Plus que jamais, très chers et fidèles lecteurs, il est important de se rappeler ceci :
Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté !
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1. Les
citations du jour.
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N°20
"Si chacun ne pense qu'à
soi
On n'a même pas de quoi
s'acheter une aiguille."
N°32
"Un
pauvre en pleine ville vit isolé
Un
riche perdu dans la montagne a des visiteurs."
N°34
"La
fortune valide les dires ;
La
pauvreté les discrédite.
Si
tu en doutes, observe pendant les banquets :
Les
toasts, on s'empresse de les porter aux riches."
N°71
"L'homme qui ne comprend ni
le passé ni le présent
N'est qu'une bête de somme
habillée."
N°207
"Le bien porte avec lui ses
récompenses,
Le mal, ses punitions ;
Le juste retour viendra,
L’heure de la rétribution
sonnera."
[SAGES ÉCRITS DE JADIS.]
Édition bilingue. Traduction et
annotation de YANG DAN. Préface de Catherine DESPEUX. (Collection
"Patrimoines Chine".)
Les Éditions du Cerf, Paris, 2006.
(Les
numéros sont ceux de l’édition dont la référence figure ci-dessus.)
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2. Commentaires.
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Je
dédie ces poèmes aux hommes politiques contemporains, ne serait-ce pour qu’ils
réfléchissent à la justesse de ces paroles, et à la pauvreté de nos prétendues
analyses rationnelles occidentales. J’en reviens toujours aux sages de cette Chine éternelle de
laquelle nous avons beaucoup à apprendre et qui, voyant loin ont prophétisé nos désastres.
Le
poème N°20 s’adresse aux candidats qui briguent nos suffrages aux élections
dites « primaires ». J’en connais des qui feraient bien d’y penser
avant de se lancer dans une course au succès hasardeux.
Le
poème N°32 s’adresse à madame HIDALGO qui trouvait normal d’aliéner au profit d’une
association musulmane un bien communal, dans des conditions léonines pour les
contribuables parisiens, mais n’a pas le moindre plan, la moindre idée pour
donner un toit décent aux milliers de sans-abri qui passent les nuits, fussent-elles
glaciales, sous les porches de nos immeubles. Heureusement le Tribunal administratif a annulé cette opération, déclarée illégale. Ouf !
Le
poème N°34 s’adresse aux nombreux dignitaires de la République (c’est ainsi qu’au
Sénat on désigne les grossiums sénatoriaux et qu'à ce nom des places de parking qui leur
sont réservées dans la première cour du noble édifice : "places réservés aux dignitaires", en effet dit une pancarte bellement plantée). On fait leur siège pour
leur arracher une faveur à ces dignitaires. On ne fait point le siège d’un pauvre pour lui offrir
un sourire, de la chaleur et de l’aide. Et des toasts, mamma mia ! ils en font au point que parfois, il faut faire une encoche dans les tables de banquet pour qu'ils y logent leur bedaine, tant l'alcool les a soufflés, souvent à leur corps défendant (si l'on peut dire).
Le
poème N°71 est offert à la belle carnassière qui préfère obliger les
professeurs à enseigner la très aléatoire histoire des peuples
africains plutôt que celle de Napoléon (ce que l’on peut comprendre et même
approuver, tant cet homme a fait de mal à notre patrie) ou celle du Moyen-Âge, mais qui empêche ainsi les jeunes générations de s'enraciner dans la bonne terre de notre passé pour lancer vers le ciel de belles branches feuillues et vertes en direction de l'avenir.
Le
poème N°207 a été écrit de manière prophétique à l’intention de madame TAUBIRA.
On ne dira jamais assez le mal qu’elle a fait ; et on se surprend à
souhaiter qu’un jour elle ait à rendre des comptes à notre Peuple pour son action destructrice.
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3.
Informations diverses.
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Discours de réception d'Alain FINKIELKRAUT à l'Académie Française (à l'intention de monsieur Pascal CHERKI).
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Humour vache.
Je précise qu'il s'agit d'humour, d'humour vache sans aucun doute, mais qui vaut bien le Nabot Léon, sobriquet indigne dont on désigné Nicolas SARKOZY. Tout cela n'est pas du meilleur goût, mais dans le cas présent, au moins ça défoule !
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