vendredi 11 septembre 2015

11 septembre 2015. Nouvelles de la Résistance. Un nouvel imbécile à l'Obs : Bruno Roger Petit ! Troisième billet de ce jour

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Les bras m'en tombent quand je prends connaissance des propos que je vous relate ci-dessous !

Pour une fois, on peut dire que l'ignorance est la mère de l'imbécillité !
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1. La citation du jour.
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 "On est sur des crispations identitaires débiles, on entend sans arrêt parler des racines chrétiennes de la France comme si c'était un monde de vertu et de bonheur, alors que tout le monde a oublié que les catholiques ont massacré tout le monde dans ce pays pendant 700 ans et que justement la philosophie des lumières et la révolution nous ont débarrassés de cela, parachevé par la loi de 1905, c'est une réalité".
Déclaration de monsieur Bruno Roger PETIT à 9 h 25, ce matin sur les ondes de Radio-Classique, (la bien nommée, car pour être classiques, ses opinions le sont !) :
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2. Commentaires.
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Monsieur Bruno Roger PETIT n’est pas digne d’être mis au rang des prétendants au trône des imbéciles bernanosiens. C’est un imbécile tout court. Il est journaliste à l'Obs. C'est tout dire. Spécialiste incontesté du foot-ball dont il commente la vie sur son Blog, il aurait mieux fait d’en rester là, à moins qu’il n’aime jouer avec les têtes de ceux dont il chante la disparition. On joue avec les ballons qu’on peut. Je suppose qu’il voulait parler de l’accueil des migrants en parlant de crispations identitaires et des légitimes questions que se posent les Français à ce sujet.
Parmi les dizaines et les centaines de récits que je puis consulter dans ma bibliothèque ou dans des livres téléchargés, je trouve celui-ci :

Exécution de l’abbé RAGUENES, l’un de ceux dont la Révolution nous a heureusement débarrassé, si je suis bien la pensée de l’incultissime Bruno Roger PETIT.
In
Histoire de la persécution religieuse dans les diocèses de: Quimper et de Léon de 1790 à 1801
Par M. l'abbé Joseph-Marie TÉPHANY.
Typographie de Kérangal, Imprimeur de l’évéché, Quimper, 1879.

"Arrivé sur l'échafaud, il se met à genoux, fait une courte prière, se lève avec courage, se dépouille lui-même de sa veste et se place sous la guillotine. Le couteau tombe et lui coupe à peu près la moitié du cou. M. Raguenès parle encore. Le bourreau relève le couteau et le laisse tomber une deuxième fois. La tête n'était pas tout-à-fait détachée. Un général républicain, le plus grand scélérat peut-être qui ait paru dans le Finistère, était présent avec sa troupe. II tranche complètement la tête d'un coup de sabre et dit : « C'est dommage que  ce soit là un fanatique : il n'y a pas de républicain qui meurt avec autant de courage. » Le corps de M. Raguenès fut enterré dans le cimetière de Loc-Maria, à Quimper."

Pour être clair, je vais dire ceci. Oui, au nom de la religion, mais non pas de l’Evangile, on a tué. Il serait malhonnête de ne pas le reconnaître. Mais au moment même où JESUS était de nouveau crucifié par ces exactions honteuses, il se levait dans l’Eglise des témoins (en grec : marturos) pour dénoncer ces horreurs. François d’Assise, en Egypte, a été soigner les blessés des troupes arabes défaites par les armées croisées ; Vincent de Paul a bravé le Cardinal de Richelieu avant d’accepter la fonction d’aumônier général des galères, il a passé sa vie à s’occuper des pauvres et des enfants abandonnés, les jésuites du PARAGUAY en créant les Réductions ont sauvé les indiens du pays de la disparition, Bartholome de Las CASES a défendu avec succès les droits des Amérindiens devant SEPULVEDA qui prétendait leur dénier la possession d’une âme, Ce n’est pas BARBUSSE ou MARX qui ont créé les Conférences de Saint-Vincent de Paul, mais Frédéric OZANAM. Monsieur CAMBADELIS ne s’est pas occupé des chiffonniers du CAIRE, c’est sœur Emmanuelle, et monsieur Bruno Roger PETIT ne s’est point occupé des pauvres de CALCUTTA ; mère TERESA l’a fait à sa place.

Mais il paraît que depuis 700 ans, les catholiques massacrent tout le monde sans pitié. Quelle imbécillité ! Et comment L’obs peut-il s’enorgueillir d’avoir un tel collaborateur ? Je vous le demande.
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3. Informations diverses.
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J'y vais, bien sûr. Et vous ? Y verrai-je monsieur Bruno Roger PETIT ?



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