A mes lecteurs : je vous fait part de cet article du salon beige, dans le site duquel je puise quotidiennement des photos que vous pourriez voir en vous connectant. Mais je les sélectionne de façon à illustrer mes propos et mon commentaire ou mes citations. Vous trouverez ma contribution du jour, en rouge, après cet appel.
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Le Salon Beige se dote d'un fonds de dotation.
Chers amis du Salon Beige,
C'est pourquoi je suis heureux de vous signaler que nous venons de créer un fonds de dotation, structure assez proche de la fondation. Cela signifie, en particulier, que nous pouvons désormais émettre des reçus fiscaux (étant dans le collimateur, nous avions jusqu'à présent préféré éviter de le faire).
Mais cette création n'est pas principalement à vocation administrative ou fiscale, naturellement ! Ce fonds de dotation vise, notamment, à intervenir dans la vie publique, non plus simplement comme observateurs, mais comme acteurs. En particulier, nous allons, dès le début de 2014, commencer à travailler pour approvisionner les parlementaires pro-vie, pro-famille, pro-liberté scolaire en notes adaptées à leur travail.
Non seulement, nous ne nous tairons pas, mais nous allons désormais parler plus fort ! En attendant cette nouvelle étape, sur laquelle nous vous tiendrons bien sûr informés, je vous souhaite à tous de saintes fêtes de Noël.
Guillaume de Thieulloy Directeur de la publication
PS : puisque nous sommes désormais éligibles à la déduction fiscale, ceux d'entre vous qui souhaitent réduire leurs impôts pour 2013 peuvent naturellement faire un don au Salon Beige d'ici le 31 décembre, en cliquant ici (Ou par chèque à l’ordre du Salon Beige, à l’adresse 3 rue de l'Arrivée 75015 Paris). Un grand merci pour votre soutien !
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Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté.
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Nous avons pour premier magistrat un petit homme. Le "Président" se fend de recevoir le Président du Conseil représentatif des Juifs de France, inquiet d'un prétendu antisémitisme qui se manifesterait par la multiplications des quenelles à la Dieudonné dans l'espace public. Le même petit homme reçoit, sous la lumière des projecteurs, deux responsables du mouvement LGBT, inquiets de la position qu'il a prise la veille devant les maires de France à qui il reconnaissait le droit à l'objection de conscience. Et le parjure intime à monsieur DELEVOYE via le Premier Ministre l'interdiction de prendre en compte la pétition citoyenne signée par 700 000 Français. Il ne reçoit pas davantage les représentants de la La Manif Pour Tous. C'est un homme de parti, un sectaire ; mais aussi un homme qui paraît avoir le coeur assez sec. Quand celui-ci lui sera tombé dans la vessie, il risque d'avoir des coliques néphrétiques. La manière dont il a traité sa première compagne, madame ROYAL, en dit long sur la souplesse de sa conscience. Mais il nous enfume et en une phrase ou deux, je vais vous expliquer comment.
Il est socialiste en effet comme moi je suis archevêque. Il adore les banques. Une mesure législative vient d'être prise qui semble être passée inaperçue dans la presse : elle autorise les banques en situation de quasi faillite à se renflouer en puisant dans les fonds de ses déposants ! Vous entendez bien, en puisant dans les fonds de ses déposants ! Il peut toujours taxer "les riches" qui en l'occurrence sont essentiellement les classes dites "moyennes" ; il n'a d'yeux doux que pour les grands-prêtres du fric.
Ecoutez la prestation de RIOUFOL. Je vous en donne l'adresse électronique. Elle est édifiante de force et de pertinence. Faites connaître l'existence du Jour de la colère, le 26 janvier à PARIS. Participez à ce grand effort de coagulation. Et ne vous y trompez pas. La colère, en apparence, s'appuie sur des récriminations matérielles, mais la colère naît d'une profonde crise systémique ; elle ressemble, cette crise, à celle qui précéda la Révolution : collusion et corruption intellectuelle des élites, partage des prébendes entre d'aimables ennemis (des ennemis complices, qui s'adorenten vérité et se retrouvent sur la mécanique du pouvoir), concentration en un petit nombre de mains du prestige et de l'influence sociaux, mépris des opinions du peuple. J'ai suffisamment critiqué la Révolution dans mes billets pour ne pas réclamer ici une deuxième version de ce drame sanglant ; nous n'en sommes pas encore relevé.. Mais nous pouvons par toutes sortes de moyen, dont la non-violence et la désobéissance civile, forcer cette classe politique incapable, aveugle, immorale et intellectuellement corrompue à quitter le pouvoir, et à le quitter sans espoir de retour.
-Un journaliste honnête : RIOUFOL du Figaro.
Voir son éditorial sur cette vidéo.
http://www.youtube.com/watch_popup?v=6DqcGzU8WCE
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Jour de colère : l'affiche.
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Eric ZEMMOUR ; information venue de Russie par prorussia.
http://www.fdesouche.com/
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2 commentaires:
Les coiffeuses bretonnes actuellement en quête d’emploi à Lorient risquent d’être déçues : le nouveau salon de coiffure Image-Hair, situé 51 rue de Verdun, à Lorient, embauche un ou une salarié. Jusque là, plutôt réjouissant pour les nombreuses personnes actuellement au chômage, possédant un CAP ou BEP coiffure et une expérience de 2 ans dans le même domaine. Mais l’annonce publiée par Pôle emploi et réactualisée le 19 décembre risque de refroidir la majorité des postulants : en effet, Eda Demir, dirigeante de la société, exige que le ou la postulante parle la langue turque.
Un critère à la fois surprenant, aux relents plutôt discriminatoires, la pratique de la coiffure en Bretagne n’étant à ce jour pas soumise à la pratique de la langue turque.
Contactée par téléphone, la gérante du salon se justifie : « Ici dans ce quartier de Lorient, la majorité de ma clientèle est turque, je souhaite donc avoir une employée qui parle couramment cette langue, tout comme moi ».
Un petit survol des commerces du quartier permet de constater en effet une multiplication des commerces communautaires dans ce quartier de Lorient : on trouve ainsi, en face du salon de coiffure, au 50 rue de Verdun, le kebab « l’Ankara », ou encore au 13 rue de Verdun « Yasmine délices d’orient », une boucherie halal, une autre au 75 Rue Paul Guieysse, 56100 Lorient et « L’Istanbul Grill », rue Édouard Beauvais. Côté rive gauche du Scorff, on retrouve également, l’AS Lorient Turcs, un club de football communautaire, ainsi qu’une mosquée, gérée par l’association culturelle turque du Pays de Lorient et située à Keryado.
Du côté de Pôle Emploi, nous n’avons pour l’instant pas réussi à joindre le responsable régional de la communication, malgré plusieurs tentatives. Une conseillère chargée de la diffusion des annonces des employeurs dans le département nous a néanmoins confié, sous couvert d’anonymat : « si un coiffeur ou un crêpier exigeait la pratique de la langue bretonne dans ses recherches, nous ne validerions pas l’offre d’emploi. »
Difficile dès lors pour les Bretons au chômage de pouvoir « vivre, décider et travailler au pays », et ce malgré le Pacte d’avenir pour la Bretagne et la bonne volonté des Bonnets rouges. Une question à soumettre à Christian Troadec …
Je ferai demain un billet qui en dit long sur l'état d'esprit de nos concitoyens ne possédant ni l'arabe ni le turc ni le bambara ni aucune autre langue d'outre Méditerranée.
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