dimanche 13 septembre 2015

13 septembre 2015. Nouvelles de la Résistance : la démocratie à la sauce socialiste.

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Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai !


Ignorance ? Mon oeil !
Déni et manipulation surtout.

Ce sera ma manière de résumer notre devise 
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1. La deuxième citation du jour.
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Ce n'est pas à vrai dire une citation, mais le pillage d'un excellent article de Marc CRAPEZ publié sur le site des Nouvelles de France :

"Le 4 septembre dernier, un article du journal Le Monde, intitulé « Migrants : la guerre des images », renvoyait toute contestation du témoignage du père d’Aylan dans l’enfer de l’extrême-droite complotiste. Le 8, Libération enchaîne avec un article : « Non, les photos d’Aylan n’ont pas été mises en scène ». Le 10 vers midi, l’accusation de complotisme d’extrême-droite est réitérée par un second article duMonde : « Mort d’Aylan : mensonges, manipulation et vérité ». Le stigmate de la manipulation est retourné contre l’adversaire d’extrême-droite, qui contesterait la version officielle « Y compris en usant de procédés malhonnêtes : manipulation des images, contre-vérités sur la famille de l’enfant ».
Au même moment pourtant, plusieurs médias australiens recueillaient le témoignage d’une passagère qui accuse le père d’Aylan d’avoir fait partie des passeurs (Sky NewsThe Daily TelegraphThe Sydney Morning Herald). Ce jeudi 10 à 22h, le Wall Street Journal observe : « Le récit du naufrage du bateau de migrants est contesté ». Le lendemain matin 11 septembre, le Corriere della Sera embraye : « Une femme accuse le père d’Aylan : ‘c’est lui le passeur’ ». Simultanément, Le Journal de Montréal publie un article intitulé : « Abdullah Kurdi est un passeur, accuse une réfugiée ». La chaîne d’info québécoise TVA Nouvelles emboîte le pas : « Le père du petit Aylan est un passeur ».
Le monde anglo-saxon et l’Italie commencent à informer leurs citoyens de l’existence d’une contestation du témoignage du père d’Aylan. D’autres pays suivent. A 15 h, le site d’info belge 7 sur 7 répercute l’accusation : « ‘Le père d’Aylan est un trafiquant: il est responsable de sa mort’ ». A 18h, la version suisse du journal 20 Minutes fait de même : « Le père d’Aylan est un trafiquant ». Pas étonnant si l’on précise qu’un débat organisé à la télévision suisse laissait la parole à pas moins de deux critiques de la version sacro-sainte de la photo d’Aylan (émission « Infrarouge » du 8 septembre).
Dans d’autres pays, en revanche, le pouvoir d’intimidation de la version officielle est tel que la remise en cause est laborieuse. En Allemagne, il faut attendre 21 h, et ce n’est que sur le site conservateur-populiste Politically Incorrect : « Daily Mail : le père d’Aylan Kurdi est le passeur ». En Espagne, il faut attendre minuit pour que El Mundo explique : « Le père d’Aylan est accusé d’être un des trafiquants qui conduisaient le bateau, mais il nie ».
En France, les deux articles du Monde valent avertissement : les journalistes n’osent émettre des doutes qui leur vaudraient de se voir extrême-droitiser. L’omerta est rompue à 17 h par Le Nouvel Obs, dans un article non signé de tonalité sceptique : « Selon une survivante interrogée par la télévision australienne, le père d’Aylan ‘était un passeur, il conduisait le bateau’ ». Quelques jours auparavant, le même journal titrait : « Aylan et sa famille, morts d’avoir voulu fuir la guerre ». Le Figaro suit à 21 h : « Aylan : le récit du père contesté par une survivante du drame ». Puis Atlantico : « Le récit du père d’Aylan contesté par une survivante qui affirme qu’il était ‘un passeur’ ». Le souci de circonspection ne suffit pas à expliquer un manque de courage qui provient de la peur de se voir assimiler à l’extrême-droite. Comme si le seul fait qu’une information soit relayée par l’extrême-droite la rendait suspecte.
Marc Crapez est chercheur en science politique. Vous pouvez visiter sa page Facebook ici.
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2. Commentaires.
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Un bel exemple de manipulation. Nous ne voulons pas que notre souveraineté soit inféodée à des lobbies et des institutions qui ne représentent rien d'autres qu'elles-mêmes et passent leur temps à moudre du vent.
Nous ne voulons pas que l'on nous dicte notre manière de penser. Dans la section des petites informations, vous verrez comment fonctionne la dictature de la pensée de gôôôôche, et vous comprendrez les raisons de la perte d'influence des journaux qui l'encensent. Les milliards de monsieur BERGE ne peuvent rien contre le bon sens du Peuple.
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3. Informations menues et intéressantes.
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Un bel exemple de tolérance que celui des maires de gauche à quelqu'un qui ose ne pas penser comme eux et le dit !


Ceci ne signifie aucunement que j'approuve ni ne désapprouve monsieur SANCHEZ. Simplement, je pense qu'en matière d'accueil des "réfugiés", il apparaît nécessaire de faire preuve de discernement. 
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Réjouissantes nouvelles : la presse de gôôôôche est en train de 
mourir à petit feu ! (Via le Salon beige.)

En pourcentage.
§  Le Monde : -14,47 % (perte d'un lecteur sur 7) ;
§  L'OBS : -17,51% (perte d'un lecteur sur 6) ;
§  Libération : -27,86 % (perte d'un lecteur sur 4).

En nombre de lecteurs perdus par la gauche.
§  L'OBS perd plus de 88 000 lecteurs (on comprend qu'avec une plume et un organe aussi remarquables que celui de Bruno Roger PETIT, les lecteurs fuient à tire d'aile) ;
§  Le Monde plus de 44 000 ; 
§  Libération plus de 33 000 (on comprend qu'avec une plume aussi alerte que celle de madame Bernadette SAUVAGET, les lecteurs prennent la poudre d'escampette) ;

Pour rappel : Le Monde et L'OBS ont le même trio d'actionnaires (dont un certain Pierre Bergé). Et Le Monde est en train d'acheter L'OBS.

Je dois dire que cette nouvelle est des plus réjouissantes. Que les bourreurs de crâne voient leur influence décroître n'est point fait pour me déplaire ! Ils le doivent au profond désamour qu'ils portent à leur patrie, au privilège qu'ils accordent à une mondialisation apatride et financiarisée, et au mépris, voire à la haine, qu'ils portent à ceux qui ne pensent pas comme eux. Si au moins, ils argumentaient au lieu d'anathématiser, on pourrait au moins dialoguer !
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