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Ce n’est pas l’ignorance qui nous empêche de devenir
vrai, c’est la lâcheté !
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1. LA
CITATION DU JOUR.
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"En
son temps, Alexis de TOCQUEVILLE a donc parfaitement analysé la dynamique
d'ostracisme susceptible de frapper les démocraties : la majorité fonctionne en
effet comme une arme d'exclusion ou de bannissement : on ne tue plus, on «
isole» celui qui ne pense pas comme les autres. « Le maître n'y dit plus : vous
penserez comme moi ou vous mourrez ; il dit : vous êtes libre de ne point
penser ainsi que moi ; votre vie, vos biens, tout vous reste ; mais de ce jour,
vous êtes un étranger parmi nous, vous garderez tous vos privilèges à la cité,
mais ils vous deviendront inutiles : […] vous resterez parmi les hommes, mais
vous perdrez vos droits à l'humanité. Quand vous vous approcherez de vos
semblables, ils vous fuiront comme un être impur ; et ceux qui croient à votre
innocence, ceux-là mêmes vous abandonneront, car on les fuirait à leur tour.
Allez en paix, je vous laisse la vie, mais je vous laisse pire que la mort..»
Le constat est sans appel : l'« empire de la majorité» fait mieux que toutes
les inquisitions confondues. De nos jours, on parlerait de «lynchage»
médiatique, et l'on manquerait de perspicacité à rendre anecdotique la chose.
Proscrire médiatiquement certains intellectuels, c'est la manière qu'ont trouvé
les démocraties contemporaines pour se débarrasser de ceux qu'elles assimilent
à des gêneurs ; ne pas leur ôter la vie, mais leur ôter toute possibilité
d'en profiter. Avec le temps, il faut comprendre que les armes et les
pathologies des régimes politiques se perfectionnent et que le régime
démocratique n'est en rien exempt de cette évolution. On aurait pu s'imaginer
que la démocratie, en tant que processus historique, aurait mis fin aux dérives
du politique. Il n'en est rien. Grandir, de ce point de vue, c'est aussi faire
le deuil de quelques rêves d'absolu."
In
Cynthia
FLEURY.
Les
pathologies de la démocratie.
Le
Livre de Poche, biblio essais, N°31544.
Fayard,
Paris, 2009 (date du dépôt légal), p. 176.
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2. COMMENTAIRES.
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Cette
analyse de Cynthia FLEURY s’applique parfaitement au traitement que les médias,
les imbéciles bernanosiens, les socialistes triomphants de médiocrité, les
bobos du marais et de saint-Germain des près, appliquent à des hommes qui ne
pensent pas comme eux. C’est ainsi qu’Eric ZEMMOUR a été évincé d’une chaîne de
télévision à cause de ses opinions, c’est ainsi que l’on ridiculise ou que l’on
ostracise, dans les médias stipendiés un Philippe de VILLIERS, un Michel ONFRAY,
un Alain FINKIELKRAUT, un Marcel GAUCHET, un Jean RASPAIL ou un Michel HOUELLEBECQ.
En
vérité, il y a de la part de cette majorité très provisoire une haine envieuse
pour tout ce qui n’est pas elle et qui la dépasse de la tête des épaules. Mais
il me semble qu’intellectuellement il serait honnête de « sauver les
phénomènes » en les examinant pour ce qu’ils sont et en posant les bonnes
questions : avons-nous les moyens d’intégrer des milliers de migrants, de
leur donner un emploi, d’éduquer leurs enfants, de les introduire à une vie
civique démocratique qu’ils n’ont jamais connue dans leur patrie d’origine, et
que, du reste, leur religion la rend opaque et répulsive ? A-t-on le droit
de s’interroger sur les conséquences politiques et sociales de lois qui désintègrent
la famille ? A-t-on le droit de s’interroger sur les origines de la
France ? A-t-on le droit de dire que la psychanalyse est une
imposture ? Pour les média, ces questions sont obscènes, et ils ont déjà
la réponse toute faite dans leur tête pour les disqualifier : l’injure, le
silence ou le mépris.
La
vie politique boboïque est illustrée parfaitement par madame HIDALGO qui préfère créer à
PARIS un espace naturiste dédié à ceux qui aiment s'exhiber à poil, et engorger les quais en fermant la voie sur berge,
plutôt que de s’occuper de la pauvreté, ou des questions d’hygiène et de
sécurité que soulèvent certains quartiers bien repérés. C’est ainsi que l’on
évite de se poser une question qui personnellement m’intéresse (sans doute
parce que je suis un amoureux de la Chine) : pourquoi les quartiers où vit
ne communauté chinoise très dense (le XIIIe parisien), sont-ils très sûrs et
sans histoires, et pourquoi les quartiers dits sensibles sont-ils peuplés de
communautés maghrébines ou africaines ? Notez bien qu’il s’agit de
questions, et qu’il me paraît légitime de les poser, quand bien même je n’ai
aucune réponse à leur apporter, car je ne suis ni sociologue ni politologue. Je suis un citoyen qui s'interroge. Tant que les hommes politiques fermeront les yeux sur ces problème, ils seront
rejetés, et avec justesse, par les FRANÇAIS.
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3. INFORMATIONS
DIVERSES.
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Il
y a des sites qui répercutent des analyses que les bobos ne veulent pas
entendre. Ainsi, celui de Breizh info cet article :
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Monsieur
Valls devrait aller interroger les habitants de CALAIS. Il paraît que nous ne
sommes pas submergés. Du site du Boulevard Voltaire, cet avis péremptoire :
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Arguments
de vente : les insultes de la gauche, du site du Salon beige :
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Retour
sur des trahisons, et dégoût des Français pour la politique, du site du
Boulevard Voltaire :
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