Je viens de recevoir ce texte d'un très cher ami alsacien. Il me semble important de le porter à votre connaissance. Il n'y a pas lieu de douter qu'il y a effectivement un réchauffement climatique. On peut s'interroger sur ses causes et ses origines. C'est ce que fait cet article.
"Réchauffement ?
Ce qu'en pense un expert suisse Werner Munter...
Difficile de savoir qui il faut croire mais tous les arguments
doivent pouvoir être exprimés...
C’est de l’arrogance de croire qu’en 150 ans
d’industrialisation nous avons changé le climat !
Spécialiste reconnu des avalanches, le Suisse Werner Munter
planche nuit et jour depuis trois ans sur le réchauffement
climatique. Et, pour lui, l’homme n’y est pour rien !
Il y a une semaine, le Groupe d’experts intergouvernemental
sur l’évolution du climat (GIEC) pointait une nouvelle fois d’un
doigt accusateur l’homme et le CO2 qu’il produit comme
principaux coupables du réchauffement climatique. Pour
Werner Munter, spécialiste mondialement reconnu des
avalanches, qui se penche compulsivement sur le phénomène
depuis trois ans, « ces gens sont des imbéciles qui répètent
en boucle des bêtises, le savent et sont payés pour ! » Le
Bernois nous a longuement reçus dans son appartement
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d’Arolla (VS) pour étayer ces accusations entre une tranche de
viande séchée et deux verres de Cornalin. Son diagnostic
climatosceptique, loin d’être celui d’un hurluberlu, est
partagé par d’éminents scientifiques dont deux Prix Nobel. Il
nous l’explique.
Vous affirmez que l’homme n’a rien à voir avec le
réchauffement. Pourquoi ?
Précisons tout d’abord que je ne conteste pas le
réchauffement lui-même. Je l’ai d’ailleurs constaté en tant que
guide de montagne en voyant les glaciers reculer. Celui qui
nous fait face par exemple a perdu 100 m depuis que j’ai
acheté cet appartement en 1989. En 2005, le pilier Bonatti
des Drus s’est effondré à cause du réchauffement du
permafrost. Ce que je remets en cause, ce sont les causes de
ce réchauffement. Elles n’ont rien à voir avec l’homme ou avec
le CO2 comme on nous le serine. Je suis arrivé à cette
conclusion pour trois raisons.
Quelles sont ces raisons ?
La première, c’est tout simplement l’analyse des données
climatiques reconstituées sur des millions d’années. Rien que
dans les 10 000 dernières années, il y a eu cinq pics de
températures comparables à celui que nous vivons. Ces
optima correspondent à des cycles naturels. Au Moyen Age, il
était par exemple possible d’aller en vallée d’Aoste depuis
Arolla avec les troupeaux car le glacier n’existait plus. Lors des
deux premiers optima, le Sahara était une savane avec des
lacs, des arbres et des éléphants. Avant cela, pendant des
centaines de milliers d’années, il a fait plus chaud
qu’aujourd’hui. Et parfois jusqu’à 7 degrés plus chaud ! Or le GIEC se concentre sur les 150 dernières années. Autant dire
qu’il regarde autour de son nombril. Les reconstructions
paléoclimatiques montrent aussi que, pendant des centaines
de millions d’années, il n’y a pas eu de corrélations entre le
CO2 dans l’atmosphère et la température sur terre.
Votre second argument ?
La concentration de CO2 – qui est soit dit en passant un gaz
vital et non pas un poison – dans l’atmosphère est
négligeable. Il y en a un peu moins de 0,5‰ dans
l’atmosphère, et au maximum 5% de cette quantité est
imputable à l’homme. Pour un million de molécules d’air, il y a
seulement 20 molécules de CO2 produites par l’homme. Et
chaque année, notre industrialisation rajoute 4 molécules de
CO2 pour chaque million de molécules d’air, mais la moitié
est absorbée par les océans et les plantes. Et on veut nous
faire croire que cette infime proportion due à l’homme est
une catastrophe ? J’ai beaucoup de peine à le croire (rires).
Pourquoi dès lors la thèse officielle fait quasi consensus ?
Vos collègues scientifiques ne sont pas des imbéciles !
Ces théories visent à nous culpabiliser. Quand des
scientifiques comme ceux du GIEC disent qu’ils veulent
sauver la planète, je dis qu’ils ne sont pas crédibles. Ils
mentent pour préserver des intérêts économiques dont les
leurs. Car il y a tout un business derrière la lutte contre le
réchauffement. Il y a une volonté de faire peur aux gens par
exemple en dramatisant la montée des océans, alors que
ceux-ci ne s’élèvent que de 2 à 3 mm par an ! C’est aussi une
manipulation intellectuelle de parler de CO2 en tonnes plutôt
qu’en proportion. Des tonnes, ça impressionne, mais rappelons que l’atmosphère pèse 5 000 000 000 000 000
tonnes ! (cinq millions de milliards de tonnes!)
Votre dernier argument est que la thèse officielle
contredit les lois de la physique. C ’est-à-dire ?
Celle de la thermodynamique en particulier. Pour faire simple
: la terre fait 15° en moyenne. L’atmosphère censément
polluée de CO2 est grosso modo à -30° à 10 km d’altitude.
Qu’elle réchauffe la Terre qui est bien plus chaude qu’elle est
une aberration. La thermodynamique nous dit que la chaleur
va toujours vers le froid et jamais dans le sens inverse, ce que
correspond à notre expérience quotidienne.
Alors au final, comment expliquez-vous ce fichu
réchauffement ?
Je n’ai pas de réponse car trop de facteurs entrent en jeu. Par
contre, j’ai des hypothèses. Je soupçonne par exemple les
variations de l’intensité du rayonnement solaire – qui
répondent à des cycles – de jouer un rôle central, tout comme
les processus nucléaires complexes et méconnus qui sont à
l’œuvre au centre de notre Terre. Quoi qu’il en soit, c’est de
l’arrogance de croire qu’en 150 ans d’industrialisation nous
avons changé le climat. La nature est bien plus forte que
l’homme, nous ne sommes pas les maîtres de la Terre !
Et si le réchauffement climatique n'était que le
prétexte à la création de nouvelles taxes ?
Et si le fait que la Sibérie devienne cultivable n'était
pas une catastrophe ?
Et si ceux-là même qui sont incapables de prévoir la météo à plus de 5 jours et qui prétendent savoir le
temps qu'il fera dans 50 ans, nous prenaient pour des
cons ?
Et si la sagesse consistait à dire qu'on n'en sait rien ....
Et si on commençait à raisonner par nous-mêmes au
lieu de gober tout ce qu'on veut nous imposer ? (dans
"imposer", il y a "impôt" !)
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