Plus que jamais nous devons faire preuve de courage, mais aussi de non violence, car...
Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté.
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1. La citation du jour.
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C'est à Marcel LEGAUT que j'emprunte aujourd'hui la citation quotidienne.
"Que chacun cueille sa gerbe,
Tout au long de ses jours,
Sans cesse mais sans hâte,
Sans peur et sans vertige,
Sans violence mais sans faiblesse,
Sans exaltation et sans illusion,
Sans ambition et sans retour sur soi.
[...]."
(In Prières d'homme.)
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2. Commentaires.
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Ceux, qui pour diverses raisons, ne peuvent adhérer au programme et aux idées socialistes, sont invités à méditer ce très beau poème, que j'ai amputé de ses derniers vers, que les non croyants ne pourraient pas comprendre. Nous n'avons pas à nous hâter, nous ne devons pas vouloir tout casser. Il suffit que chacun, là où il est, soit lui-même et porte sur ses voisins de métro, de palier, de rue, de magasins, un regard de bienveillance et n'hésite pas à rentrer en contact avec lui, par le moyen de la parole.
Jamais les hommes n'ont été plus concentrés, plus tassés les uns contre les autres, dans ces mégalopoles inhumaines et terribles, et jamais ils n'ont été plus isolés les uns des autres. C'est d'abord la relation interhumaine que nous devons rétablir. Quand un Président donne des ordres à un sous-fifre de ne pas tenir compte de 700.000 pétitions, il n'écoute pas ses concitoyens, il est muré dans son splendide isolement, dans ses certitudes, ce qu'un monarque de l'Ancien Régime n'aurait jamais fait. Il donne l'exemple de ce splendide isolement d'un individu encapsulé dans son ego.
La Révolution a tué les corps intermédiaires. Elle a supprimé la syndication des artisans et des ouvriers par la fatidique loi LE CHAPELIER, matrice du capitalisme sauvage. Nos gouvernants continuent dans cette lignée : ce sont des libertariens mondialistes. Il leur est plus facile de faire droit aux exigences de quelques foldingues, minoritaires et désavoués par le sens commun, que de s'occuper des vrais problèmes des Français. Il leur est plus facile de se soumettre aux diktats américains, bruxellois ou allemands que de mobiliser les énergies nationales en vue d'un grand dessein.
Non, la France n'est pas finie, loin de là. Je vois de magnifiques moissons se lever dans les champs de la jeunesse. Je vois l'engagement résolu d'un nombre croissant de ces jeunes gens et jeunes filles pour la cité, pour les plus pauvres, pour la vie, pour leur pays. Croyez bien que je ne souhaite pas voir la France s'effondrer sous les coups de l'impéritie gouvernementale. Et si la réussite était au bout de l'effort imposé, j'en serais heureux. Hélas, les faits vont chaque jour à l'encontre de mes espérances. Ce ne sont pas ces hommes et ces femmes qui sont en cause. Ce sont leurs idées, leur incapacité à avoir une vue clair du bien commun, lequel consiste "à amener l'homme à la fin qui lui est due".
Pour cela, il leur faudrait changer de référentiel, regarder du côté du Calvaire plutôt que de celui de la Rue Cadet !
On en est assez loin !
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3. Infos sur la Résistance.-
A NANTES, les Sentinelles contre l'idéologie du gender.
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A PARIS, la liberté selon MENTON POINTU.
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4. Humour politique.
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Le nouveau Gouvernement de MENTON POINTU (je n'approuve pas le commentaire de cette image ; je le trouve vulgaire. Le montage suffisait à faire passer le message).
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