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Au lieu d’un château
fort dressé au milieu des terres, pensons plutôt à l’armée des étoiles jetée
dans le ciel !
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1. JÉSUS, SOURCE DE L’INFORMATION
CRÉATRICE.
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"Ieschoua est celui qui communique
l’information créatrice. Il est la source de l’information créatrice. Que le “royaume
de Dieu” soit comparé à un arbre, ou à un corps vivant, dans les deux cas celui
qui fait partie de cet ensemble vivant, qui l’arbre ou l’organisme, ne peut
vivre, ne peut se développer, ne porter fruit, que s’il reste dans le corps, ―
ou dans l’arbre ― parce que c’est le corps, ou l’arbre vivant tout entier, qui
est porteur de l’information créatrice. Celui qui se sépare du Corps, de
l’organisme vivant, celui-là ne reçoit plus l’information créatrice qui vient
du Germe. Ieschoua est ce Germe, tsemach. [Nom donné au roi messie
attendu par les prophètes du VIIe et Vie siècle av. J.-C.]
In
Claude TRESMONTANT.
L’enseignement de Ieschoua de Nazareth.
Éditions du Seuil, Paris, 1970. (Page
187.)
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2. ADMIRABLE CONTREPOINT DE
BERTRAND VERGELY.
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"Il existe une vraie raison, une
raison profonde débouchant sur la raison d’être qui illumine l’existence en
donnant force et énergie. C’est celle que l’on trouve dans le Logos ou Verbe. S’enracinant dans le
souffle créateur de la vie, souffle divin proprement extraordinaire faisant qu’il
y a l’univers, la vie, les hommes, l’existence et derrière eux l’extraordinaire
présence de ce qui est, celle-ci s’exprime à travers les images de ce que nous
voyons, images qui sont des symboles de ce souffle créateur. […]."
In
Bertrand VERGELY.
Obscures lumières. La révolution
interdite.
Les éditions du Cerf, Paris, 2018. (Page
10.)
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3. COMMENTAIRES PERSONNELS.
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Autant vous dire que nous reviendrons,
dans le cadre du pari bénédictin, sur le livre roboratif et révolutionnaire de
Bertrand VERGELY. Qu’il suffise ici de dire que deux auteurs, lui et
TRESMONTANT, de formations très différentes, mais tous les deux philosophes
nourris de toutes les philosophies, antique, médiévale, moderne et
contemporaine, en arrivent aux mêmes conclusions. L’homme probe, en regardant
le réel voit bien qu’il est informé par le Créateur. Il faut avoir l’ego surdimensionné
de VOLTAIRE, la mauvaise foi de DIDEROT, l’étonnante monomanie de DESCARTES ou la
sécheresse de KANT (je m’inspire de ce que disent ces deux auteurs), pour
appartenir au cercle du bois mort, du sarment improductif bon à être lié en
bottes et jeté au feu. Pire, ces penseurs ont fermé la voie de la vraie
connaissance à des milliers, des centaines de milliers d’êtres humains par leur
inconséquence métaphysique, ont préparé les régimes de Terreur, de mensonge, d’individualisme
qui dévore l’humanité en détresse.
Il est impossible de passer sous ici silence
ce que dit Paul de Tarse aux Corinthiens : « Si donc quelqu’un est
dans le Christ, c’est une création nouvelle ; l’être ancien a disparu, un
être nouveau est là. » (II Co 5, 17.)
L’homme du pari bénédictin espère contre
toute espérance, et il sait que le Verbe est déjà vainqueur, il est une
créature nouvelle en marche vers sa fin qui est la vie éternelle.
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4. LIENS UTILES.
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Il y a donc des hommes d’Église qui ne
sont pas contents des décisions du Land de BAVIÈRE ?
Tandis qu’au PAKISTAN une mère de
famille, condamnée à mort pour blasphème, Asia BIBI, attend la décision de la
Cours suprême.
Une belle illustration de la haine du
monde pour le Verbe.
Notez le 666, signe de la Bête et du démon !
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