Un "expert" des Nations Unis en matière de racisme, monsieur Doudou DIENE, a eu des paroles définitives sur la création en France d'un ministère de l'immigration et de l'identité nationale : il critique "le traitement idéologique et politique de l'immigration comme un enjeu sécuritaire et comme une menace à l'identité nationale". Que n'a-t-il eu ces fortes paroles quand des milliers de nos compatriotes ont dû fuir la Côte d'Ivoire, où ils habitaient depuis des années, attaqués par des hordes à la solde de monsieur GBAGBO, au motif qu'ils étaient français. Certains y on perdu la vie, la plupart tous leurs biens ; des femmes ont été violées, des hommes molestés. Arrétez-moi si je me trompe. Nous comportons-nous comme ça en France ?
Et que dire des milices arabes qui massacrent les noirs du Sud-Soudan au Darfour ? Monsieur Doudou DIENE n'a pas de vue experte sur le sujet ? Comme c'est curieux. Je ne parle pas des Tibétains, des Kurdes, des Tchetchènes, et de toutes les minorités persécutées en raison de leur origine éthnique, religieuse ou géographique. Monsieur Doudou DIENE ne doit parler que le français, et ne lire que ROUSSEAU, VOLTAIRE et DIDEROT.
Pourquoi le désir d'indépendance, d'attachement à ses racines, d'amour de sa patrie, pourquoi le désir de la voir durer telle qu'en elle-même les siècles l'ont façonnée, serait-il condamnable chez nous, et encouragée ailleurs ?
Je trouve tout à fait normal que l'on exige d'un immigré qu'il parle convenablement la langue de son pays d'accueil. Je trouve normal qu'en arrivant sur notre sol, il fasse la preuve qu'il a un logement et du travail. A moins, qu'entre la poire et le fromage, les éléphants socialistes, qui vont dîner chez Edgar, n'aient décidé d'augmenter (en cas de victoire électorale) les "impôts des plus riches" pour financer le flux des sans papiers, des sans emplois, des pauvres gens perdus dans un monde dont ils ne comprennent ni les codes ni la langue, sans se préoccuper de nos propres chômeurs, de nos jeunes qui galèrent et qui désespèrent, mais qu'ils appellent pourtant à voter pour eux. Je ne sais plus qui disait "La générosité déployée avec l'argent des autres est dépourvue de toute valeur morale".
Ayant dit cela, je ne prétends pas avoir donné de solutions au douloureux problème des pays émergeants. Mais dans un précédent billet, je crois avoir expliqué comment nous pourrions améliorer les termes de l'échange entre les pays riches et les pays pauvres. L'amélioration commence par un changement de nos comportements individuels et collectifs.
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