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Les bras m'en tombent quand je prends connaissance des propos que je vous relate ci-dessous !
Pour une fois, on peut dire que l'ignorance est la mère de l'imbécillité !
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1. La citation du jour.
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Déclaration de monsieur Bruno Roger PETIT à 9 h 25, ce matin sur les ondes de Radio-Classique, (la bien nommée, car pour être classiques, ses opinions le sont !) :
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2. Commentaires.
Monsieur Bruno Roger PETIT n’est pas digne d’être
mis au rang des prétendants au trône des imbéciles bernanosiens. C’est un
imbécile tout court. Il est journaliste à l'Obs. C'est tout dire. Spécialiste incontesté du foot-ball dont il
commente la vie sur son Blog, il aurait mieux fait d’en rester là, à moins qu’il
n’aime jouer avec les têtes de ceux dont il chante la disparition. On joue avec
les ballons qu’on peut. Je suppose qu’il voulait parler de l’accueil des
migrants en parlant de crispations identitaires et des légitimes questions que se posent
les Français à ce sujet.
Parmi les dizaines et les centaines de récits que
je puis consulter dans ma bibliothèque ou dans des livres téléchargés, je trouve celui-ci :
Exécution de l’abbé RAGUENES, l’un de ceux dont la
Révolution nous a heureusement débarrassé, si je suis bien la pensée de l’incultissime Bruno Roger PETIT.
In
Histoire de la persécution religieuse dans les
diocèses de: Quimper et de Léon de 1790 à 1801
Par M. l'abbé Joseph-Marie TÉPHANY.
Typographie de Kérangal, Imprimeur de l’évéché,
Quimper, 1879.
"Arrivé sur
l'échafaud, il se met à genoux, fait une courte prière, se lève avec courage,
se dépouille lui-même de sa veste et se place sous la guillotine.
Le couteau tombe et lui coupe à peu près la moitié du cou. M. Raguenès parle encore. Le
bourreau relève le couteau et le laisse tomber une deuxième fois. La tête
n'était pas tout-à-fait détachée. Un général républicain, le plus grand
scélérat peut-être qui ait paru dans le Finistère, était présent avec sa
troupe. II tranche complètement la tête d'un coup de sabre et dit : « C'est
dommage que ce soit là un fanatique : il
n'y a pas de républicain qui meurt avec autant de courage. » Le corps de M.
Raguenès fut enterré dans le cimetière de Loc-Maria, à Quimper."
Pour être clair,
je vais dire ceci. Oui, au nom de la religion, mais non pas de l’Evangile, on a
tué. Il serait malhonnête de ne pas le reconnaître. Mais au moment même où
JESUS était de nouveau crucifié par ces exactions honteuses, il se levait dans
l’Eglise des témoins (en grec : marturos) pour dénoncer ces horreurs.
François d’Assise, en Egypte, a été soigner les blessés des troupes arabes
défaites par les armées croisées ; Vincent de Paul a bravé le Cardinal de
Richelieu avant d’accepter la fonction d’aumônier général des galères, il a
passé sa vie à s’occuper des pauvres et des enfants abandonnés, les jésuites du
PARAGUAY en créant les Réductions ont sauvé les indiens du pays de la disparition,
Bartholome de Las CASES a défendu avec succès les droits des Amérindiens devant
SEPULVEDA qui prétendait leur dénier la possession d’une âme, Ce n’est pas
BARBUSSE ou MARX qui ont créé les Conférences de Saint-Vincent de Paul, mais
Frédéric OZANAM. Monsieur CAMBADELIS ne s’est pas occupé des chiffonniers du
CAIRE, c’est sœur Emmanuelle, et monsieur Bruno Roger PETIT ne s’est point
occupé des pauvres de CALCUTTA ; mère TERESA l’a fait à sa place.
Mais il paraît
que depuis 700 ans, les catholiques massacrent tout le monde sans pitié. Quelle imbécillité !
Et comment L’obs peut-il s’enorgueillir
d’avoir un tel collaborateur ? Je vous le demande.
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3. Informations diverses.
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J'y vais, bien sûr. Et vous ? Y verrai-je monsieur Bruno Roger PETIT ?
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