Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté.
-1. La citation du jour.
-
"Le processus vers le totalitarisme se
développe à travers trois phases que nous sommes dramatiquement en train de
vivre. La première étape est la négation de l’existence d’une loi et d’une
vérité objective, avec comme conséquence l’équivalence du bien et du mal, du
vice et de la vertu. La seconde étape est l’institution de la déviance morale,
ou la transformation du vice privé en vertu publique. La troisième étape est
celle de la censure sociale et de la répression judiciaire du bien."
In Roberto de MATTEI.
La dictature du relativisme. (Collection "Riposte catholique")
Muller édition, Asnières-sur-Seine, 2011.
-
2. Commentaires.
Quand il n'y a plus de loi commune à quoi se référer, une loi qui ne dépend pas du vouloir des hommes, mais de leur adhésion à un certain nombre d'exigences qui découlent de la nature humaine et constitue ce qui est proprement l'humain, alors, c'est la loi de la "majorité" transitoire qui devient la norme, et c'est proprement le totalitarisme qui s'installe au coeur de la Cité. Il faut être aveugle pour ne point voir que ce Gouvernement, jusqu'ici, n'a pas fait ce pour quoi il avait été établi : donner du travail à tous, assurer une instruction convenable à tous les enfants, faire rayonner la langue, la culture et l'histoire de notre pays. Il a divisé profondément le peuple français par des mesures destinées à satisfaire un petit lobby dont le financier est le richissime Pierre BERGE appuyé par toute une nébuleuse de personnalités qu'il ne s'agit pas de juger au plan moral, mais qui cherchent à se justifier ou à se déculpabiliser, comme si la loi avait cette vertu de dire le bien et le mal et les décharger de leur culpabilité.
Il faut bien que ces gens comprennent une chose : la conscience est au-dessus des lois quand celles-ci violent la loi naturelle. La loi naturelle ne consiste pas à tuer les vieux qui sont en fin de vie, ni à faire porter à de pauvres femmes pour le compte d'autrui un enfant, à trafiquer la semence masculine et les ovocytes des femmes, à considérer que l'avortement est un droit (sans qu'il puisse être lié à une notion de détresse), à punir ceux qui s'opposent en conscience à cette pratique.
Ces gens sont les pires que nous n'ayons jamais eu au pouvoir depuis 1792. Ils avancent masqués pour imposer leurs idées à un peuple rebelle et ils exercent sur leurs concitoyens une pression bien plus insupportable que celle qu'ils prêtaient au clergé de l'ancien régime. Ils interviennent dans la conjugalité ou la sexualité, dans la vie ou dans la mort, sans qu'on sache bien en quoi ces interventions vont dans le sens du bien commun.
Ce sont des totalitaires insupportables. Et un jour viendra où monsieur 18 % devra rendre des comptes à la patrie pour avoir si mal remplie la tâche que les électeurs lui avaient confiée.
Il appelle bien ce qui est mal, et il censure ceux qui osent dénoncer cette déviation de la pensée, cette subversion du langage et cette négation de la réalité. Exeant ! Exeant ! Du balai !
-
3. Infos sur la Résistance (via le Salon beige).
Quand il n'y a plus de loi commune à quoi se référer, une loi qui ne dépend pas du vouloir des hommes, mais de leur adhésion à un certain nombre d'exigences qui découlent de la nature humaine et constitue ce qui est proprement l'humain, alors, c'est la loi de la "majorité" transitoire qui devient la norme, et c'est proprement le totalitarisme qui s'installe au coeur de la Cité. Il faut être aveugle pour ne point voir que ce Gouvernement, jusqu'ici, n'a pas fait ce pour quoi il avait été établi : donner du travail à tous, assurer une instruction convenable à tous les enfants, faire rayonner la langue, la culture et l'histoire de notre pays. Il a divisé profondément le peuple français par des mesures destinées à satisfaire un petit lobby dont le financier est le richissime Pierre BERGE appuyé par toute une nébuleuse de personnalités qu'il ne s'agit pas de juger au plan moral, mais qui cherchent à se justifier ou à se déculpabiliser, comme si la loi avait cette vertu de dire le bien et le mal et les décharger de leur culpabilité.
Il faut bien que ces gens comprennent une chose : la conscience est au-dessus des lois quand celles-ci violent la loi naturelle. La loi naturelle ne consiste pas à tuer les vieux qui sont en fin de vie, ni à faire porter à de pauvres femmes pour le compte d'autrui un enfant, à trafiquer la semence masculine et les ovocytes des femmes, à considérer que l'avortement est un droit (sans qu'il puisse être lié à une notion de détresse), à punir ceux qui s'opposent en conscience à cette pratique.
Ces gens sont les pires que nous n'ayons jamais eu au pouvoir depuis 1792. Ils avancent masqués pour imposer leurs idées à un peuple rebelle et ils exercent sur leurs concitoyens une pression bien plus insupportable que celle qu'ils prêtaient au clergé de l'ancien régime. Ils interviennent dans la conjugalité ou la sexualité, dans la vie ou dans la mort, sans qu'on sache bien en quoi ces interventions vont dans le sens du bien commun.
Ce sont des totalitaires insupportables. Et un jour viendra où monsieur 18 % devra rendre des comptes à la patrie pour avoir si mal remplie la tâche que les électeurs lui avaient confiée.
Il appelle bien ce qui est mal, et il censure ceux qui osent dénoncer cette déviation de la pensée, cette subversion du langage et cette négation de la réalité. Exeant ! Exeant ! Du balai !
-
3. Infos sur la Résistance (via le Salon beige).
-
Accueil de François Hollande à Albi le 23 avril.
François Hollande va reprendre ses déplacements en province. Il sera à Albi et Carmaux, pour rendre hommage à Jean Jaurès, le 23 avril.
-
-
La Manif pour tous sur le Paris-Roubaix.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire