mardi 17 juin 2014

17 juin 2014. Nouvelles de la Résistance : Ils ont du pain sur la planche !

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Eh ! Eh ! Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté. 

Ne baissons pas les bras. Continuons de lutter contre ces chimères que l'on tente de faire rentrer dans la réalité par le moyen de la violence d'Etat. 
Mon commentaire sera court. Je pars pour trois jours et rentre jeudi soir.
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1. La citation du jour.
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De Vaclav HAVEL :

"La vraie politique, la seule digne de ce nom, et d'ailleurs la seule que je consens à pratiquer, est la politique du prochain. Au service de la communauté. Au service des générations futures."
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2. Commentaires.
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Pour l'instant, monsieur HOLLANDE ne fait pas la politique du prochain. Il fait la politique des copains. Il ne fait pas la politique de la communauté, mais la politique des communautés : sociétés de pensée, LGBT, amis socialistes (on l'a vu dans la proposition de découpage des régions avec le maintien de la Région Pays de Loire qui est une aberration géographique et historique, ou la fusion au profit de Ségolène ROYAL du Poitou, du Limousin et de la Région Centre). Rien n'intéresse ces gens que le foot-ball (ah ! la soirée d'hier à l'Elysée ! merci pour les Français qui ne peuvent se déplacer à cause de la grève de la SNCF, merci pour les chômeurs en fin de droit, merci pour les sans-logis ; le Président de la République soi-même commente le match France-Honduras ! On croit rêver, même si, il faut en convenir, on aimerait bien que notre équipe gagne. Mais est-ce bien du niveau d'un chef d'Etat que d'animer une telle soirée ? Sans doute faut-il y voir un peu de démagogie, l'expression d'un esprit matois, et une tentative désespérée de se rapprocher d'un peuple qui le rejette. Pitoyable initiative ! François HOLLANDE a du pain sur la planche s'il veut réconcilier les Français avec sa personne et sa politique.
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3. Informations diverses.
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Des Sentinelles/Veilleurs debout  en Italie (via le salon beige).

A VERONE, pour la famille et la liberté.

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Le CESE pourrait être amené à rendre un avis sur la loi Taubira

Lors de l’audience tenue ce matin, le rapporteur public a demandé au Tribunal Administratif d’enjoindre aux autorités compétentes du CESE de déclarer recevable la pétition déposée le 15 février 2013 par 700.000 signataires : un signal positif pour la démocratie qui permet enfin aux Français de faire entendre leur voix. Le rendu du délibéré est attendu d’ici 15 jours.
Les frères vont sans doute grincer des dents, et l'imbécile bernanosien majuscule qu'est monsieur DELEVOYE aura du mal à refuser cet examen. Mais gageons qu'il s'arrangera pour dire que tout va bien avec cette loi d'iniquité. 






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