vendredi 17 janvier 2014

Nouvelles de la Résistance : deuxième billet du 17 janvier 2014, un "médecin" dérape, on accueille a Orléans, on veille à Nantes

Le Salon beige communique.

Déclaration d'un médecin.


Véronique Fournier, médecin du centre d’éthique à Cochin, ose déclarer dans Libération, contre le jugement protégeant Vincent Lambert :
"Ce pauvre homme n'existe plus en tant que personne, il est gommé."
Si j'ai un conseil à vous donner, ne tombez jamais entre les pattes de ce "médecin" qui, bien entendu, n'a pas examiné le dossier ni le patient. Cette parole devrait être sanctionnée par le Conseil de l'Ordre, ou peut-être par le Conseil d'Etat (!!!! ????) comme une offense à la dignité humaine, après une première intervention auprès d'un Tribunal administratif qui se déclarera incompétent. Mais monsieur STIRN, si prompt à interdire des spectacles supposés troubler l'ordre public, ne verra sans doute aucun mal à ce propos honteux et indigne d'un médecin, et lui aussi se déclarera incompétent. Pourtant, madame FOURNIER est employée par l'APHP et relève de la fonction publique hospitalière ; elle est, selon moi, parfaitement justiciable du Tribunal administratif ; elle a tout simplement dérogé au devoir de réserve. Tout fout le camp, la morale publique et la véritable compassion ; tout ce beau monde ne pense qu'à ses gonades ou à son portefeuille (je n'ose utiliser le mot "bourse" qui serait mal interprété) ou à son petit pouvoir. Exeant tous ! Exeant les élites autoproclamées, les spécialistes qui ne sont spécialisés en rien du tout, sauf en communication et n'ont aucune idée de la douleur des autres, la seule qui leur semble supportable. 
-

Accueil de Bernard Cazeneuve à Orléans vendredi à 16h

Bernard Cazeneuve (Ministre du budget) nous rend visite à Orléans. Nous serons donc présents pour redire: ON NE LÂCHE RIEN!!!!
Vendredi 17 janvier 2014 RV à 16h00 devant la préfecture du Loiret (Rue Pothier).
-
Centième veillée nantaise.

C’est un cas unique dans l’histoire encore récente des Veilleurs en France. Le mouvement des Veilleurs est né dans la dynamique de la contestation de la loi Taubira au moment où la seule réponse du pouvoir face à cette immense mobilisation populaire et pacifique était le mensonge, le mépris, la provocation et la violence. C’est alors que le 16 avril 2013, au moment où à Paris la tentation était grande de céder à la tentation de la violence, un groupe de jeunes gens a lancé cette initiative de se rassembler en plein air dans l’espace public pour chanter, échanger, réfléchir et lire des textes de poésie, de philosophie, de littérature en lien avec les thématiques liées au mouvement un peu dans l’esprit de ce qu’ont fait les Polonais à la suite des premières grandes actions de Solidarnosc dans les années 1980. A Nantes, la première veillée s’est tenue dès le 18 avril 2013 au pied de la croix de Charette, symbole, bien connu des Nantais, de la résistance à l’oppression étatique. Les veillées se sont succédées quotidiennement amenant de plus en plus de monde. Peu à peu des équipes d’animation se sont constituées : les Veilleurs en pyjamas, les bonnets de nuit, les Veilleurs d’Outre-Tombe et bien d’autres. Les veillées se sont souvent déroulées au monument des cinquante Otages, autre symbole intéressant pour ce type d’action qui s’inscrit désormais dans une résistance durable, mais aussi autour de la fontaine près de la statue du général de Gaulle ou sur les marches de la Préfecture. Plusieurs fois, les veilleurs ont été agressés par des militants bruyants et parfois violents qui nous ont appris la réalité concrète d’une activité non-violente et la nécessité de toujours considérer autrui avec bienveillance même quand le dialogue semble rompu voire impossible. La première phase de cette aventure s’est achevée par un grand pique nique le 30 juin 2013 avant la pause estivale. Le 28 août, la marche des veilleurs s’est arrêtée à Nantes pour une belle veillée suivie par plusieurs centaines de personnes et marquant la rentrée pour une deuxième saison. Désormais les veillées sont hebdomadaires et thématiques. La traversée de l’hiver est une réelle difficulté à cause du froid et du mauvais temps mais un bon groupe de fidèles veilleurs continue à venir chanter « l’espérance », « le chant des marais » ou « le chant des partisans », lire ou entendre lire Chateaubriand, Péguy, Orwell et tant d’autres car c’est grâce à la culture que nous pourrons reconstruire le monde comme le veut l’esprit de la devise des Veilleurs empruntée à Dostoïevski : « la beauté sauvera le monde » ".
-
Il a dit la vérite, il va être exécuté : audition du général SOUBELET : vidéo.

http://www.polemia.com/wp-content/themes/polemia_v3/lib/scripts/timthumb/thumb.php?src=http://www.polemia.com/wp-content/uploads/2014/01/gnl_Soubelet_08_01_2014.jpg&w=588&h=226&zc=1&q=100



2 commentaires:

tippel a dit…

Ségolène, Anne, Valérie, Julie: vie privée et vie publique ou l’hypocrisie de haut niveau.

Le général Charles De Gaulle réglait les factures d’eau, d’électricité et de gaz de son appartement privé à l’Elysée avec ses propres deniers. Madame Yvonne De Gaulle faisait les courses pour nourrir sa famille dans les boutiques du quartier avec ses propres deniers. Quand les dépenses de la vie privée sont couvertes par l’argent du ménage, c’est la sphère privée. Ségolène et François ont trois enfants. Puis Anne Hidalgo et François ont un enfant et Ségolène se console avec Jean-Marc zéro (dont la femme avoue aimer son mari devant les journalistes). Puis Ségolène et François ont un 4e enfant Flora, dont les photos seront largement répandues dans les pages de Paris-Match dont le photographe est Valérie. Quand Ségolène et François se séparent en 2007 (élection présidentielle), il est déjà avec Valérie. Avant l’élection présidentielle de 2012, il est avec Julie qui travaille pour Anne Hidalgo à la mairie de Paris. Un poste de vice-présidente pour Ségolène en guise de pension alimentaire. La mairie de Paris pour Anne en compensation. Un bureau à l’Elysée pour Valérie en dédommagement. Un appartement coquet près de l’Elysée pour Anne en prévision. Un scooter pour François. Tout est couvert par l’argent des contribuables et sans leurs avis. Ségolène, Anne, Valérie et Julie se connaissent et fréquentent les mêmes milieux bobo. Une bande d’hypocrites qui a perdu la raison et qui croit que tout leur est dû. Valérie bafouée: une grosse blague, car elle savait. Les plaintes des vierges pour le respect de la vie privée: l’hypocrisie. François n’en veut épouser aucune; il préfère les mariages entre hommes ou entre femmes. Ce type ayant plusieurs vies privées en même temps, de laquelle il exige la protection. Ca suffit !!!!!
d’après Jean-Pierre Marchant

DU BALAI DU BALAI !!!

Philippe POINDRON a dit…

Je dirais même plus : du balai ! du balai ! Fin de règne qui peut traîner, hélas, encore trois ans, si nous ne sommes pas morts d'ici là.