Dans ce premier billet du 6
octobre, je ne résiste pas au plaisir de vous narrer la manière dont Eugénie
BASTIÉ a renvoyé dans ses cordes le vieux-beau Jacques ATTALI. Aller donc voir en
replay des extraits de l’émission Ce soir (ou jamais) de Frédéric TADDEI, en
date du vendredi 25 septembre 2015… Eh oui ! Monsieur ATTALI qui est le "penseur
de la République" depuis François MITTERRAND, s’est vu rétorquer par
Eugénie ceci qui l’a laissé sans voix (je cite de mémoire) : "Je suis
née en 1991, et déjà vous étiez bien en cour dans les sphères politiques, vous donniez des conseils aux Princes, mais depuis lors rien n’a changé !"
L’imbécile prototypique bernanosien, qui fait profession (il gagne ainsi sa vie) de penser, mais n’en a
pas la vocation, était vert de rage. Et comme le ridicule ne tue pas, voilà-t-il
pas qu’il a déclaré ne pas exclure d’être candidat aux élections
présidentielles de 2017 si aucun programme n’est convenable (à ses yeux bien
sûr, entendez, si aucun programme ne reprend ses idées).
Il était furieux le Jacques. Mais
ce que vous ne savez pas, c’est qu’à la fin de l’émission, il a apostrophé
Eugénie BASTIÉ en lui disant (hors antenne) : "Vous êtes pire qu’Éric
ZEMMOUR"…
Voyez-vous tout finit par se
savoir… Et mes sources sont très fiables, croyez-moi.
Et comme je comprends Robert
MENARD qui, le 4 décembre 2014, a dit, dans l’émission des paroles et des actes, devant Jacques ATTALI lui-même : « Je
veux libérer la France de Jacques ATTALI et de ses amis. ». Nous avons du
pain sur la planche… Mais on y arrivera peut-être.
Soyez bien assurés que je ne compte ni sur la "gôôôôche", ni sur la "drouate" ni sur "l'extrême-gôôôôche" ni sur "l'extrême-drouate" (mots commodes pour désigner des machines à prendre le pouvoir et à se distribuer les bons postes) pour arriver à ce très désirable résultat. Je compte sur le bon sens de mes compatriotes (quelle que soit la couleur de leur peau, que ce soit bien clair dans votre idée). Je compte sur cette éclatante jeunesse qui est en train de mûrir et qui va enfin prendre en main l'avenir de la patrie.
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