jeudi 25 septembre 2014

25 septembre 2014. Nouvelles de la Résistance. Que la théorie du genre est une absurdité.

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Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté.

Je commenterai demain la tragique exécution de notre compatriote par les "djihadistes" algériens. Avant tout, j'ai une pensée pour ses proches et ses amis. Il me semble que la devise qui figure en tête de mes billets depuis des mois n'a jamais été plus pertinente qu'en ces jours sombres. La lâcheté commence, aujourd'hui avec le refus volontaires nos dirigeants à voir en face la réalité d'une certaine forme d'islam et de ses prolongements dans les populations musulmanes immigrées.

Ce billet est long. Ayez, je vous en prie la patience de le lire dans son entier.
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1. Les citations du jour.
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(a) De Maurice BARRES (Mes cahiers, dixième numéro) :

"En passant par ces âmes que ne charge aucune mémoire, les images de l’univers reprennent une jeunesse et une innocence divines. Si la sérénité dans l’action caractérise les dieux, c’est la sérénité dans l’agitation qui caractérise les enfants. Ils se passionnent tout en gardant la fraîcheur et l’ingénuité. Ces petits innocents ont toujours l’accent juste ; leur voix, leurs gestes, tout leur corps si frêle se meut en cadence. Il s’agit de nourrir cette dispositions naturelle, de l’employer sans la déformer, de substituer peu à peu au penchant instinctif un dessein déterminé, de faire entrer ce penchant dans la symphonie sociale. […]. Quel malheur quelle perte irrémédiable si un enfant qui grandit sort de sa vérité propre, s’il échange son chant naturel, contre un chant appris, s’il devient un être artificiel, un homme ne songe ! […]."

(b) De Pierre RABHI.
Vers la sobriété heureuse. ("Babel" N°1171.)

Actes Sud, Arles, 2010.

"Que le mythe de l’homme démiurge soit un concept masculin – que la civilisation technologique exalte particulièrement – est confirmé par l’absence d’implication du féminin dans cette civilisation-là. Jusqu’à preuve du contraire – exception faite de Marie CURIE –, aucun des domaines d’innovation sur lequel se fonde le paradigme de la modernité technico-scientifique n’a été historiquement marqué par l’apport du féminin. Pas le moindre piston, carburateur, émetteur d’ondes électromagnétiques, etc. qui soit issu du féminin. Cette réalité, loin d’être anodine, met en évidence les caractéristiques d’un masculin voué au culte outrancier de la puissance, qui nous vaut un monde aussi violent, et que le féminin protecteur de la vie aurait sûrement modéré." 

"Nous n’avons également jamais cessé d’attirer l’attention sur le drame que représente la subordination universelle du féminin au travers des femmes. La logique nouvelle ne peut se borner à une attitude qui confine au fatalisme face à ce problème, qui est à l’origine du déséquilibre de notre histoire. Il est urgent de prendre en compte la nécessité absolue d’un rééquilibrage masculin/féminin, et ce, dès la phase d’éducation des enfants. Il ne s’agit  pas selon nous de la sacrosainte parité, mais du rapprochement et de l’harmonisation dynamique des valeurs et des sensibilités, des talents dont la complémentarité peut sauver le monde." 

"Le changement de logique ne peut se réaliser sans que l’on revoie de fond en comble l’éducation des enfants. Celle qui prévaut aujourd’hui est déterminée et inspirée par les priorités de l’idéologie marchande et financière, et l’abandon passif à une caste enseignante. On sait de plus en plus l’extrême importance que revêtent la conception, la gestation et la façon de mettre au monde un enfant. Trêve d’hypocrisie : ce que tout le monde appelle “éducation” est une machine à fabriquer des soldats de la pseudo-économie, et non de futurs êtres humains accomplis, capables de penser, de critiquer, de créer, de maîtriser et de gérer leurs émotions ainsi que de ce que nous appelons spiritualité ; “éduquer” peut alors se résumer à déformer pour formater et rendre conforme. Le malaise grandissant de toute une jeunesse condamnée au naufrage dès lors que le système ne peut l’intégrer ou la prendre en charge témoigne de cette aliénation. L’équation qui a prévalu, en particulier lors des Trente Glorieuses, selon laquelle faire de bonnes études donnait une qualification garante d’un salaire ne fonctionne plus dans la société de croissance illimitée. Alors, pourquoi s’obstiner dans cette option déjà obsolète ?"
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2. Commentaires.
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Voilà pourquoi nous devons nous opposer aux initiatives de la belle et carnassière Najat, et combattre avec la plus extrême énergie la prétendue inexistante théorie du genre. Il y a une spécificité comportementale du masculin ; il y a une spécificité comportementale du féminin. Et s'il est parfaitement exact qu'une femme peut remplir les mêmes fonctions qu'un homme, il est non moins exact qu'elle ne la remplira pas de la même manière.
En deuxième lieu, il est parfaitement vrai que les femmes ont été dominées honteusement et pendant trop longtemps par les hommes. Mais qui ne voit que le féminisme est née à l'initiative des femmes, au nom même de leur sexe biologique ? Voilà qui suffit à ruiner la prétendue inexistante théorie du genre.
En troisième et dernier lieu, qui ne voit que l'enfant n'appartient pas à l'état, que son éducation nécessite un délicat dosage entre l'intervention essentielle, structurante et donc déterminante des parents et les apprentissages fondamentaux, dont les apprentissages sociaux, par l'école, le collège, le lycée et la faculté ?
L'acharnement avec lequel on s'obstine à vouloir modifier l'enseignement des petits de l'école primaire est la preuve que l'état socialiste (et avant lui, l'état soi-disant républicain) veut formater l'enfant dans le sens de ses intérêts et des intérêts d'une civilisation aliénante, au seul service de l'économie. 

Je trouve très intéressante la convergence des opinions d'un Maurice BARRES, et d'un Pierre RABHI sur l'éducation. Pierre, d'origine algérienne, est un esprit d'une profondeur remarquable, témoignant par sa vie qu'il est possible d'échapper à notre civilisation mortelle, immorale, purement économique, en vivant dans la nature, dans la modération et dans la promotion de la relation à l'autre. Il est l'antithèse absolue de Najat VALLAUD-BELKACEM. Et ceci prouve que le racisme est d'une rare bêtise, puisque notre ministre a des origines marocaines, ce qui ne l'empêche pas d'épouser les thèses les plus imbéciles de la modernité occidentale.
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3. Informations diverses.
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De Christian LAMBERT l'extrait d'un article publié sur le site des Nouvelles de France.

Après avoir cité des extraits significatifs de madame Valérie TRIERWEILER, monsieur LAMBERT termine ainsi :

"[...]
Je terminerai cette anthologie par des extraits d’une socialiste militante passée dans un cabinet ministériel qui publie « La bêtise de la gauche » (Plon) : « À gauche, nous sommes nuls ! Ils sont nuls. Il n’y a qu’à regarder le bilan pour s’en rendre compte. Presque deux ans avec tous les pouvoirs, exécutif et législatif, sans parler de la mainmise sur les collectivités territoriales. Et pour quoi ? Le chômage qui explose, les impôts qu’on a augmentés jusqu’à plus soif, la paupérisation galopante, les investissements étrangers qui foutent le camp et les jeunes diplômés qui emboîtent le pas. Et, en prime, un pays divisé, déchiré par de prétendues réformes de société de première urgence. Tu parles, résultat, la moitié de la France contre l’autre, pire encore que sous Sarko… À gauche, ils ont réussi à faire croire qu’ils avaient le monopole de l’intelligence, de la générosité. Tu parles ! Les plus malins sont carriéristes et ne croient en rien. Ils ont choisi la gauche, comme Mitterrand, parce que la droite était trop encombrée… François Hol­lande, pas génial, pas efficace, pas compétent, pas visionnaire, pas courageux, pas désintéressé, pas passionné, pas inspiré, pas responsable. Non, normal. »
Voilà ce que chaque Français peut constater. Comme nullité, François Hollande s’est distingué. Mais un malheur s’ajoutant aux autres, il n’est pas seul de son espèce au PS. On a aussi Strauss-Kahn, ex futur Président au comportement scandaleux, poursuivi pour proxénétisme aggravé, Cahuzac, ministre fraudeur chargé de débusquer et de punir les fraudeurs non socialistes, et son émule l’ex ministre éphémère, mais toujours député, le citoyen Thévenoud : « Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais. »
C’est cela, la république exemplaire promise par Hollande ! Bref, il serait largement temps de faire œuvre de salubrité publique et de se débarrasser de ces gens-là."
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Une piqûre de rappel par le général de GAULLE.







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