A l’attention de Philippe Poindron : suite de mon commentaire relatif à « Vous l’avais-je point dit ? » :
Fourmi lève les bras (pardon ! les pattes au ciel) pour implorer à nouveau de la compréhension. Décidément…
Sans doute étiez-vous sur le départ, une valise à la main droite, un ticket de métro à la main gauche et n’avez- vous eu que le temps de survoler ce que, petite fourmi semblable à toutes ses congénères, avec un mini - cerveau, certes, mais avec l’obstination reconnue par les scientifiques qui m’étudient, je tentais de dire - simplement et sans grande prétention - et qui n’était ni une digression ni un hors sujet dramatique.
Ah ! Ces humains habitant Paris, toujours pressés ! Tandis que nous, on raconte bien sûr dans vos aréopages que nous nous agitons beaucoup, et en vain, mais observez mieux notre capacité à tout analyser et à réagir avec une logique de fourmi, certes, mais qui n’en reste pas au rase motte sans signification.
Enfin et malgré tout, je vous souhaite un bon retour dans cette magnifique capitale, une autre fourmilière - bien lointaine - que je visiterai sans doute un jour. Peut-être. Conseil de fourmi : avant de repartir dans ses sous sols, posez-vous tranquillement et relisez mon petit texte.
Je reconnais, chère Fourmi, n'avoir point pris assez en considération les deux derniers paragraphes de votre commentaire. Ne m'en veuillez pas. Je dois vieillir. Amicalement.
3 commentaires:
A l’attention de Philippe Poindron : suite de mon commentaire relatif à « Vous l’avais-je point dit ? » :
Fourmi lève les bras (pardon ! les pattes au ciel) pour implorer à nouveau de la compréhension.
Décidément…
Sans doute étiez-vous sur le départ, une valise à la main droite, un ticket de métro à la main gauche et n’avez- vous eu que le temps de survoler ce que, petite fourmi semblable à toutes ses congénères, avec un mini - cerveau, certes, mais avec l’obstination reconnue par les scientifiques qui m’étudient, je tentais de dire - simplement et sans grande prétention - et qui n’était ni une digression ni un hors sujet dramatique.
Ah ! Ces humains habitant Paris, toujours pressés ! Tandis que nous, on raconte bien sûr dans vos aréopages que nous nous agitons beaucoup, et en vain, mais observez mieux notre capacité à tout analyser et à réagir avec une logique de fourmi, certes, mais qui n’en reste pas au rase motte sans signification.
Enfin et malgré tout, je vous souhaite un bon retour dans cette magnifique capitale, une autre fourmilière - bien lointaine - que je visiterai sans doute un jour. Peut-être.
Conseil de fourmi : avant de repartir dans ses sous sols, posez-vous tranquillement et relisez mon petit texte.
Je reconnais, chère Fourmi, n'avoir point pris assez en considération les deux derniers paragraphes de votre commentaire. Ne m'en veuillez pas. Je dois vieillir.
Amicalement.
Merci.
Vous ne vieillirez jamais : parole de fourmi.
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