UN DIAGNOSTIC ?
L’épuisement français ? Non je ne le crois pas. Il y a une ardente jeunesse qui ne s'en laissera pas compter. Il y a bien longtemps que la décomposition de la vie politique française et l'odeur de putréfaction qui s'en dégage a été prise en compte par cette jeunesse qui fait de la politique autrement, en commençant par se changer soi-même.
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CHRONIQUE DE LA COHERENCE MINISTERIELLE ET DE L’AMOUR DE LA FAMILLE.
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Plutôt que de contaminer la famille, évitons d'être contaminés par un discours affligeant de vacuité.
Evidemment, il est prudent de porter un masque quand on va voir des grands parents ou des parents âgés. Mais il ne faut tout de même pas exagérer.
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CHRONIQUE D’UNE MANIPULATION SCANDALEUSE.
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Remarquable interview du Pr PERRONNE.
D. PUJADAS démantibule le mensonge d’état.
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CHRONIQUE DE LA REVOLTE QUI GRONDE CONTRE L’INSECURITE.
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Faudra-t-il qu’un jour les citoyens s’arment pour défendre leur vie contre les délinquants ou les voleurs ?
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CHRONIQUE DE LA VIOLENCE ORDINAIRE.
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Tout va bien en Bretagne.
A Bordeaux aussi, tout est beau.
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CHRONIQUE DE LA JUSTICE…. ENFIN DE CE QUE L’ON APPELLE LA JUSTICE.
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Des voleurs s’introduisent dans sa propriété. Il flanque leur voiture dans la rivière. Les voleurs sont indemnisés pour préjudice moral !
Pendant qu’on flanque des prunes à 135 euros à tire-larigot, les assassins sont remis en liberté.
On marche sur la tête. Un homme responsable de 9 viols et de deux tentatives de viol est remis en liberté après 11 ans de prison (condamnation à 18 ans) ; à peine sorti, il recommence, viole et tue une adolescente de 15 ans. Merci qui ? Merci à toi ô justice ? Ou honte à vous, magistrats qui avez un code civil et un code pénal à la place du cœur. Vous qui avez relâché cet homme, vous êtes coresponsable de la mort de cette jeune fille.
Bien sûr qu’elle a raison, Marion. La culture de l’excuse, nous en avons plus qu’assez. Pas un kilomètre de voie ferrée, pas un pont (sauf ceux qu’ont construit en quelques pays africains les Chinois et qui se sont révélés, disons, TRES TRES TRES fragiles), pas une amélioration de la situation des populations africaines, depuis la décolonisation. Si l’on ne meurt plus de variole ou de rougeole, si l’on soigne la lèpre ou la bilharziose (et, avec moins de succès, le paludisme) en Afrique, c’est à ce salaud de colonisateur qu’on le doit. Personnellement, je pense que nous n’avions rien à faire en Afrique. Nous avons perturbé des équilibres traditionnels, aussi bien sociaux qu’économiques, et nous avons en fait introduit du désordre, là où régnait un semblant d’ordre. Nous n’avions rien à faire en Afrique (du Nord, ou subsaharienne ou équatoriale ; encore qu’en Afrique du Nord, il fallait mettre un terme aux razzias qui réduisaient en esclavage de nombreux européens capturés par les barbaresques). Les Africains n’ont rien à faire en Europe. Leurs responsables se doivent d’améliorer le sort de leurs concitoyens, de leur procurer nourriture, santé, et bien être, et non d’imiter les pires travers de nos responsables politiques, dont la propension au népotisme et à la corruption.