Notre grand BOSSUET disait magnifiquement : "Le plus grand dérèglement de l'esprit, c'est de croire les choses par ce qu'on veut qu'elles soient et non par ce qu'on a vu qu'elles sont en effet."
-C'est là la condamnation sans appel de l'idéologie et de l'esprit de système. Si nos hommes politiques voulaient bien voir la réalité, ils ne réagiraient pas en traitant de racistes ou de français indignes, ceux de nos concitoyens qui se plaignent des comportements, de l'arrogance et des abus de certains immigrés (bien entendu, et j'insiste, pas de tous !). C'est cela qu'il faut combattre avant que nos compatriotes, excédés, ne finissent par réagir avec violence contre ces colonisateurs à rebours qui entendent profiter des Français tout en les méprisant, voire contre tous les étrangers, ce qui serait le pire des drames.
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Je n'ai pas de solution toute faite à ce problème. Les socialistes portent une responsabilité écrasante dans le développement du communautarisme, essentiellement musulman. Mais les grandes entreprises qui manquaient de personnels et ont été recruter de la main d'oeuvre bon marché dans les années 60 aussi. Et l'ensemble des Français, en ne tendant pas la main à ces étrangers, en s'en moquant, en ne leur offrant que des emplois subalternes les ont ancrés dans l'idée qu'on était bien content de les avoir chez nous pour les exploiter.
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Dans les premières mesures à prendre, figurent l'abolition définitive du droit du sol (pour les enfants nés en France de parents étrangers), comme de celui du sang d'ailleurs, l'octroi de la nationalité française seulement à des adultes majeurs (18 ans et plus), parlant correctement le français, et connaissant les règles qui régissent notre vie politique et quelque peu l'histoire de la patrie qu'ils veulent adopter. Tout bien réfléchi, nous ne pouvons pas non plus accepter des comportements sociaux trop éloignés de ceux que nous ont légués l'histoire et nos aïeux : pas de burqa, pas de voile intégral, pas de fichu islamique, pas de turbans sick. Car rien de tout cela n'existait dans le passé. Il est très intéressant de remarquer que de tous temps, les responsables politiques ont régi l'habillement ou la mise des citoyens dans l'espace public : ainsi les Empereurs mandchous ont-ils imposé à leurs sujets le port de la natte ; le shah d'Iran vers la fin du XIXe siècle à interdit à ses sujets le port du couvre-chef traditionnel ; sans parler de l'Iran actuel et d'autres pays de confession musulmane, où la tenue vestimentaire des femmes est réglementée (que cela nous plaise ou non, à nous), sans que cela suscite de la rébellion.
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Si les responsables politiques s'obstinent à fermer les yeux sur ce problème, ne prennent pas les mesures coercitives nécessaires (perquisition militaire de tous les quartiers dits sensibles où se trafiquent la drogue et les fruits des rapines ; expulsion immédiate de tous les délinquants vers leurs pays d'origine s'ils sont étrangers ; déchéance de la nationalité s'ils sont fils ou filles d'étrangers mais nés en France, à tout le moins déchéance des droits civiques), n'arrivent pas par des mesures d'urbanisation humanisante à casser ces ghettos communautaires, nous allons tout droit à la catastrophe. Je ne doute pas qu'en disant cela, je vais passer pour un réactionnaire. Mais je redis ici que ce sont les faits, constatables par tout un chacun. Il convient aussi de faire notre mea culpa, et de faire un pas de fraternité vers ceux des immigrés qui ont choisi la France et l'aiment : leur parler, les recevoir, les aider, les estimer. Tout cela est du bon sens.
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Je voudrais terminer ici par une citation choc tirée du fameux livre de MONOD, le hasard et la nécessité (scientifiquement critiquable à bien des égards ; MONOD s'est planté plusieurs fois !) ; mais celle-là mérite qu'on l'encadre :
"Le seul espoir du socialisme n'est pas dans une révision de l'idéologie qui le domine depuis plus d'un siècle (MONOD sous-entend ici, entre autre, le sens de l'histoire), mais dans l'abandon total de cette idéologie."
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C'est la grâce que je souhaite à ceux de mes compatriotes qu'aveugle une pensée qui nous a fait tant de mal.
1 commentaire:
Pour un socialiste (Français en particulier) distribuer la caisse de la communauté nationale est un acte noble par excellence, tandis qu'à l'inverse, la créer est un acte vil et vulgaire et ceux qui s'y consacrent sont nécessairement des gens aux intentions douteuses. Et quand cette richesse a disparue et que sa création devient plus que difficile, alors reste l'ultime jouissance de dépouiller «les riches » dans une transe fanatique de domination révolutionnaire pour faire des pauvres une image pieuse
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