dimanche 1 mars 2015

01er mars 2015. Nouvelles de la Résistance. Une histoire peu connue : celle de Germaine Jaurès

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Ah mes amis ! Quelle allégresse à l'idée que pour le billet de ce jour je puis mettre en en-tête la devise de ce Blog :

Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté !
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D'après madame Michèle DELAUNAY, une ex-ministricule socialiste, "il n'y a pas de cimetière catholique". Elle réagissait, autant qu'il m'en souvienne, aux profanations des cimetières chrétiens dans le département de la Manche. Voici très exactement ses propos d'après le site des Moutons enragés :

'''L’ancien ministre socialiste est au cœur d’une polémique sur les réseaux sociaux. En effet, alors qu’un internaute relevait qu’il y a « en France 434 profanations dans les cimetières catholiques par an », la fille de l’ancien préfet et député de la deuxième circonscription de Gironde lui a répondu qu’il « n’y a pas de cimetières catholiques » en France, rajoutant « ce sont des cimetières républicains et non dédiés à une confession » ! '''

J'avais déjà plusieurs candidates au trône des imbéciles ; j'ai trouvé l'impératrice qui les chapeaute toutes : madame DELAUNAY. Il y a donc des cimetières juifs (celui de SARRE-UNION a été profané par un groupe de 5 jeunes, dont l'un était  membre des "antifas", et qui tous appartenaient à la mouvance de gauche. Vous noterez que la presse s'est faite étonnamment discrète sur l'identité de ces jeunes.) II y a aussi des carrés musulmans. Tout le reste appartient à la catégorie des cimetières républicains ! J'ai rarement entendu de telles inepties dans la bouche d'un homme politique (qu'on me pardonne ce masculin, conforme à la langue française et aux indications de l'Académie qui donne un caractère grammaticalement intensif à ce genre). Quand dans un cimetière qualifié de "républicain" par cette imbécile (bernanosienne), on ne renverse que les croix, il est donc clair que ce sont des croix républicaines. Eh bien je vais vous raconter une histoire de croix brisée que les manuels d'histoire et les spécialistes de Jean JAURES se gardent bien de propager : celle de Germaine JAURES !

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LE CRUCIFIX BRISE.
Publié le 7 juil. 2012 13:18 par Olivier du Chambon   [ mis à jour : 7 juil. 2012 13:18 ]
Lu sur le site de la paroisse catholique de BLANZAY (commune de la Vienne ; ex-région de Poitou-Charente ; bonjours madame ROYAL).

"Jean Jaurès (1859-1914), homme politique français, figure marquante du socialisme, avait une fille, Germaine, à qui il avait donné comme institutrice une ancienne normalienne anticléricale, pour être sûr de détruire ainsi, dans l’âme de son enfant, les dernières traces de foi. 
Au soir d’un de ses plus beaux succès oratoires, le député socialiste rentrait dans son bureau de travail tout joyeux de son triomphe. Se parlant à lui-même : « Quelle journée ! Disait-il. Quand j’ai parlé de déchristianiser la France, il me semblait que les pierres allaient se dresser contre moi… Et pourtant, c’est fait ! Ma fille Germaine a 20 ans, et c’est une femme accomplie. Ah ! Messieurs les catholiques, je vous défie de donner un modèle d’éducation comparable à celui que je vous présente. » 
A ce moment, un coup léger se fait entendre, Germaine rentre. Elle prend un siège et va s’asseoir près de son père. - « Je suis heureuse, dit-elle, de vous trouver seul. - Pourquoi ? - Je viens vous faire savoir que j’ai fixé le choix de celui qui sera le compagnon de ma vie. - Je serais curieux de connaître le nom du préféré auquel tu as sacrifié tous les autres… » La tête inclinée, elle dit : « Je veux me consacrer à Dieu dans la vie religieuse. » 
Coup de foudre pour le député socialiste. Germaine releva la tête. Son père était si pâle qu’elle eut peur et qu’elle voulut appeler au secours. D’un geste, Jaurès l’arrêta. Et d’une voix tremblante, il lui dit : « - Depuis quand penses-tu à ce projet ? - Depuis trois ans. - Qui t’en a donné l’idée ? - Personne ! - Alors ?  

- Vois, père… Il y a quatre ans, je me promenais avec mon institutrice à la campagne. Sur la route, nous avons trouvé un calvaire brisé. Le Christ en morceaux gisait dans l’herbe. Je m’amusais à en recueillir les morceaux et à reconstituer le Christ. Mais pendant que je contemplais mon travail, mon institutrice lança un vigoureux coup de pied et dispersa tous les morceaux dans toutes les directions. J’en eus de la peine et, depuis ce jour-là, j’ai senti grandir en mon âme toute une semence d’idées que vous n’y avez pas jetés. Et maintenant, je veux être au Christ pour toujours. » Et elle se tut et baisa la main de son père qui lui fit signe de se retirer. 
Dans le silence de son cœur, le Christ avait parlé à Germaine, et Germaine L’avait écouté. Germaine L’avait compris. Germaine L’avait aimé."

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Allez, madame DELAUNAY, faites un petit effort d'intelligence du réel. Regardes ces tombes profanées et leurs croix brisées, avant de regarder dans votre cerveau pour savoir si vos paroles sont conformes au catéchisme distillé par les Loges maçonniques dont vous pourriez bien être un membre éminent. Je ne sais pas si vous irez jusqu'à demander rendez-vous à François HOLLANDE pour lui annoncer votre entrée au Carmel, après que vous aurez constaté le sens de ces profanations. J'en doute, mais on ne sait jamais. Germaine JAURES pourrait faire des émules !

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