Ah vraiment, je ne cesserai de vous le redire :
Ce n'est pas l'ignorance qui empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté !
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1. La citation du jour.
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La citation du jour est encore tirée de ce livre dont je recommande ABSOLUMENT la lecture, tant il est visible que monsieur HOLLANDE n'est que le clone triste de feu monsieur MITTERRAND. Je vous en rappelle le titre. Je pense que vous pourrez le trouver d'occasion sur Internet (Galaxidion ou Abebooks). Je vous en rappelle le titre :
Philippe GUILHAUME. Lettre ouverte à tous les Français qui ne veulent plus être pris que pour des cons. Collection "Lettre ouverte". Albin Michel, Paris, 1992.
J'ai simplement remplacé MITTERRAND par HOLLANDE. Il n'y a guère de différences !
"Je ne parlerai pas de HOLLANDE car il faudrait raconter l'affaiblissement régulier des positions françaises dans le monde depuis dix ans. Il faudrait dire que HOLLANDE, désespéré de n'être ni JAURES ni BLUM qui tous deux avaient des convictions, résigné à l'être ni CLEMENCEAU ni De GAULLE qui tous deux savaient ne pas confondre grandeur et boursouflure, ambitionna d'être Louis XIV. Faute de convoquer les puissances à la paix de NIMEGUE, il sollicite avec une humiliante maladresse d'être associé à une éventuelle conférence de la paix au Proche-Orient.
[...].
Je ne parlerai pas de HOLLANDE qui nous gruge tous, qui croit récupérer les écologistes par quelques bonnes paroles et deux promenades dans la verdure, s'attirer les faveurs des beurs en encourageant trois concerts et en autorisant le détournement des fonds prévus pour les harkis [ce point s'adressait à monsieur MITTERRAND ; je le maintiens car on risquerait de ne pas comprendre la suite], s'affirmer comme détenteur de la morale en convainquant la majorité des Français de racisme ; [...]. Non je ne parlerai pas de monsieur HOLLANDE parce qu'il faudrait évoquer l'augmentation des impôts et du chômage, l'effacement des idéaux et le triomphe des bureaux."
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2. Commentaires.
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Cette charge terrible adressée à monsieur MITTERRAND n'a pas pris une ride et, en remplaçant le nom du défunt "Président", par celui de monsieur 18 %, je ne pense pas qu'il soit nécessaire de changer une virgule à ce que dit Philippe GUILHAUME.
Monsieur HOLLANDE est le digne fils, en moins doué, de feu monsieur MITTERRAND. Figurez-vous, en effet, qu'il a trouvé le temps de se rendre à un concours d'improvisation théâtrale, le 19 mai, au Théâtre La Comédia (PARIS, XIXème), en présence de Jamel DEBBOUZE, un grand "admirateur" de la France à qui il doit tout ou presque, mais qu'il ne cesse de dénigrer par ses critiques et ses allusions. Je me demande si monsieur HOLLANDE y a été comme candidat ou comme président !
Il est évident qu'il n'a que ça à faire : piper, ou tenter de piper les voix de tout une peuple qui l'a déserté, celui des musulmans de France. Le chômage flambe, la France perd en compétitivité (et même PARIS vient d'être sorti des 5 premières villes les plus attractives du monde, sans que madame HIDALGO ait montré la moindre inquiétude devant ce déclassement), la corruption morale et matérielle ronge le corps politique (de monsieur CAHUZAC à monsieur MORELLE en passant par l'affaire BYGMALION), le travbail au noir monte en flèche, en raison des imbéciles mesures de restriction imposée au travail à domicile, rien n'y fait. Il faut aller au concours d'improvisation théâtrale. Si ce n'est pas en candidat, serait-ce alors pour s'inspirer des prestations des compétiteurs ?
Décidément, il y a quelque chose de pourri au royaume de France.
Sauf que j'ai assisté hier à un événement que les médias passeront sans doute sous silence, celui du discours exceptionnel de monsieur Jean-Luc MELANCHON, hier soir à TOULOUSE. Il était retransmis intégralement sur BFMTV. Mes amis, quel orateur ! Quel brillant orateur ! Je regrette d'avoir dit trop de mal de lui, car si je ne partage pas forcément les solutions qu'il préconise pour sortir une Europe ectoplasmique de l'ornière dans laquelle la Commission européenne et la bureaucratie bruxelloise l'a plongée, je partage entièrement ses analyses sur le productivisme à tout crin, sur les mauvais traitements que la finance inspirée par le Conseil des gouvernements a infligés à la Grèce, au Portugal, à l'Espagne ou à l'Irlande. Monsieur MELANCHON a trouvé les cris du coeur, et il a très habilement joué sur les deux registres chers aux Français : la vocation universelle de son approche du politique et sa spécificité en tant que patrie. Vraiment, je le redis, monsieur MELANCHON est un orateur de la classe des JAURES ou des BARRES (chacun dans leur registre), et je serais à gauche, je voterai pour lui sans aucune hésitation. N'étant pas davantage à droite (mais je sais bien que mes lecteurs risquent de supposer le contraire), je n'apporterai pas mon suffrage à des partis qui se réclament de cette direction sinsitrée (sans jeu de mot, cette fois-ci). Il est temps de dire stop à cette géographie idéologique : si les analyses de monsieur MELANCHON sont justes, il faut les prendre en considération et voir comment il est possible de remédier à une situation catastrophique pour la santé du monde, en appliquant effectivement des principes de solidarité et de tempérance.
Enfin, j'ajoute que monsieur MELANCHON est doté d'un humour ravageur : la comparaison des propos de monsieur Martin SCHULTZ et de monsieur Jean-Claude JUNKER m'a fait hurler de rire. Deux jocrisses qui ne distinguent l'un de l'autre que par l'écurie à laquelle ils se réfèrent !
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3. Menues informations.
Via le salon beige, sauf indications contraires.
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Monsieur HOLLANDE est le digne fils, en moins doué, de feu monsieur MITTERRAND. Figurez-vous, en effet, qu'il a trouvé le temps de se rendre à un concours d'improvisation théâtrale, le 19 mai, au Théâtre La Comédia (PARIS, XIXème), en présence de Jamel DEBBOUZE, un grand "admirateur" de la France à qui il doit tout ou presque, mais qu'il ne cesse de dénigrer par ses critiques et ses allusions. Je me demande si monsieur HOLLANDE y a été comme candidat ou comme président !
Il est évident qu'il n'a que ça à faire : piper, ou tenter de piper les voix de tout une peuple qui l'a déserté, celui des musulmans de France. Le chômage flambe, la France perd en compétitivité (et même PARIS vient d'être sorti des 5 premières villes les plus attractives du monde, sans que madame HIDALGO ait montré la moindre inquiétude devant ce déclassement), la corruption morale et matérielle ronge le corps politique (de monsieur CAHUZAC à monsieur MORELLE en passant par l'affaire BYGMALION), le travbail au noir monte en flèche, en raison des imbéciles mesures de restriction imposée au travail à domicile, rien n'y fait. Il faut aller au concours d'improvisation théâtrale. Si ce n'est pas en candidat, serait-ce alors pour s'inspirer des prestations des compétiteurs ?
Décidément, il y a quelque chose de pourri au royaume de France.
Sauf que j'ai assisté hier à un événement que les médias passeront sans doute sous silence, celui du discours exceptionnel de monsieur Jean-Luc MELANCHON, hier soir à TOULOUSE. Il était retransmis intégralement sur BFMTV. Mes amis, quel orateur ! Quel brillant orateur ! Je regrette d'avoir dit trop de mal de lui, car si je ne partage pas forcément les solutions qu'il préconise pour sortir une Europe ectoplasmique de l'ornière dans laquelle la Commission européenne et la bureaucratie bruxelloise l'a plongée, je partage entièrement ses analyses sur le productivisme à tout crin, sur les mauvais traitements que la finance inspirée par le Conseil des gouvernements a infligés à la Grèce, au Portugal, à l'Espagne ou à l'Irlande. Monsieur MELANCHON a trouvé les cris du coeur, et il a très habilement joué sur les deux registres chers aux Français : la vocation universelle de son approche du politique et sa spécificité en tant que patrie. Vraiment, je le redis, monsieur MELANCHON est un orateur de la classe des JAURES ou des BARRES (chacun dans leur registre), et je serais à gauche, je voterai pour lui sans aucune hésitation. N'étant pas davantage à droite (mais je sais bien que mes lecteurs risquent de supposer le contraire), je n'apporterai pas mon suffrage à des partis qui se réclament de cette direction sinsitrée (sans jeu de mot, cette fois-ci). Il est temps de dire stop à cette géographie idéologique : si les analyses de monsieur MELANCHON sont justes, il faut les prendre en considération et voir comment il est possible de remédier à une situation catastrophique pour la santé du monde, en appliquant effectivement des principes de solidarité et de tempérance.
Enfin, j'ajoute que monsieur MELANCHON est doté d'un humour ravageur : la comparaison des propos de monsieur Martin SCHULTZ et de monsieur Jean-Claude JUNKER m'a fait hurler de rire. Deux jocrisses qui ne distinguent l'un de l'autre que par l'écurie à laquelle ils se réfèrent !
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3. Menues informations.
Via le salon beige, sauf indications contraires.
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25 mai : accueil de Najat Belkacem à Marcy-L’Etoile (69).
Dimanche 25 mai à 10h00, le ministre Najat Belkacem sera au départ de la course féminine « Courir pour ELLES » (Domaine de Lacroix-Laval, entrée Belle Etoile, route de Saint-Bel – 69280 Marcy-L’Etoile).
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22 mai : manifestation contre le gender à Rennes.
La Manif Pour Tous 35 organise une manifestation pour demander le retrait de l'ABCD de l'égalité devant le rectorat (96 rue d'antrain) de Rennes jeudi 22 mai à 12h15
1 commentaire:
«Le monde est dangereux à vivre non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire.»
Albert Einstein
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