dimanche 31 janvier 2016

31 janvier 2016. Nouvelles de la Résistance. Elles sont belles, les élites !

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Ne nous laissons plus manipuler par les mensonges d'Etat !

Les élites se moquent du Peuple ; ils en sucent la moelle nourricière à leur seul profit ! Il n'est que temps de réagir : on parle du mariage des homosexuels, de l'euthanasie, de l'avortement, mais assez peu de ce Peuple qui souffre du chômage, d'une politique familiale désastreuse et du cynisme des dirigeants : ils n'ont que le mot solidarité à la bouche, mais ils ne sont pas fichus de loger nos propres sans-abris tout en trouvant des solutions miraculeuses pour loger les "réfugiés" et les "migrants", sans consulter les habitants des villages, bourgs et villes où ils ont décidé du haut de leur cathèdre de les propulser. Soyez patients ! Lisez tout.
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1. La citation du jour.
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Comment pourrait-on vous inventer cher Georges BERNANOS ? Impossible tant vous êtes inclassables !

"Les notaires, huissiers et avocats qui ont fait la révolution de 1793 s’imaginaient qu’on pouvait remettre indéfiniment la réalisation d’un programme aussi réduit. Ils croyaient qu’un peuple, un vrai peuple, un peuple formé par mille ans d’histoire peut être mis au frais dans la cave, en attendant mieux. « Occupons-nous des élites, on verra plus tard. » Plus tard, il était trop tard. Dans la nouvelle maison construite sur les plans du législateur romain, aucune place n’avait été prévue pour le peuple de France. Il eût fallu tout jeter bas. Ce fait n’a rien de surprenant. L’architecte libéral ne s’était pas plus préoccupé de loger son prolétariat que l’architecte romain, ses esclaves. Seulement les esclaves ne formaient qu’un ramas d’ilotes de toutes langues, de toutes nations, de toutes classes, une part d’humanité sacrifiée, avilie, leur misérable tribu était une œuvre des hommes. Au lieu que la Société moderne laisse se détruire lentement, au fond de sa cave, une admirable création de la nature et de l’histoire. Vous pouvez naturellement avoir une autre opinion que la mienne, je ne crois pas que la monarchie eût laissé se déformer si gravement l’honnête visage de mon pays. Nous avons eu des rois égoïstes, ambitieux, frivoles, quelques-uns méchants. Je doute qu’une famille de princes français eût manqué de sens national au point de permettre qu’une poignée de bourgeois ou de petits-bourgeois, d’hommes d’affaires ou d’intellectuels, jacassant et gesticulant à l’avant-scène, prétendissent tenir le rôle de la France, tandis que notre vieux peuple, si fier, si sage, si sensible, devenait peu à peu cette masse anonyme qui s’appelle : un prolétariat."
In
Georges BERNANOS.
Les grands cimetières sous la lune. (Collection "Points". Série Témoignage. N°P91.)
Librairie Plon, Paris, 1995.
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2. Commentaires.
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Pour s’en occuper des élites, ils s’en occupent : prébendes, honneurs, bonnes places, irresponsabilité sociale, pénale et politique, tout est fait pour qu’une clique méprisante de hauts fonctionnaires, d’élus issus de cette classe d’inutiles, imposent à notre peuple ses lubies sociétales, ses vues qui ne reposent que sur le vent – lequel tourne, on le sait, et fait tourner les lubies – à la seule fin de garder leurs avantages et leurs privilèges.
Je sais, on va dire que je fais de l’anti-élitisme primaire et l’on pourrait aussi me rétorquer que, à ma modeste place de Professeur des Universités (à la retraite), on peut me ranger au rang de ces profiteurs. Je suis cependant assez lucide pour reprendre à mon compte ce que disait Louis PASTEUR, l’éponyme de la défunte Université à laquelle j’ai eu l’honneur d’appartenir : « C’est l’homme qui honore la fonction, non la fonction qui honore l’homme ». Quand je vois cet apparat de gardes républicains en grande tenue présenter les armes à un homme qui roule la nuit en scooter pour aller voir sa maîtresse, ou qui les a présentées à un autre capable de dire « casse toi, pauv’ con » à un concitoyen récalcitrant, je me dis que la fonction est fort peu honorée par ces comportements.
Je ne me suis jamais permis de délivrer un cours en blue jean et pull-over ; je portais systématiquement un blazer bleu-marine, un pantalon gris et une cravate ; je n’aurais jamais imaginé arriver en retard pour donner une leçon qui commençait exactement quand l’aiguille de la pendule passait sur l’heure officielle à laquelle je devais commencer (de sorte que jamais un étudiant ne se serait permis d’arriver en retard, sauf cas de force majeure) ; et je mettais un grand soin à n’utiliser qu’un langage dépourvu de toute vulgarité. Sans doute sont-ce là de petites choses, mais je prends à témoin les étudiants qui m’ont connu : ils confirmeront le respect que je leur portais, et les efforts que je faisais pour être clair et pédagogique. Bien entendu, on dira que c’est très orgueilleux de dire cela ; j’aurais pu faire mieux sans aucun doute, du moins étais-je conscient de la dignité de la fonction, et surtout de mes propres limites. Je n’avais point la science infuse, certes, ce qui m’obligeait à un incessant travail de mise à jour. Comprenez-bien : je ne me pose pas en exemple ; j’expose les soucis qui ont été les miens pendant que j’enseignais.
Et j’ai aujourd’hui la joie de compter onze Professeurs des Universités, en France ou en Angleterre (les deux derniers en date ont pour prénom Laurent et Philippe) parmi mes élèves. Ils sont ma fierté ; ils justifient ma raison d’être ; je les admire et les assure de mon affection. Et tous n’étaient pas nés avec une cuillère d’argent dans la bouche, je vous l’affirme !

Mais le peuple, les élites s’en moquent. Je vous reparlerai de la lettre que j’ai reçue de l’Association des Maires de France après que j’eus envoyé une jolie carte de crèche à monsieur BAROIN. C’est très exactement l’expression du mépris dans lequel ces élites auto-proclamées tiennent le peuple.
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3. Informations diverses.
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Le 31 janvier 1794 : massacre de Mouchamps, « œuvre » des colonnes infernales (via le Salon beige).

"La colonne infernale du général Cordelier arrivée à Mouchamps met le feu au château et pendant l'incendie du château, massacre 200 personnes, au Parc Soubise, sur la commune de Mouchamps, "en haine de la religion".
La colonne infernale Lachenay qui se dirige vers les Essarts, traverse Le Boupère, commune pourtant réputée patriote, et y tue deux cents habitants ; brûle le bourg et les fermes des environs ; puis fait de même à Rochetrejoux. Elle atteint alors Mouchamps. Les troupes bleues atteignent la cour du Parc-Soubise. Lachenay donne l'ordre d'incendier le château, d'aligner deux cents personnes capturées en cours de route, et de les fusiller. (Elles l'ont été presque toutes.)
A la fin des années 50, une plaque commémorative a été posée et bénie par monseigneur Cazaux, alors évêque de Luçon, en souvenir des martyrs qui furent tués ici pour que règne la république en France."
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LMPT Italia connaît aussi des problèmes de comptage (idem.
"Des problèmes de comptage de la part des médias français, en tout cas, qui annoncent tous en choeur (ils ont dû copier-coller la même dépêche AFP) "des dizaines de milliers" de manifestants aujourd'hui à Rome contre l'union civile ouvrant l’adoption aux couples de même sexe, alors qu'un communiqué de La Manif Pour Tous annonçait environ 2 millions de personnes. Les médias français sont brouillés avec les chiffres et avec la réalité."
Vous aurez des comptes à rendre au Peuple, menteurs et manipulateurs ! Comme le montrent ces images, ils étaient en effet quelques dizaines de milliers... Quelle honte, quel tripatouillage de la réalité !






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