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Nous n'y pouvons rien, c'est ainsi :
Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté !
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1. La citation du jour.
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"[...]. Faute de pouvoir unir, on centralise. Nous voyons tous les jours les hommes les plus inconséquents, les plus dispersés dans leurs occupations et leurs sentiments, ramener la multitude de leurs réactions discordantes à deux ou trois idées - j'allais dire à deux ou trois réflexes - aussi superficielles que fixes. Qu'on songe aussi à ces amoureux anarchiques qui changent d'amante comme de manteau : leur passion - et c'est là sa principale variété - s'adresse à des objets différents, mais elle est étrangement appauvrie et centralisée dans sa nature et ses manifestations : ce sont toujours les mêmes sentiments, les mêmes mots et les mêmes gestes, le même mélange de rêverie niaise et d'érotisme banal. L'amour un du plus humble des couples fidèles est infiniment plus riche, en variété et en profondeur."
In
Gustave THIBON.
Diagnostics. Essai de physiologie sociale. (Préface de Gabriel MARCEL.)
Collection "Civilisation"
Librairie de Médicis, Paris, 1942.
In
Gustave THIBON.
Diagnostics. Essai de physiologie sociale. (Préface de Gabriel MARCEL.)
Collection "Civilisation"
Librairie de Médicis, Paris, 1942.
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2. Commentaires.
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La ressemblance avec une personne existante n'est absolument pas fortuite. Mon très cher Gustave est prophétique. On aurait dit qu'il le voyait, celui qui serait un jour, au terme d'un lent processus de désagrégation du sentiment patriotique, du respect de soi et de ses concitoyens, l'homme "présidant" encore pour deux ans et demi (théoriquement du moins) aux destinées de la France.
Dans le développement qu'il donne à la maladie de la centralisation, Gustave THIBON en explique avec une extraordinaire acuité les conséquences, et du reste, quelques pages plus loin, il affirme : "La centralisation est le tombeau de l'unité et l'anarchie celui de l'originalité".
Si nous avons vécus les événements de Notre-Dame des Landes ou de Sivens, c'est bien en raison de cette volonté de centraliser sans tenir compte des différences. Et THIBON de conclure ce chapitre comme il suit : "[...] La société tend à devenir une immense machine où - comme dans tout ordre mécanique - chaque rouage est condamné à une passivité absolue ou à une originalité destructrice. Il est de moins possible de servir avec sa liberté et avec son âme : il faut choisir entre l'isolement et l'esclavage, il faut plutôt se résigner - car il n'est pas de vraie liberté sans communion ni de vraie communion sans liberté - au double joug de l'isolement et de l'esclavage. L'analogie avec l'enfer - le pays des esclaves solitaires - s'impose douloureusement".
Et bien comme le disait un poète hongrois (je crois) : "Nous ne voulons pas mourir esclave". Et la voie choisi par ce gouvernement nous oblige à une opposition totale, frontale, et définitive. Madame VALLAUD-BELKACEM respecte tellement les libertés qu'elle impose aux enseignants par le canal des recteurs, la diffusion de théories, de comportement, de valeurs qui dénient aux personnes le droit de délibérer et de choisir. Monsieur HOLLANDE marie, d'en haut, les régions en ignorant superbement les désirs de ses concitoyens. Ces gens centralisent à outrance, parce qu'ils sont malades, et malheureusement leur maladie est contagieuse. Et ils s'étonnent de voir les forces de l'ordre bombardées avec des cocktails Molotov... par les gens qu'ils ont contaminés. La centralisation entraîne l'anarchie tout comme la gangrène déclenche la dissolution des tissus mous.
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La ressemblance avec une personne existante n'est absolument pas fortuite. Mon très cher Gustave est prophétique. On aurait dit qu'il le voyait, celui qui serait un jour, au terme d'un lent processus de désagrégation du sentiment patriotique, du respect de soi et de ses concitoyens, l'homme "présidant" encore pour deux ans et demi (théoriquement du moins) aux destinées de la France.
Dans le développement qu'il donne à la maladie de la centralisation, Gustave THIBON en explique avec une extraordinaire acuité les conséquences, et du reste, quelques pages plus loin, il affirme : "La centralisation est le tombeau de l'unité et l'anarchie celui de l'originalité".
Si nous avons vécus les événements de Notre-Dame des Landes ou de Sivens, c'est bien en raison de cette volonté de centraliser sans tenir compte des différences. Et THIBON de conclure ce chapitre comme il suit : "[...] La société tend à devenir une immense machine où - comme dans tout ordre mécanique - chaque rouage est condamné à une passivité absolue ou à une originalité destructrice. Il est de moins possible de servir avec sa liberté et avec son âme : il faut choisir entre l'isolement et l'esclavage, il faut plutôt se résigner - car il n'est pas de vraie liberté sans communion ni de vraie communion sans liberté - au double joug de l'isolement et de l'esclavage. L'analogie avec l'enfer - le pays des esclaves solitaires - s'impose douloureusement".
Et bien comme le disait un poète hongrois (je crois) : "Nous ne voulons pas mourir esclave". Et la voie choisi par ce gouvernement nous oblige à une opposition totale, frontale, et définitive. Madame VALLAUD-BELKACEM respecte tellement les libertés qu'elle impose aux enseignants par le canal des recteurs, la diffusion de théories, de comportement, de valeurs qui dénient aux personnes le droit de délibérer et de choisir. Monsieur HOLLANDE marie, d'en haut, les régions en ignorant superbement les désirs de ses concitoyens. Ces gens centralisent à outrance, parce qu'ils sont malades, et malheureusement leur maladie est contagieuse. Et ils s'étonnent de voir les forces de l'ordre bombardées avec des cocktails Molotov... par les gens qu'ils ont contaminés. La centralisation entraîne l'anarchie tout comme la gangrène déclenche la dissolution des tissus mous.
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Une photo prise par le robot européen PHILAE et retransmise par ROSETTA indique que la banderole "Hollande démission" a atterri sur la comète ! On n'arrête pas le progrès !
Je suppose qu'il y a une censure assez forte sur la diffusion de cette photo, car il m'est impossible d'en obtenir l'URL et donc de l'inclure dans ce billet de manière durable. J'essaie quand même, sans illusion.
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Le désastre de l'Education dite nationale en quelques chiffres (merci à mon amie Brigitte).
"Pour votre information et votre
édification !
Ces chiffres émanent en grande partie de
l'éducation nationale… (no comment !) A la demande du gouvernement
précédent…
Pourquoi ne sortent-ils que maintenant ?…
va savoir ! Savez-vous quelle est
la plus grande des administrations au monde après l'armée chinoise ? L'éducation nationale française : 1.418.744
personnes (plus que l'Armée Russe, ex Armée Rouge). Il s'agit des bulletins de salaires émis par
cette administration. Et sur ce
chiffre, il y a moins d'1 million d'enseignants ! C'est à dire qu'il y a
512.087 "administratifs" (hors restauration et services annexes
bien sûr), qui sont souvent à la charge des mairies, des Conseils Généraux et
autres Régions.).
Sur ces 512.000
personnes, une commission d'enquête de l'Assemblée Nationale a trouvé 37.664
salariés qui n'apparaissent que dans la colonne "dépense de
personnel" et dont personne ne sait ce qu'ils font, et 30.000
"détachés" qui n'ont jamais enseigné... (cf. Associations; ligues et
fédé. sportives, et autres "maisons de la montagne", maison
régionales du tourisme et qui sont en fait agents électoraux.)
Le coût de cette
gigantesque plaisanterie ? 100 milliards d'euros par an (soit le prix de 52
porte-avions nucléaires de 36.000 tonnes, avec hélice en état de marche).
Il y a
aujourd'hui 459.600 élèves de moins qu'en 1991, mais 247.000 enseignants de
plus. La moyenne donne moins
de 20 élèves par classe !… mais "ils" font grève pour manque
d'effectifs ! Là où il faudrait du personnel : handicapés, classes
"spéciales"… Pas d'effectifs… cherchez encore l'erreur !
Les résultats
entre autres :
- Sur 726.000
jeunes qui quittent chaque année le système, le ministère reconnaît lui-même
que 439.000 n'ont "aucune réelle formation".
- Il y a
aujourd'hui 236.583 étudiants en "Sciences humaines et sociales" dans
les Facs : chacun coûte 48.000 EUR par an à la collectivité.
- Et
tout le monde sait qu'il n'y a qu'une poignée de postes à pourvoir dans ce
Secteur (5.000 par an, peut-être 8.000 ?).
Rappelons que
l'OCDE a classé la France très loin des autres nations en comptant 40 %
d'illettrés en France (capacité à lire, comprendre et résumer en cinq lignes un
texte simple de 20 lignes).
Enfin, sur les
13 meilleurs lycées parisiens pour les résultats au bac, 11 sont des
établissements privés.
Et on cherche
où faire des économies !!!"
Je tiens à préciser ceci : dans leur immense majorité, les enseignants sont dévoués, compétents et bien formés. Mais ils sont pieds et poings liés, sous le coup d'un Inspecteur mal luné, d'un Recteur complaisant avec le pouvoir et qui va blâmer un enseignant en désaccord politique avec son ministre, brimés par des syndicats ringards, absolument inutiles et parfaitement incompétents en matière de pédagogie, de docimologie ou de méthodes d'enseignement spécifiques d'une discipline. Bref ils étouffent et, comme le dit THIBON, se résignent au double joug de l'esclavage et de la solitude.
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Manif Pour Tous contre le gender à HANOVRE (via le salon beige).
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Rassemblement des Familles Plumées à RODEZ (via le Salon beige).
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Un million et quatre cent mille manifestants pour la vie à MADRID (via le salon beige).
Rassemblement des Familles Plumées à RODEZ (via le Salon beige).
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Un million et quatre cent mille manifestants pour la vie à MADRID (via le salon beige).
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