Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai,
c'est la lâcheté.
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1. La citation du jour.
1. La citation du jour.
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Extrait du discours prononcé le 23 juillet 1789, par un maçon à la Loge de la Parfaite Union de RENNES :
""[…]. Mes très chers frères, le triomphe de la liberté et du patriotisme est le triomphe le plus complet du véritable maçon. C’est de vos temples et de ceux élevés à la véritable philosophie que sont parties les premières étincelles du feu sacré qui, s’étendant rapidement de l’Orient à l’Occident, du midi au septentrion de la France a embrasé les cœurs de tous les citoyens.
""[…]. Mes très chers frères, le triomphe de la liberté et du patriotisme est le triomphe le plus complet du véritable maçon. C’est de vos temples et de ceux élevés à la véritable philosophie que sont parties les premières étincelles du feu sacré qui, s’étendant rapidement de l’Orient à l’Occident, du midi au septentrion de la France a embrasé les cœurs de tous les citoyens.
"La
magique révolution qui, sous nos yeux, s’opère en si peu de jours, doit être
célébrée par les disciples du véritable Maître avec un saint enthousiasme dont
les profanes ne peuvent partager les douceurs. Les cantiques que les vrais
enfants de la Veuve chantent maintenant sur la montagne sacrée, à l’ombre de
l’acacia, retentissent au fond de nos cœurs, et les mains levés vers le grand
architecte de l’univers, nous devons tous conjurer notre Maître de porter à
l’autel de tout bien l’hommage de notre vive gratitude. [...]"
(Cité par Augustin COCHIN dans son livre Les Sociétés de pensée et la démocratie moderne. Etudes d'histoire révolutionnaire.)
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2. Commentaires.
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On connaît la suite !
En vérité rien n'a changé dans la détermination des francs-maçons depuis la création du Grand-Orient dans les années 1770. Il s'agit bien, comme le disait le pseudo-agrégé, mais vrai imbécile bernanosien, monsieur PEILLON, d'introduire dans notre pays une nouvelle religion : celle de la maçonnerie.
Il semble qu'ils soient sur le point d'aboutir.
Tout occupés que nous sommes à regarder les matchs de foot-ball de la coupe du monde, nous n'avons pas vu s'écrouler la dernière muraille qui protégeait nos personnes et nos vies contre l'intrusion de l'Etat. Il s'est en effet trouvé des magistrats pour déclarer qu'il était possible de tuer Vincent LAMBERT (en dépit des observations du Pr Xavier DUCROCQ qui l'a examiné et confirme qu'il exprime ses sentiments et n'est pas en fin de vie), et que monsieur Nicolas BONNEMAISON qui a tué 7 patients ne méritait pas d'être condamné. Bonne maison, mauvais hôpital ! Je ne confierais pas ma peau à un médecin qui agit de cette manière.
Il semble que nos contemporains se moquent complètement de ces empiétements insupportables de la puissance publique dans nos vies, aussi bien intimes que familiales ou physiques. Mais de quoi est-ce que je me mêle ? Certes, comme bien des témoins sidérés par ces décisions, j'ignore tout à fait les raisons qui ont poussé les juges de PAU à acquitter monsieur BONNEMAISON (je ne parviens pas à l'appeler Docteur !). J'ai entendu à la télévision une proche de l'une de ses victimes se réjouir du verdict. Mais je doute que les 7 victimes des agissements de l'acquitté ait souhaité mourir. Je redis ici que nul ne sait exactement ce qui se passe dans le psychisme et l'âme d'un être humain qui ne peut plus communiquer. Et que le fameux principe de précaution dont on nous rabat les oreilles devrait s'appliquer à tous ces cas.
Bien entendu, je sais, comme d'autres, qu'il y a des douleurs insupportables. Et je sais bien aussi que la seule douleur tolérable à nos yeux est la douleur des autres. Mais il existe des moyens d'apaiser les souffrances à défaut de pouvoir tout à fait les supprimer, même si ces moyens contribuent à écourter la vie (je pense aux morphiniques qui dépriment la respiration, par exemple). Et il est tout à fait nécessaire de poursuivre les recherches portant sur l'antalgie et l'analgésie.
On connaît la suite !
En vérité rien n'a changé dans la détermination des francs-maçons depuis la création du Grand-Orient dans les années 1770. Il s'agit bien, comme le disait le pseudo-agrégé, mais vrai imbécile bernanosien, monsieur PEILLON, d'introduire dans notre pays une nouvelle religion : celle de la maçonnerie.
Il semble qu'ils soient sur le point d'aboutir.
Tout occupés que nous sommes à regarder les matchs de foot-ball de la coupe du monde, nous n'avons pas vu s'écrouler la dernière muraille qui protégeait nos personnes et nos vies contre l'intrusion de l'Etat. Il s'est en effet trouvé des magistrats pour déclarer qu'il était possible de tuer Vincent LAMBERT (en dépit des observations du Pr Xavier DUCROCQ qui l'a examiné et confirme qu'il exprime ses sentiments et n'est pas en fin de vie), et que monsieur Nicolas BONNEMAISON qui a tué 7 patients ne méritait pas d'être condamné. Bonne maison, mauvais hôpital ! Je ne confierais pas ma peau à un médecin qui agit de cette manière.
Il semble que nos contemporains se moquent complètement de ces empiétements insupportables de la puissance publique dans nos vies, aussi bien intimes que familiales ou physiques. Mais de quoi est-ce que je me mêle ? Certes, comme bien des témoins sidérés par ces décisions, j'ignore tout à fait les raisons qui ont poussé les juges de PAU à acquitter monsieur BONNEMAISON (je ne parviens pas à l'appeler Docteur !). J'ai entendu à la télévision une proche de l'une de ses victimes se réjouir du verdict. Mais je doute que les 7 victimes des agissements de l'acquitté ait souhaité mourir. Je redis ici que nul ne sait exactement ce qui se passe dans le psychisme et l'âme d'un être humain qui ne peut plus communiquer. Et que le fameux principe de précaution dont on nous rabat les oreilles devrait s'appliquer à tous ces cas.
Bien entendu, je sais, comme d'autres, qu'il y a des douleurs insupportables. Et je sais bien aussi que la seule douleur tolérable à nos yeux est la douleur des autres. Mais il existe des moyens d'apaiser les souffrances à défaut de pouvoir tout à fait les supprimer, même si ces moyens contribuent à écourter la vie (je pense aux morphiniques qui dépriment la respiration, par exemple). Et il est tout à fait nécessaire de poursuivre les recherches portant sur l'antalgie et l'analgésie.
En vérité, avec ces décisions, nous observons l'ultime effet du relativisme, introduit au XVIIIe siècle par les "philosophes", et nous allons bientôt voir les dernières conséquences de ce choix. "Tu ne tueras pas" n'est plus un commandement qui s'impose à toute conscience humaine. Il est laissé à l'appréciation des juges. Et les consciences n'ont plus rien à y voir. "Tu pourras tuer si les juges donnent leur accord !", tel est le nouveau commandement.
Personnellement, je me sens délié de toute obligation d'obéissance à un tel régime. Je le combattrai avec tous les moyens qu'il veut bien encore me laisser : celui de la diffusion de mes opinions, que je m'efforcerai d'argumenter.
Il est plus que jamais nécessaire de fédérer les oppositions à ces folies. Je ne vois guère de personnes d'envergure capable de prendre la tête d'un tel mouvement, et de plus, les forces sociales (médiatiques, financières, juridiques, universitaires) sont infiltrées par les "frères", de sorte qu'il ne nous reste pas beaucoup de marges pour agir. Ce n'est pas une raison pour baisser les bras. La sainteté dans l'accomplissement des petites choses, la charité fraternelle, la prière pour que les "frères" en question se convertissent, la compassion, bref toutes les vertus que JESUS demande à ses disciples de pratiquer, voilà les armes avec lesquelles nous pouvons et nous devons lutter.
Personnellement, je me sens délié de toute obligation d'obéissance à un tel régime. Je le combattrai avec tous les moyens qu'il veut bien encore me laisser : celui de la diffusion de mes opinions, que je m'efforcerai d'argumenter.
Il est plus que jamais nécessaire de fédérer les oppositions à ces folies. Je ne vois guère de personnes d'envergure capable de prendre la tête d'un tel mouvement, et de plus, les forces sociales (médiatiques, financières, juridiques, universitaires) sont infiltrées par les "frères", de sorte qu'il ne nous reste pas beaucoup de marges pour agir. Ce n'est pas une raison pour baisser les bras. La sainteté dans l'accomplissement des petites choses, la charité fraternelle, la prière pour que les "frères" en question se convertissent, la compassion, bref toutes les vertus que JESUS demande à ses disciples de pratiquer, voilà les armes avec lesquelles nous pouvons et nous devons lutter.
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3. Informations diverses.
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Une vidéo sur l'action d'Alliance Vita.
http://www.youtube.com/watch?v=afqXOnHAero
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Sentinelles/Veilleurs debout à LYON (via le Salon beige).
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Sentinelles/Veilleurs debout à LYON (via le Salon beige).
1 commentaire:
la force des mauvais tient avant tout de la faiblesse des bons et que, avec la grâce de Dieu, les catholiques ont l'impérieux devoir de lutter encore et encore.
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