"De toutes les nations, faites des disciples..."
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Saïd MUSA est afghan. Il est a l'heure actuelle en prison, et il risque la peine de mort. Son crime ? Il était musulman et il a rencontré Jésus. Le site Actu-chretienne.net est l'un des rares médias à parler de Saïd. Il nous apprend que le prisonnier a pu envoyer une lettre à l'ONG Open doors dans laquelle il raconte ceci :
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"Ils m'ont demandé si j'étais réellement chrétien. Je leur ai répondu : 'je suis chrétien à cent pour cent. Je crois au Fils du Dieu Tout Puissant, il est mon Sauveur et mon Seigneur. Je leur ai dit que le seul chemin pour venir à Dieu est d'avoir la foi en Jésus-Christ. Il est le chemin, la vie éternelle, la vérité, l'amour, il est réellement Dieu.
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Il a expliqué pourquoi il a quitté l'islam et pour quelles raisons il a choisi le christianisme : "Pour la vie éternelle, l'amour, l'honnêteté et la sincérité. La fraternité entre frères et entre soeurs, la douceur, l'humilité, et chose la plus importante, le fait d'aimer nos ennemis comme nous-mêmes."
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Saïd s'est dit prêt à mourir. Il le dit très sereinement. "Mon sauveur a donné sa vie pour moi. Je n'ai pas peur des hommes. Ils peuvent seulement tuer mon corps, mais ne peuvent pas blesser mon âme. Je ne trahirai jamais ma foi. Sans Jésus, que signifie la vie dans ce monde ou après cette vie ? Rien !"
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A ceux de mes lecteurs qui confessent le nom de Jésus, il est demandé de prier pour Saïd MUSA, de méditer la profondeur de son sa profession de foi. Il nous encourage à persévérer dans notre condition de disciple.
A ceux de mes lecteurs qui ne partagent pas cette foi, il est demandé d'avoir une pensée pour Saïd MUSA, et, le cas échéant, de réclamer des responsables politiques français qu'ils fassent pression sur les autorités afghanes qui le détiennent, ce à quoi les disciples de Jésus doivent aussi s'appliquer.
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Dans le cadre des quelques derniers billets de ce Blog, je ne puis que rappeler la parole de l'Agneau de l'Apocalypse, de l'Agneau "comme immolé" dit le texte : "C'est fait". La puissance, l'honneur et la gloire lui appartiennent pour l'éternité !
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3 commentaires:
Lu dans le journal le 'midi libre'
Dimanche 20 février 2011
Une chappelle franciscaine vandalisée à Narbonne L'église Saint-Bonaventure, située rue Barbès près de l'avenue Anatole-France à Narbonne (Aude), a été la cible d'un acte de vandalisme dimanche.
Les dégâts sont limités, mais la communauté des frères franciscains a été choquée en découvrant le triste spectacle, dimanche après-midi. 6 kg de poudre blanche déversée par un extincteur ont été répandue partout, et l'harmonium a été renversé et endommagé. Les objets de culte ont été épargnés.
Toute une matinée a été nécessaire pour remettre l'église en état.
Les faits ont dû être commis entre 15h30 et 16h30, le lieu de culte étant ouvert au public de 6h45 (prière communautaire) aux vêpres de 19h15.
Le préjudice doit être précisément évalué aujourd'hui.
Deux poids deux mesures, l’avantage à être Turcs.
L’information a été confirmée par un ponte de la DGFIP (Direction Générale des Finances Publiques) devant un parterre d’agents médusés : il n'est plus question de contrôler les maçons turcs, il y a eu trop de contrôles et ce serait de la stigmatisation.
Les contrôles mais pas pour tous !
Il y a quelques semaines, on a entendu les déboires d’un chef d’entreprise qui a vu l’U.R.S.S.A.F qualifier d’avantages en nature, et donc soumettre aux charges sociales, les crédits sans intérêts qu’il aurait accordé à certains de ses salariés. Quitte à surprendre ou faire hurler, telle qu’est présentée l’affaire, c’est juridiquement imparable. Une entreprise n’est pas une société à caractère philanthropique, elle n’a pas fonction à aider ou rendre service. Si le patron voulait aider ses employés il lui fallait agir soit à titre personnel, soit en remplissant certaines conditions en matière d’avances sur salaires.
Maintenant il y a la loi et son application, c’est une chose de taxer des clubs de football qui avaient mis en place ce système, et la PME du coin. Car de toute évidence le montant des intérêts réintégrés ne devaient pas en l’espèce être faramineux, c’est comme l’ont dit vulgairement du gagne petit. Mais, il faut savoir que les contrôles de l’Urssaf ne portent désormais quasiment que sur ça, les avantages en nature. C’est le même principe que les PV routiers, on prend un peu à beaucoup. Alors, venons en au cœur du sujet à mettre en parallèle avec cette affaire.
Dans le BTP, il est de notoriété publique qu’il existe un réseau d’entreprises gérées par des ressortissants turcs. L’écrasante majorité ayant pour vocation de servir de fausses facturières, de blanchir des commissions douteuses, de camoufler du travail clandestin. Bien entendu elles sont fiscalement et socialement défaillantes quant à leurs obligations et ont des existences éphémères.
Donc, les services fiscaux ont procédé aux contrôles de bon nombre d’entre elles, avec pour conséquence, la plupart du temps, des rappels financiers conséquents. Rappels qui ne sont quasi jamais recouvrés, car les entreprises en question disparaissent ou ont disparu, n’ont pas d’actifs, et leurs dirigeants, souvent de paille, partis dans la nature.
A ce stade, vous allez dire que c’est scandaleux, et vous aurez raison. Certes il existe des procédures pour mettre en cause les dirigeants fictifs ou de fait, mais c’est compliqué, lourd, long et à la fin les rares sanctions pénales sont assorties de sursis.
Devant cet état de fait on aurait pu attendre de l’administration centrale qu’elle suggère au pouvoir politique de modifier les textes pour pouvoir agir plus efficacement contre ce type de fraudeurs.
Et en effet, l’administration a pris des décisions ! Elle a fait savoir aux services chargés du contrôle qu’il serait souhaitable de lever le pied et de cesser de contrôler ces entreprises car la multiplication des contrôles pourrait être assimilée à de la discrimination ou du harcèlement…
Dormez tranquilles amis turcs !
Olga Faufisk
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