Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté.
Je reviens aujourd'hui sur le climat anti-chrétien en train de se développer en France ; les paroles et les actes de Vincent PEILLON (qui ferait bien de réfléchir à ce que dit Sylvain LEVI et aurait toutes les raisons de le faire), des Femens, de monsieur Hugo BAILLET (pour ne citer que les récentes offenses faites au Christ) par exemple. Il se développe un ostracisme insupportable vis-à-vis des Français (il y en a encore) qui ont librement décidé de suivre JESUS. Je sais. On va me rétorquer les curés pédophiles, comme si ce crime de quelques uns devaient rejaillir sur tous les chrétiens, comme s'il n'était le propre que de ces pauvres hères que de commettre ces abominations (on ne dit pas grand chose sur les scandales analogues qui ont frappé quelques clubs de sport fréquentés par les enfants et les adolescents), comme si la majorité de notre clergé n'était pas digne de la plus grande estime pour son abnégation et sa charité. Merdre ! Il y en a marre ! Il y aurait beaucoup à dire sur ces critiqueurs-bouffeurs de curés, qui ne voient en revanche aucun inconvénients à accepter des soirées du genre "Sodomize me", des back-rooms des bars gays, les partouzes de monsieur... (ah ! le nom m'échappe...). Tout ce bruit pue la manipulation, l'idéologie, l'absence totale de recul et d'analyse, l'infantilisme du jugement. Un jour, ces menteurs verront revenir sur eux les effets de leurs mensonges, et ils seront bien heureux d'accueillir comme une rosée vivifiante la miséricorde de ceux qu'ils ont persécutés et qui n'ont aujourd'hui qu'une issue : la sainteté.
-1. La citation du jour.
A l'intention des imbéciles en général et de monsieur Hugo BAILLET en particulier, ainsi que de quelques francs-maçons.
"Un bloc religieux est [...] bien une unité réelle, solide, intégrale, un système organique de civilisation.
Notre conception de l’histoire en Occident procède avec raison de ce principe.Elle place au centre la civilisation chrétienne qui est véritablement la civilisation de l’Occident ; c’est par rapport à cette civilisation qu’elle dispose les plans et les perspectives de l’histoire humaine. Rome occupe la place d’honneur ; siège de la papauté, elle atteste que l’Église est l’héritière de l’empire romain ; la langue latine, maintenue et consacrée par l’Église, témoigne aussi de cette continuité. L’histoire romaine est donc comme une introduction nécessaire à l’histoire de la civilisation occidentale. Mais la civilisation romaine dérive en grande partie de la civilisation grecque ; l’histoire de la Grèce vient donc se souder, comme une annexe indispensable, à l’histoire de Rome. D’autre part, le christianisme a, par Jésus et les Apôtres, son berceau en Palestine ; le Nouveau Testament remplace, sans l’annuler, l’Ancien Testament, qui est le trésor de la civilisation juive. L’histoire du peuple juif vient à titre d’histoire « sainte » se placer au même rang que la Grèce et Rome. Autour de ces trois foyers, Rome, Athènes, Jérusalem, s’ordonnent les autres na-tions que les vicissitudes du sort ont tour à tour mêlées à leur histoire : Assyrie, Chaldée, Perse, Égypte, Carthage, Gaule, Espagne, Germanie, etc. Après la défaite définitive du paganisme romain, l’Europe nouvelle se forme par l’entrée graduelle des États nouveaux dans le giron de l’église chrétienne. La naissance et la diffusion rapide de l’Islam dressent en face du christianisme un champion redoutable ; durant plusieurs siècles, les deux adversaires se heurtent sans triompher l’un de l’autre. L’Église préside aux batailles, comme elle préside aux arts, à la littérature, à la vie sociale, à la politique. Il semble que le monde entier vit dans l’Église et par l’Église. La Renaissance, d’abord favorisée par les papes, aboutit à la Réforme ; dangereuse pour l’église catholique, la Réforme maintient le christianisme au centre des activités, tandis que la découverte de l’Amérique double les ressources et le domaine de l’Église chrétienne. Il est superflu de pousser plus loin cette esquisse du rôle que le christianisme occupe dans la civilisation de l’Occident ; les détails en sont familiers à tous les esprits, du moins en Occident. Si la civilisation de l’Islam a été moins féconde que la civilisation chrétienne, elle a cependant créé, elle aussi, un bloc homogène qui ne manque ni de grandeur ni de variété. Elle a, elle aussi, ses arts, ses littératures, ses sciences, qui ont fleuri sur un immense territoire [...]." (Sylvain LEVI. In L'Inde et le monde. [Honoré Champion, Paris, 1928].)
(Dans ce livre, Sylvain LEVI montre que la sagesse bouddhique est un véritable humanisme spécifique de l'Asie et qu'elle a quelque chose à apporter à l'humanité entière. Qui ne serait d'accord ?)
-
2. Commentaires.
Ce texte a donc été publié par le très grand indianiste français, Sylvain LEVI, Professeur au Collège de France. Avec une probité absolument remarquable, Sylvain LEVI, qui était israélite et s'est beaucoup impliqué dans la vie de la communauté israélite française, reconnaît une évidence que les deux imbéciles de CHIRAC et JOSPIN ont niée en leur temps. Il faut vraiment être accro au pouvoir pour nier la réalité à des fins électorales. Sylvain LEVI reconnaît à juste titre certaines beautés de la civilisation de l'Islam. Monsieur HOLLANDE quant à lui l'idolâtre, lui qui oublie de souhaiter un bon Noël à ses compatriotes chrétiens, mais se fend d'un message dithyrambique à l'intention des musulmans qui célèbrent l'Aïd-el-Kebir. On a les présidents que l'on mérite, hélas, et si nous n'avions pas renié, sinon notre baptême, du moins nos origines, nous ne verrions pas voler au-dessus de nos fronts penchés pour la prière, l'insolence de ces imbéciles ; ils salissent en même temps leur propre nid par leurs insultes, leur mépris, ou leur ignorance.
Décidément, des grands esprits comme Sylvain LEVI, nous permettent de respirer sur des cimes, loin des miasmes de PARIS, de la Rue de Solférino et de la Rue Cadet.
-"Un bloc religieux est [...] bien une unité réelle, solide, intégrale, un système organique de civilisation.
Notre conception de l’histoire en Occident procède avec raison de ce principe.Elle place au centre la civilisation chrétienne qui est véritablement la civilisation de l’Occident ; c’est par rapport à cette civilisation qu’elle dispose les plans et les perspectives de l’histoire humaine. Rome occupe la place d’honneur ; siège de la papauté, elle atteste que l’Église est l’héritière de l’empire romain ; la langue latine, maintenue et consacrée par l’Église, témoigne aussi de cette continuité. L’histoire romaine est donc comme une introduction nécessaire à l’histoire de la civilisation occidentale. Mais la civilisation romaine dérive en grande partie de la civilisation grecque ; l’histoire de la Grèce vient donc se souder, comme une annexe indispensable, à l’histoire de Rome. D’autre part, le christianisme a, par Jésus et les Apôtres, son berceau en Palestine ; le Nouveau Testament remplace, sans l’annuler, l’Ancien Testament, qui est le trésor de la civilisation juive. L’histoire du peuple juif vient à titre d’histoire « sainte » se placer au même rang que la Grèce et Rome. Autour de ces trois foyers, Rome, Athènes, Jérusalem, s’ordonnent les autres na-tions que les vicissitudes du sort ont tour à tour mêlées à leur histoire : Assyrie, Chaldée, Perse, Égypte, Carthage, Gaule, Espagne, Germanie, etc. Après la défaite définitive du paganisme romain, l’Europe nouvelle se forme par l’entrée graduelle des États nouveaux dans le giron de l’église chrétienne. La naissance et la diffusion rapide de l’Islam dressent en face du christianisme un champion redoutable ; durant plusieurs siècles, les deux adversaires se heurtent sans triompher l’un de l’autre. L’Église préside aux batailles, comme elle préside aux arts, à la littérature, à la vie sociale, à la politique. Il semble que le monde entier vit dans l’Église et par l’Église. La Renaissance, d’abord favorisée par les papes, aboutit à la Réforme ; dangereuse pour l’église catholique, la Réforme maintient le christianisme au centre des activités, tandis que la découverte de l’Amérique double les ressources et le domaine de l’Église chrétienne. Il est superflu de pousser plus loin cette esquisse du rôle que le christianisme occupe dans la civilisation de l’Occident ; les détails en sont familiers à tous les esprits, du moins en Occident. Si la civilisation de l’Islam a été moins féconde que la civilisation chrétienne, elle a cependant créé, elle aussi, un bloc homogène qui ne manque ni de grandeur ni de variété. Elle a, elle aussi, ses arts, ses littératures, ses sciences, qui ont fleuri sur un immense territoire [...]." (Sylvain LEVI. In L'Inde et le monde. [Honoré Champion, Paris, 1928].)
(Dans ce livre, Sylvain LEVI montre que la sagesse bouddhique est un véritable humanisme spécifique de l'Asie et qu'elle a quelque chose à apporter à l'humanité entière. Qui ne serait d'accord ?)
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2. Commentaires.
Ce texte a donc été publié par le très grand indianiste français, Sylvain LEVI, Professeur au Collège de France. Avec une probité absolument remarquable, Sylvain LEVI, qui était israélite et s'est beaucoup impliqué dans la vie de la communauté israélite française, reconnaît une évidence que les deux imbéciles de CHIRAC et JOSPIN ont niée en leur temps. Il faut vraiment être accro au pouvoir pour nier la réalité à des fins électorales. Sylvain LEVI reconnaît à juste titre certaines beautés de la civilisation de l'Islam. Monsieur HOLLANDE quant à lui l'idolâtre, lui qui oublie de souhaiter un bon Noël à ses compatriotes chrétiens, mais se fend d'un message dithyrambique à l'intention des musulmans qui célèbrent l'Aïd-el-Kebir. On a les présidents que l'on mérite, hélas, et si nous n'avions pas renié, sinon notre baptême, du moins nos origines, nous ne verrions pas voler au-dessus de nos fronts penchés pour la prière, l'insolence de ces imbéciles ; ils salissent en même temps leur propre nid par leurs insultes, leur mépris, ou leur ignorance.
Décidément, des grands esprits comme Sylvain LEVI, nous permettent de respirer sur des cimes, loin des miasmes de PARIS, de la Rue de Solférino et de la Rue Cadet.
3. Informations sur la résistance.
L'inventaire : un joli réquisitoire. Regardez vite avant censure.
http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=96C4zw9RjmI
Jour de colère (Le 26 janvier 2014).
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=OTf3NRU9JrQ
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