi, qu’un silence assourdissant. Et si un mystique musulman soufi ose protester, il est exécuté dans son propre pays.
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CHRONIQUE DE QUELQUES COURAGEUX.
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J’espère bien qu’il tiendra parole, Ali  BADDOU.

Au pays des droits de l’homme ou prétendus tels, il faut protéger ceux qui ne pensent pas comme les « journalistes » officiels. Bravo Éric ZEMMOUR.
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CHRONIQUE DU POLITIQUEMENT CORRECT.
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Ces gens qui ne cessent de nous critiquer, de nous ridiculiser, qui détestent leur patrie et n’aiment que leur nombril sont payés avec nos impôts. S’ils apparaissent à la télévision officielle et vendue, fermons nos postes. Ou mieux, ne les allumons plus.
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CHRONIQUE DE LA SOCIÉTÉ COMME ELLE VA.
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L’enfant est un sujet, non un objet.

Les frères trois-points à la manœuvre.

L’idéologie au service de la mort.

L’idéologie au service de la marchandisation du corps.


Cherchez l’erreur. Sans doute est-ce cruel, mais c’est très parlant ! 





vendredi 28 septembre 2018

Vendredi 28 septembre 2018. Nouvelles du pari bénédictin. Homme et femme il les fit !


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Au lieu d’un château fort dressé au milieu des terres, pensons plutôt à l’armée des étoiles jetée dans le ciel.
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PHILIPPE MURAY, ENCORE LUI !
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"L’opéra bouffe de l’irréversible est en route, et il est hors de question de se laisser piéger dans cette farce très sérieuse où tout est joué d’avance et dont seul un éclat de rire bien diriger pourrait lézarder les faux-semblants arrogants, les fantasmes en trompe-l’œil, les chantages scandaleux et les masques du cirque. Mais qui a encore envie de rire, lorsque soixante pour cent de l’opinion publique, accablée par la perspective d’être une fois de plus traitée de ringarde, se prononce en faveur de tout et de n’importe quoi ? N’importe quoi, pourvu que l’on n’entende plus la voix infatigable du pion progressiste crier dans la classe : « La loi naturelle n’est qu’un serpent de mer réactionnaire ! Le mariage n’est qu’une construction sociale ! Vous me copierez cela cent fois ! » Devant pareils déferlements, ceux qui auraient encore des réticences craignent davantage la solitude que l’imposture qui hurle si fort. Ils rejoignent donc celle-ci ou se taisent. Et ainsi le boniment d’une poignée de manipulateurs devient-il la doctrine de tous. Quant à la contradiction comique mais classique à la faveur de laquelle on veut, comme Christophe GIRARD et Clémentine AUTAIN, placer sous la protection de l’État une union homosexuelle dont on dit qu’elle sera aussi et surtout « un pied de nez à la conception traditionnelle du mariage », ce serait également perdre son temps que de la relever, quand la course à l’avenir prend la forme d’une marche nuptiale dadaïste qui réclame d’être bénie par les plus hautes autorités au nom de l’égalité. Ce culte de l’égalité absolue, l’égalitisme, est lui-même devenu une de ces religions tardives mais irrésistibles qui jettent aujourd’hui sur tous les chemins des catéchumènes avides de devenir des martyrs de tout repos sous les attaques d’adversaires discrédités par avance."
In
Philippe MURAY.
Moderne contre moderne. Exorcismes spirituels IV. Quatrième tirage.
Chapitre À la noce. (Page 188.)
Les Belles Lettres. Paris, 2010.
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CONTREPOINTS DIVERS.
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"J’ai connu une certaine Benedicta, qui remplissait l’atmosphère d’idéal, et dont les yeux répandaient le désir de la grandeur, de la beauté, de la gloire et de tout ce qui fait croire à l’immortalité."
In
Charles BAUDELAIRE.
Œuvres complètes. Petits poèmes en prose. Collection la Pléiade. (Page 290.)
Gallimard, Paris, 1961.

"Contrairement à ce que pourrait laisser supposer l’état des mœurs, c’est l’âme entrevue à peine qui séduit tout d’abord, et les émules du marquis de SADE le savent bien, qui s’évertuent à la débusquer par les moyens les plus ignobles, avec l’arrière-pensée contradictoire de la détruire et de prouver qu’elle n’existe pas. Si comme nous le pensons, l’âme est première, alors le premier sentiment [du jeune homme pour la jeune fille, de la jeune fille pour le jeune homme] sera l’admiration, qui ne va pas sans un profond respect, proche de la sidération, et l’on n’admire rien sans éprouver plus ou moins confusément le besoin de remercier, de rendre grâce. C’est pourquoi, bien que je sache parfaitement que la procédure inverse s’est généralisée et que l’on se jette à tâtons les uns contre les autres sans passer par la plus courte phase contemplative, je vous dirai avec tranquillité que vous reconnaîtrez l’amour à ce signe que l’être devant vous qui vous séduit est, d’abord un chef-d’œuvre de Dieu."
In
André FROSSARD.
Dieu en questions. Chapitre « Comment sait-on que l’on aime ? » (Page 132.)
Desclée de Brouwer ; stock/Laurence Pernoud, Paris, 1990.

"Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur les animaux domestiques et sur toute la terre, et sur les reptiles qui rampent sur la terre. Et Dieu créa l’homme à son image. Il les créa à l’image de Dieu : il les créa mâle et femelle. Et Dieu les bénit, et il leu dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre et soumettez-la …" Genèse 1, 26-27.
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COMMENTAIRES.
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Ce qui est offensé dans les avancées dites sociétales, c’est l’image de Dieu en l’homme. Avez-vous noté le passage du singulier « Faisons l’homme », au pluriel « Il les créa à l’image de Dieu ; il les créa mâle et femelle ». Je ne crois pas qu’il soit nécessaire de commenter davantage, sauf en vous rappelant ce que disait Thomas d’AQUIN : c’est vrai non pas parce que c’est dans le Livre, c’est dans le Livre parce que c’est vrai.
Hélas, dans sa folie, l’homme nie sa part divine. C’est le but recherché par ceux qui depuis les origines du christianisme n’ont cessé de le combattre par tous les moyens. Oh ! Certes, l’image que donne aujourd’hui l’institution ecclésiale n’est guère reluisante. Je voulais quand même signaler que nombre des prêtres incriminés dans les scandales sexuels ne sont pas des pédophiles, mais des homosexuels attirés par les adolescents et les jeunes hommes. Mais cela, on se garde bien de le dire. Bien entendu, il ne s’agit pas de niez qu’il y a eu des cas scandaleux de véritable pédophilie, mais, curieusement, on ne parle pas trop de statistiques. Nous devrions peser les mots avant de les utiliser à tort et à travers… et sans les nuances qui s’imposent, dans un contexte très douloureux, je puis vous le dire car j’en souffre, et qui pourrait nous faire chanceler si nous n’avions la promesse de Jésus : Je suis avec vous jusqu’à la fin du monde.







jeudi 27 septembre 2018

Jeudi 27 septembre 2018. Mes chroniques.

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MES CHRONIQUES.
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CHRONIQUE DES CHANCES POUR L’EUROPE ET DES MOYENS DE LES COMBATTRE.
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Même la Libye s’y met.

Ces gens ont tous les culots. Heureusement, l’aumônier a pu revenir.

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CHRONIQUE DE MANU MENTON POINTU.
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Après avoir été Premier Ministre de la France, il brigue la mairie de Barcelone !

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CHRONIQUE DE LA MACRONIE.
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Monsieur BENALLA, porte-flingue !

Une honte ! Une véritable honte !

La droite la plus veule, la plus bête, la plus cupide qui se puisse imaginer !

Philippe MURAY (que cite cet article) n’est plus là pour approuver !

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CHRONIQUE DU MENSONGE. (Merci à Alain et à Jean-Luc pour ce courriel.)
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"La plupart des bienpensants et surtout les « BOBOS » Européens, n’ont jamais vécu dans l’un de ces pays [pays musulmans du Proche et du Moyen-Orient], et les journalistes que j’ai côtoyés, notamment en Afrique de l’EST, n’avaient qu’un soucis :faire le scoop, quitte à falsifier les photos (mise en scène) et faire leur papier sur le dos des Français :
-je me souviens de 2 journalistes Allemands qui voulaient faire un reportage sur les exactions de l’armée française , et ont trouvé au quartier 2 à Djibouti un groupe de Somaliens, « Faites-nous une manifestations anti Française (contre espèces sonnantes et trébuchantes), manque de chance, ces 2 zigotos s’étaient adressés à des Somaliens non seulement Français de cœur, mais pro de GAULLE.
Là les deux reporters du journal Allemand, ont été manu militari mit dans un avion en partance pour Paris, par les gendarmes.
-autre incident, un photographe se réclamant de PARIS MATCH, a photographié un blessé devant l’infirmerie Hôpital de Djibouti, le visage en sang, mise en scène, chacun des figurants a touché 50 Fr Dj pour prendre la pause, son collègue qui l’accompagnait dans l’ambulance a dit que ce n’était pas bien de mentir avec des photos, car le blessé était tombé d’un échafaudage parce qu’il ne se sécurisait pas pendant son travail, malgré les injonctions de son contre maître ; cette photo est passée en France, avec un intitulé « exaction de l’armée Française » ; cela s’est déroulé devant nous, mais c’est un fois le photographe parti que l’ouvrier nous a dit de quoi il retournait.
Seule chose que nous avons fait, c’est alerter les Gendarmes, mais le photographe s’était évaporé.
NB. en 2 ans et demi, nous avons avalé des couleuvres, et mais à l’époque nos politiques étaient autrement plus fermes et conscients des futures menaces sur le monde occidental, et ils savaient assumer leurs ordres (du moins certains).
Je te raconterai un jour pourquoi sous de GAULLE, les pirates Somalis ont été neutralisés, efficace et ferme notre de GAULLE."
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CHRONIQUE DE L’EUROPE.
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 Soutien total à la HONGRIE, et merde à cette Europe-là !
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CHRONIQUE DES CINGLÉS ET DES MOYENS DE LES COMBATTRE.

Défendons Éric ZEMMOUR.

En voilà des gens qu’ils sont intelligents, clairvoyants, ouvertset tout et tout !
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CHRONIQUE DE LA RÉSISTANCE.
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 Une grande voix française !

De Ludovine de la Rochère.

Ils ne sont pas tous d’accord ! Tant mieux. Les Français non plus ne sont pas d'accord avec les apprentis sorciers du soi-disant comité d'éthique ( Ethique ? Mon c... aurait dit Zazie !).



Contre la PMA, la mobilisation commence