dimanche 31 janvier 2016

31 janvier 2016. Nouvelles de la Résistance. Elles sont belles, les élites !

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Ne nous laissons plus manipuler par les mensonges d'Etat !

Les élites se moquent du Peuple ; ils en sucent la moelle nourricière à leur seul profit ! Il n'est que temps de réagir : on parle du mariage des homosexuels, de l'euthanasie, de l'avortement, mais assez peu de ce Peuple qui souffre du chômage, d'une politique familiale désastreuse et du cynisme des dirigeants : ils n'ont que le mot solidarité à la bouche, mais ils ne sont pas fichus de loger nos propres sans-abris tout en trouvant des solutions miraculeuses pour loger les "réfugiés" et les "migrants", sans consulter les habitants des villages, bourgs et villes où ils ont décidé du haut de leur cathèdre de les propulser. Soyez patients ! Lisez tout.
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1. La citation du jour.
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Comment pourrait-on vous inventer cher Georges BERNANOS ? Impossible tant vous êtes inclassables !

"Les notaires, huissiers et avocats qui ont fait la révolution de 1793 s’imaginaient qu’on pouvait remettre indéfiniment la réalisation d’un programme aussi réduit. Ils croyaient qu’un peuple, un vrai peuple, un peuple formé par mille ans d’histoire peut être mis au frais dans la cave, en attendant mieux. « Occupons-nous des élites, on verra plus tard. » Plus tard, il était trop tard. Dans la nouvelle maison construite sur les plans du législateur romain, aucune place n’avait été prévue pour le peuple de France. Il eût fallu tout jeter bas. Ce fait n’a rien de surprenant. L’architecte libéral ne s’était pas plus préoccupé de loger son prolétariat que l’architecte romain, ses esclaves. Seulement les esclaves ne formaient qu’un ramas d’ilotes de toutes langues, de toutes nations, de toutes classes, une part d’humanité sacrifiée, avilie, leur misérable tribu était une œuvre des hommes. Au lieu que la Société moderne laisse se détruire lentement, au fond de sa cave, une admirable création de la nature et de l’histoire. Vous pouvez naturellement avoir une autre opinion que la mienne, je ne crois pas que la monarchie eût laissé se déformer si gravement l’honnête visage de mon pays. Nous avons eu des rois égoïstes, ambitieux, frivoles, quelques-uns méchants. Je doute qu’une famille de princes français eût manqué de sens national au point de permettre qu’une poignée de bourgeois ou de petits-bourgeois, d’hommes d’affaires ou d’intellectuels, jacassant et gesticulant à l’avant-scène, prétendissent tenir le rôle de la France, tandis que notre vieux peuple, si fier, si sage, si sensible, devenait peu à peu cette masse anonyme qui s’appelle : un prolétariat."
In
Georges BERNANOS.
Les grands cimetières sous la lune. (Collection "Points". Série Témoignage. N°P91.)
Librairie Plon, Paris, 1995.
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2. Commentaires.
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Pour s’en occuper des élites, ils s’en occupent : prébendes, honneurs, bonnes places, irresponsabilité sociale, pénale et politique, tout est fait pour qu’une clique méprisante de hauts fonctionnaires, d’élus issus de cette classe d’inutiles, imposent à notre peuple ses lubies sociétales, ses vues qui ne reposent que sur le vent – lequel tourne, on le sait, et fait tourner les lubies – à la seule fin de garder leurs avantages et leurs privilèges.
Je sais, on va dire que je fais de l’anti-élitisme primaire et l’on pourrait aussi me rétorquer que, à ma modeste place de Professeur des Universités (à la retraite), on peut me ranger au rang de ces profiteurs. Je suis cependant assez lucide pour reprendre à mon compte ce que disait Louis PASTEUR, l’éponyme de la défunte Université à laquelle j’ai eu l’honneur d’appartenir : « C’est l’homme qui honore la fonction, non la fonction qui honore l’homme ». Quand je vois cet apparat de gardes républicains en grande tenue présenter les armes à un homme qui roule la nuit en scooter pour aller voir sa maîtresse, ou qui les a présentées à un autre capable de dire « casse toi, pauv’ con » à un concitoyen récalcitrant, je me dis que la fonction est fort peu honorée par ces comportements.
Je ne me suis jamais permis de délivrer un cours en blue jean et pull-over ; je portais systématiquement un blazer bleu-marine, un pantalon gris et une cravate ; je n’aurais jamais imaginé arriver en retard pour donner une leçon qui commençait exactement quand l’aiguille de la pendule passait sur l’heure officielle à laquelle je devais commencer (de sorte que jamais un étudiant ne se serait permis d’arriver en retard, sauf cas de force majeure) ; et je mettais un grand soin à n’utiliser qu’un langage dépourvu de toute vulgarité. Sans doute sont-ce là de petites choses, mais je prends à témoin les étudiants qui m’ont connu : ils confirmeront le respect que je leur portais, et les efforts que je faisais pour être clair et pédagogique. Bien entendu, on dira que c’est très orgueilleux de dire cela ; j’aurais pu faire mieux sans aucun doute, du moins étais-je conscient de la dignité de la fonction, et surtout de mes propres limites. Je n’avais point la science infuse, certes, ce qui m’obligeait à un incessant travail de mise à jour. Comprenez-bien : je ne me pose pas en exemple ; j’expose les soucis qui ont été les miens pendant que j’enseignais.
Et j’ai aujourd’hui la joie de compter onze Professeurs des Universités, en France ou en Angleterre (les deux derniers en date ont pour prénom Laurent et Philippe) parmi mes élèves. Ils sont ma fierté ; ils justifient ma raison d’être ; je les admire et les assure de mon affection. Et tous n’étaient pas nés avec une cuillère d’argent dans la bouche, je vous l’affirme !

Mais le peuple, les élites s’en moquent. Je vous reparlerai de la lettre que j’ai reçue de l’Association des Maires de France après que j’eus envoyé une jolie carte de crèche à monsieur BAROIN. C’est très exactement l’expression du mépris dans lequel ces élites auto-proclamées tiennent le peuple.
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3. Informations diverses.
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Le 31 janvier 1794 : massacre de Mouchamps, « œuvre » des colonnes infernales (via le Salon beige).

"La colonne infernale du général Cordelier arrivée à Mouchamps met le feu au château et pendant l'incendie du château, massacre 200 personnes, au Parc Soubise, sur la commune de Mouchamps, "en haine de la religion".
La colonne infernale Lachenay qui se dirige vers les Essarts, traverse Le Boupère, commune pourtant réputée patriote, et y tue deux cents habitants ; brûle le bourg et les fermes des environs ; puis fait de même à Rochetrejoux. Elle atteint alors Mouchamps. Les troupes bleues atteignent la cour du Parc-Soubise. Lachenay donne l'ordre d'incendier le château, d'aligner deux cents personnes capturées en cours de route, et de les fusiller. (Elles l'ont été presque toutes.)
A la fin des années 50, une plaque commémorative a été posée et bénie par monseigneur Cazaux, alors évêque de Luçon, en souvenir des martyrs qui furent tués ici pour que règne la république en France."
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LMPT Italia connaît aussi des problèmes de comptage (idem.
"Des problèmes de comptage de la part des médias français, en tout cas, qui annoncent tous en choeur (ils ont dû copier-coller la même dépêche AFP) "des dizaines de milliers" de manifestants aujourd'hui à Rome contre l'union civile ouvrant l’adoption aux couples de même sexe, alors qu'un communiqué de La Manif Pour Tous annonçait environ 2 millions de personnes. Les médias français sont brouillés avec les chiffres et avec la réalité."
Vous aurez des comptes à rendre au Peuple, menteurs et manipulateurs ! Comme le montrent ces images, ils étaient en effet quelques dizaines de milliers... Quelle honte, quel tripatouillage de la réalité !






samedi 30 janvier 2016

30 janvier 2016. Nouvelles de la Résistance. Comment fonctionne un cerveau socialiste ?

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Plus que jamais, courage et vérité !
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1. La citation du jour.
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"Le moyen d’avoir raison dans l’avenir est, à certaines heures, de savoir se résigner à être démodé."
In
Ernest RENAN.
Qu’est-ce qu’une nation ?

Cité par Claude LÉVI-STRAUSS, le 27 juin 1974, lors de son discours de réception à l’Académie française.
Je dédie cette citation à un imbécile notoire qui s’appelle Pascal CHERKI et se trouve être (momentanément je l’espère) député socialiste de PARIS. Les commentaires vous éclaireront sur les raisons de pointer d’un doigt excédé les idéologues dont les poisons, fort heureusement, sont en train d’achever l’idéologie destructrice qu’est le socialisme contemporain (j’insiste sur l’adjectif).
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2. Commentaires.
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Je ne sais pas si Alain FINKIELKRAUT a pensé à ce qu’avait dit avant lui RENAN, et cité avant lui Claude LEVI-STRAUSS, lorsqu’il a, à son tour, prononcé il y a peu son discours de réception parmi les Immortels. Mais il aurait pu se prévaloir de ses glorieux prédécesseurs et nous n’en aurions certes pas voulu à ce philosophe aussi talentueux que modeste qu’il rappelle cette vérité : le réel se venge toujours de l’utopie.

Figurez-vous que monsieur Pascal CHERKI, député socialiste au talent assez menu quoique tapageur a osé dire ceci (en gras ci-dessous), que l’on retrouve cité dans un Flash Actu du Figaro, publié le 29 janvier à 16 h 41, sous la plume de Jules PECNARD :

"Il semble que la nomination d'Alain FINKIELKRAUT à l'Académie française n'ait pas fini de faire des vagues. L'événement a le mérite de ne laisser personne indifférent, y compris les politiques. Interrogé sur LCP au sujet de l'écrivain conservateur, le député PS de Paris Pascal CHERKI a déclaré que s'il n'était pas juif, «il serait un des porte-paroles du Front national». «Je ne suis pas adepte de sa philosophie réactionnaire», a ajouté l'élu frondeur.
Le député proche de Martine AUBRY reconnaît tout de même avoir lu dans sa jeunesse un des ouvrages du philosophe, L'avenir d'une négation, «qui est un très beau livre sur ce qu'est le sentiment d'être juif. Depuis, je trouve que M. Finkielkraut a dérivé», juge-t-il. S'agissant de l'identité nationale, Pascal CHERKI estime ne pas y mettre «les mêmes mots que M. FINKIELKRAUT». «Je suis moi-même juif et je ne me reconnais pas dans cette philosophie réactionnaire. Je suis plutôt un héritier des Lumières, et pour moi les Lumières ça émancipe, ça ne divise pas les gens», poursuit le député."

On croit rêver quand on entend cet homme affirmer que les Lumières à la sauce socialiste, dont il est une petite et très tremblotante flamme, ne clivent pas ! On croit rêver quand on entend ça : des centaines de milliers de personne dans la rue pour combattre les lois sociétales iniques du mariage pour tous, de la GPAet de la PMA, des policiers par centaines qui contestent la politique pénale de l’ex-Garde des Sceaux, sous les fenêtres même dudit Garde, Place Vendôme, des enseignants qui se dressent vent debout contre la réforme du Collège, des éleveurs au bord de la ruine qui crient au secours sans que les pouvoirs publics réagissent pour mettre fin aux abus des grandes surfaces, des maires qui protestent contre la réduction drastique des dotations de l’Etat sans que celui-ci procède à la moindre diminution des dépenses publiques (au contraire !), des habitants (à CALAIS mais ailleurs aussi) excédés par la chienlit, les agressions, les insultes et les comportements de nombre de « migrants », tout cela ne serait pas clivant ?
Mais il y a une cerise sur le gâteau : c’est la référence à l’origine juive d’Alain FINKIELKRAUT et à la propre origine juive de monsieur CHERKI qui achève de démontrer la schizophrénie qui, comme son nom l’indique, clive le cerveau socialiste. On ne peut faire référence à l’origine ethnique quand il s’agit de concitoyens d’origine arabe ou africaine, on ignore les profanations quotidiennes des églises, des cimetières, des calvaires chrétiens, mais par un miracle sémantique extraordinaire, il est possible de faire allusion à des origines juives sans que ladite allusion soulève de protestations ? Qui est le raciste dans l’histoire ? Monsieur CHERKI ou monsieur FINKIELKRAUT ?

Le socialisme de monsieur HOLLANDE n’est en rien le socialisme de JAURES, sans parler de celui de BARBUSSE. Le socialisme de monsieur HOLLANDE et de ses affidés consiste à faire passer dans la société française, de force, et sans égard pour son histoire, ses sentiments, ses attachements, les idées mondialisantes, marchandes, abstraites, propres à rassurer le petit nombre des puissants qui, aux Etats-Unis et sans doute ailleurs, ont formé le projet de réduire le monde à un marché unique, égalitaire, dépourvu de toute substance charnelle.

Un jour viendra, et plus proche qu’on ne le pense sans doute, où les Pascal CHERKI et les Martine AUBRY et les TAUBIRA, les HOLLANDE et les autres seront les honnis de notre histoire. Un jour viendra où les démodés que nous sommes verront fleurir les vérités qu’ils ont défendues, au prix souvent de leur réputation, quand ce n’était pas de leur honneur. Pascal CHERKI est un nul, un archinul qui se prend pour une pythie. Qu’il se taise, lui, et non point Alain FINKIELKRAUT qui respire sur des cimes inconnues des nains.

En somme, le cerveau d’un socialiste est fait de telle manière que toute contestation des idées, des projets, des propos qui en émane est perçu comme réactionnaire, conservateur, ultra, intégriste. Je dis, moi, que ce sont ces cerveaux-là qui ont besoin d’un électrochoc.


Portraits de messieurs FINKIELKRAUT et CHERKI (site du Figaro).




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3. Informations diverses.
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Une vidéo censurée sur France 2 ?

Il semblerait que l'interview du Pr CHOUARD ait été censurée sur France 2. Essayez de chercher cette interview. J'ai un lien que je vous donne sous réserve :





vendredi 29 janvier 2016

29 janvier 2016. Nouvelles de la Résistance. Mgr Aillet répond à Marisol et ne lui envoie pas dire !

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Différents sites ont reproduit la réponse de Mgr AILLET à madame Marisol TOURAINE. Voici ce texte et ses commentaires tirés du site Riposte catholique :

"Agressé successivement par un député hier et par le ministre de la « santé » Marisol Touraine, Mgr Marc Aillet a vigoureusement réagi en publiant un communiquant qui a le mérite d’être clair :

« Ouvrons nos yeux pour voir les misères du monde, les blessures de tant de frères et sœurs privés de dignité, et sentons-nous appelés à entendre leur cri qui appelle à l’aide. Que nos mains serrent leurs mains et les attirent vers nous afin qu’ils sentent la chaleur de notre présence, de l’amitié et de la fraternité. Que leur cri devienne le nôtre et qu’ensemble, nous puissions briser la barrière d’indifférence qui règne souvent en souveraine pour cacher l’hypocrisie et l’égoïsme. » (Pape François, extrait de la Bulle d’indiction de l’Année Sainte de la Miséricorde)

Alors que le gouvernement amorce de nouvelles mesures pour faciliter l’accès à l’avortement, nous appelons de nos vœux que ce débat, trop longtemps ostracisé, caricaturé, voire interdit, soit ouvert à nouveau. Parce qu’il engage l’avenir de notre pays dans une logique que le pape François appelle la « culture du déchet », ce combat assumé et mené par la classe politique doit être interrogé honnêtement, sans devenir un tabou social dont même les dérives ne peuvent être soumises à la critique.
Il est en effet surprenant de constater la vigueur avec laquelle le gouvernement engage de nombreux moyens pour faire taire –non seulement le délai de réflexion légal pour les femmes- mais la réflexion autour de l’avortement elle-même, à grand renfort de campagnes médiatiques et aux frais du contribuable.
Nous regrettons que dans ce débat les premiers acteurs de l’acte d’avortement, les femmes, soient souvent trop peu écoutées, au profit d’un « combat pour les droits des femmes » fréquemment instrumentalisé. Il est tout autant regrettable de constater que la violence des propos dont on accuse régulièrement les défenseurs de la vie n’est que la pâle expression de la violence –occultée mais bien réelle et physique- vécue par les enfants à naître et leur mère à l’occasion d’un acte d’avortement. Violence létale pour les premiers, et conséquences souvent dramatiques pour les secondes dont les issues psychologiques voire physiques ne sont malheureusement pas assez prises en considération.
« Le droit à disposer de son corps », dont la ministre de la santé madame Marisol Touraine a fait état à l’occasion de ses vœux du 25 janvier dernier, ne suffit plus pour justifier cette politique mortifère. Il est acquis pour la science et le bon sens que l’enfant dans le ventre de sa mère est l’hôte de ce corps dont il ne partage pas le code génétique, dès ses premiers instants de vie. A ce titre, ce même droit à disposer de son corps doit pouvoir lui être accordé avec d’autant plus de rigueur qu’il est le plus faible et le plus petit d’entre nous. A l’heure où le monde et notre pays sont marqués par des drames terribles, quelle société peut prétendre faire l’impasse sur la défense des plus faibles et des plus fragiles d’entre les siens ?
Nous disons notre refus d’opposer dans ce débat le droit des femmes et le droit des enfants. A la suite du pape François qui disait à l’occasion de ses vœux au Corps diplomatique en 2014 : « la seule pensée que des enfants ne pourront jamais voir la lumière, victimes de l’avortement, nous fait horreur », nous appelons au droit à la vie pour tous, de la conception à la mort naturelle. Et au droit à l’avis.
+ Marc Aillet Évêque de Bayonne, Lescar et Oloron
« Et je ressens quelque chose que je voudrais partager avec vous. Le plus grand destructeur de la paix, aujourd’hui, est le crime commis contre l’innocent enfant à naître. Si une mère peut tuer son propre enfant, dans son propre sein, qu’est-ce qui nous empêche, à vous et à moi, de nous entretuer les uns les autres ? […] Car l’enfant est le plus beau présent de Dieu à une famille, à un pays et au monde entier. Dieu vous bénisse !» (MèreTeresa, Discours à Oslo lors de la remise de son Prix Nobel)

Ajoutons qu’un député, Jacques Bompard, a pris la défense de l’évêque de Bayonne en écrivant à Marisol Touraine."
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Voici mes remarques

L'aveuglement de ces ministres qui ne voient que leur intérêt électoral et les intérêts de leur clique est désolant. Ils n'ont que le mot solidarité, partage, égalité à la bouche. Mais quand il s'agit d'être solidaire d'un futur petit d'homme, quand il s'agit de partager entre la mère, le père et l'enfant, et quand il s'agit de considérer que le futur petit d'homme doit être mis à égalité avec les adultes faits, alors tout leur beau système s'écroule. Il faut bien comprendre que s'ils font de l'avortement un droit, ils considèrent que ni l'embryon ni le foetus en son début ne sont des êtres humains, tout au plus des amas de cellules. A cet égard, ils rejoignent une position païenne antique, celle des stoïciens qui considéraient que l'âme n'est infusé en l'homme qu'après qu'il a poussé son premier cri. eux vont plus loin : il n'y a pas d'âme du tout, et la vie humaine ne dépend que du bon vouloir de celui qui a pouvoir de la supprimer ou de l'entretenir. 

jeudi 28 janvier 2016

28 janvier 2016. Nouvelles de la Résistance. Enfin une bonne nouvelle !

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Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté
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1. La citation du jour.
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La démission de madame TAUBIRA est l’occasion rêvée de rappeler aux lecteurs qui me font l’honneur et l’amitié de suivre ce Blog, ce passage du Livre de la piété filiale, le Xiào Jīng, élément essentiel des textes canoniques confucéens. Ce n’est pas par pédanterie mal placée qu’il est donné en chinois. Quelques lecteurs de l’Empire du Milieu parviennent parfois à accéder à ce Blog.

Xiào Jīng, chapitre Sān ćai ;


曾子曰:「甚哉,孝之大也!」子曰:「夫孝,天之經也,地之義也,民之行也。天地之經,而民是則之。則天之明,因地之利,以順天下。是以其教不肅而成,其政不嚴而治。先王見教之可以化民也,是故先之以博愛,而民莫遺其親,陳之德義,而民興行。先之以敬讓,而民不爭;導之以禮樂,而民和;示之以好惡,而民知禁。》云:『赫赫師尹,民具爾瞻。』」


Traduction du passage par le Pr CHENG lors de la leçon du 21 janvier 2016 dispensée au Collège de France ; votre serviteur a choisi les caractères chinois utiles à la compréhension :

"ZENG Zi s’écrit : Ah, comme elle est illimitée la grandeur de la piété filiale ! Le Maître dit : en effet, la piété filiale, c’est ce qui fait le jīng () la constance du Ciel. La piété filiale, c’est le sens du juste de la terre ((yì dì ) et la bonne conduite du peuple (mín xíng, 民 ). Ce qui fait la constance du Ciel-Terre (tiān dì,  ), les hommes le prennent comme modèle. Ils prennent modèle sur la lumière venue du Ciel, ils s’adaptent au bienfait de la terre de façon à être dans le mouvement de ce qui est sous le Ciel (tiān xià,  ) . C’est ainsi que les instructions [sous-entendu : des souverains, des rois de l’Antiquité] n’ont pas besoin d’êtres sévères pour être appliquées et que leur gouvernement n’a pas besoin d’être intransigeant pour que l’ordre règne. Les anciens rois (xiān wáng,  ) voyant la capacité de leurs instructions à transformer les hommes en conséquence donnèrent la priorité à l’extension de leur bienveillance, et il ne se trouva personne pour abandonner ses parents. De la même façon, ils montrèrent aux hommes la vertu et le sens du juste et le peuple s’activa à les pratiquer. Ils mirent en avant le respect et la courtoisie et les hommes ne furent pas tentés de se battre entre eux [de rivaliser entre eux]. Ils les guidèrent par les rites et la musique, et le peuple resta dans l’harmonie (hé mù,  ) et la concorde. Ils leur firent voir le bon et le mauvais et le peuple comprit (zhī, ) la raison des interdits (jìn , ) [de ce qui était prohibé]."
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2.Commentaires.
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La démission de madame TAUBIRA est la première bonne nouvelle du calamiteux quinquennat de monsieur HOLLANDE. L'ex-Garde des Sceaux  aurait dû lire ce passage du Livre de la piété filiale avant d'imposer à notre pays des lois sociétales iniques et des directives permettant aux délinquants et aux criminels d'échapper aux conséquences de leurs actes. Son passage hélas beaucoup trop long a été un désastre pour l'image de la justice, pour la justice elle-même et pour l'unité de notre patrie.

La citation nous dit que le fondement de l'ordre social et politique est la piété filiale, c'est-à-dire la vénération et l'aide que les enfants doivent apporter à leur père et à leur mère, surtout quand ceux-ci vont sur leurs vieux jours. On voit mal comment un enfant ayant deux "pères" ou deux "mères" pourraient leur rendre ce que le Ciel et la Terre (la loi naturelle) exigent d'eux. Le Ciel-Terre  est cette entité qui considère que l'enfant est le fruit de l'union d'un homme et d'une femme (comme le prouvent à l'envi les textes ritualistes comme le Traité des rites). Cette piété filiale est le juste retour que les enfants portés dans les bras de leur mère, et éduqués par leurs père et mère au moment de leur venue au monde, doivent à ceux-ci quand ils sont parvenus à l'âge adulte.
Il est intéressant de voir que des Princes vertueux n'ont pas besoin de sévérité et de lois pour que l'ordre règne. Il leur suffit de donner l'exemple au peuple (on peut aussi entendre aux hommes). L'ordre règne-t-il dans notre patrie, à CALAIS, à la GRANDE-SYNTHE, à MARSEILLE (endroits tous symboliques où l'on s'étripe mutuellement dans l'allégresse des médias qu'ils fournissent en copie et l'indifférence de la société tant qu'elle n'est pas atteinte dans ses commodités quotidiennes). L'ordre règne-t-il en BRETAGNE, à Notre-Dame des LANDES, à PARIS où de multiples grognes conduisent des citoyens à exprimer leurs révoltes par la violence ? Croyez-vous que des nouvelles comme celles dont le Canard Enchaîné (voir ci-dessous) nous fait connaître sont de nature à contribuer à l'ordre social ?
Il est clair que quand on ne croit ni à Dieu ni à l'idée même d'une nature (ce que les anciens Chinois appelaient le Ciel-Terre ; nous devons être prudent dans la compréhension que nous pouvons avoir de ce concept très riche, et très complexe), il y a peu de chances qu'il en résulte un comportement social généreux, une entraide citoyenne, et un respect de l'environnement. Ces vertus ne peuvent se développer que si elles s'appuient sur la Vérité et sur l'exemple.



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3. Informations diverses.
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Mensonges en Rafales !

Je croyais naïvement, et la presse aux ordres nous l'avait fait savoir à grand son de trompe, que nous avions VRAIMENT vendu 36 avions Rafales à l'Inde. Il n'en était rien. Il faut encore négocier. Normal Ier et ses acolytes des médias ont menti. Pendant ce temps, les RUSSES, eux, on vraiment vendu plus d'une centaine d'avions de combat à ce grand pays (qui, en 2020, devrait être plus peuplé que la Chine).
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Pot de départ de madame TAUBIRA hier soir, avec La Manif Pour Tous (photos du Salon beige).









mercredi 27 janvier 2016

27 janvier 2016. Nouvelles de la Résistance. En agonie jusqu'à la fin des temps !

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Je prie mes lecteurs habituels d'excuser un silence de trois jours ! J'ai omis de mentionner dans mon dernier billet que je m'absentais.

Que cela n'empêche pas de rappeler notre devise :

Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté
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La citation du jour.
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La citation du jour est extraite d'un article de Christian VANNESTE paru sur le site POING de vue.

"Le camp “humanitaire” de réfugiés de Grande-Synthe, commune située à une dizaine de km de Dunkerque, est devenu une “jungle” bis, une sorte de zone de non droit ou plutôt où le droit du plus fort s’impose, un droit islamique… L’information qu’a publiée le blog protestant Le bon combat est tout à fait effarante. Ne vous attendez évidemment pas à en entendre parler dans les journaux de la große presse ou de la télévision… Voici des extraits du post du 18 janvier…

Notre frère Daniel O. nous rapporte de terribles nouvelles de la situation des migrants dans nord de la France. Les chrétiens iraniens subissent des persécutions de la part des réfugiés musulmans. Deux pasteurs nous font part des conditions suivantes, au travers de deux courriels récents. Voici le premier courriel, d’un premier pasteur : « Nous avons  fait, à la demande des migrants iraniens, une réunion spéciale cet après midi à l’Église. Ils étaient une vingtaine de jeunes hommes. Attentifs et ouverts, plusieurs ont répondu à l’appel et 3 d’entre eux souhaitent être baptisés en nous expliquant que ça n’était pas possible en Iran. Nous confirmons que les chrétiens sont malmenés sur le site de Grande-Synthe où la majorité des migrants est musulmane. Un jeune chrétien  a eu le nez cassé, un autre a reçu 2 coups de couteau, et un autre encore après avoir été maltraité est introuvable. On a juste retrouvé quelques unes de ses affaires. Qu’est il devenu ?  [Il a été retrouvé mort après l’envoi de ce mail ; il a été assassiné] […] Voici le deuxième mail : « La situation des migrants chrétiens de Grande-Synthe est préoccupante et devient particulièrement critique. Nous avons dû prendre la décision, hier soir de loger une quinzaine d’entre eux, dans les locaux de l’Église. Car ils ont étés malmenés la nuit de lundi à mardi et plusieurs ont reçus des coups de couteaux… L’un d’eux a été tué la semaine passée aux abords du camp… Durant ces quinze derniers jours, plusieurs chrétiens de l’Église ont puisé sur leurs propres fonds pour les loger à l’hôtel ; mais cette solution ne peut être reconduite, (près de 800 € en moins de quinze jours ». C’est dans ce camp de Grande-Synthe (Dunkerque) que notre frère iranien a été assassiné pour sa foi. Je n’ai rien trouvé à ce sujet dans les médias. Ce sont des islamistes mafieux qui ont pris en otage le camp, négocient les passages en Angleterre et font même payer pour l’accès aux douches installées par la municipalité. Et dans ce camp on assassine en toute impunité les musulmans qui veulent bénéficier de la liberté de conscience et devenir chrétiens parce que, soi disant, le Coran l’interdit."
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2. Commentaires.
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On ne commente pas l'horreur !
Mais peut-être peut-on rappeler aux pouvoirs publics leur devoir. 
Et rappeler de nouveau ce que disait PASCAL : le Christ est en agonie jusqu'à la fin des temps (je cite de mémoire).
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3. Informations diverses.
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Je ne crois pas que la publication du livre de monsieur SARKOZY soit une véritable information. Je mentionne simplement que l'ancien président est un parjure puisqu'il revient sur la promesse qu'il avait faite d'abroger la loi TAUBIRA au cas où il serait élu.

samedi 23 janvier 2016

23 janvier 2016. Nouvelles de la Résistance. Un nouveau mode verbal : l'embrouillaminatif !

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Ce n’est pas l’ignorance qui nous empêche d’être vrai, c’est la lâcheté !

Et du courage il nous en faut aujourd’hui pour exprimer un certain nombre de vérités !
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1. Les citations du jour.
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Décidément, la sagesse de LA BRUYÈRE est inépuisable. Voici deux aphorismes tirés de ses Caractères qui me semblent devoir s’appliquer à d’assez nombreuses situations présentes.

(a) "L’incivilité n’est pas un vice de l’âme, elle est l’effet de plusieurs vices : de la sotte vanité, de l’ignorance de ses devoirs, de la paresse, de la stupidité, de la distraction, du mépris des autres, de la jalousie. Pour ne se répandre que sur les dehors, elle n’en est que plus haïssable, parce que c’est toujours un défaut visible et manifeste. Il est vrai cependant qu’il offense plus ou moins, selon la cause qui le produit."
Section DE L’HOMME, N°8.

(b) "L’on voit des gens qui, dans les conversations ou dans le peu de commerce que l’on a avec eux, vous dégoûtent par leurs ridicules expressions, par la nouveauté, et j’ose dire par l’impropriété des termes dont ils se servent, comme par l’alliance de certains mots qui ne se rencontrent ensemble que dans leur bouche, et à qui ils font signifier des chose mais leur bizarre génie, que l’envie de toujours plaisanter, et peut-être de briller, tourne insensiblement à un jargon qui leur est propre, et qui devient enfin leur idiome naturel ; ils accompagnent un langage si extravagant d’un geste affecté et d’une prononciation qui est contrefaite. Tous sont contents d’eux-mêmes et de l’agrément de leur esprit, et l’on ne peut pas dire qu’ils en soient entièrement dénués ; mais on les plaint de ce peu qu’ils en ont ; et ce qui est pire, on en souffre."
Section DE LA SOCIETE ET DE LA CONVERSATION, N°6.
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2. Commentaires.
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(a) L’incivilité dont parle LA BRUYÈRE est, dans la langue classique, l’absence de courtoisie. À cet égard, une certaine Wiam BERHOUMA a fait preuve d’une telle grossièreté vis-à-vis d’Alain FINKIELKRAUT en lui intimant l’ordre de se taire pour le bien de la France, qu’on se demande lequel des vices énoncés par notre grand moraliste prédominait chez cette personne. Je suppose que c’est la jalousie. Le jour où un adepte de l’islam acceptera l’idée que Dieu a donné à l’homme la raison pour qu’il s’en serve et que de ce point de vue il ne peut pas tromper sa créature, peut-être sera-t-il possible de dialoguer vraiment avec le susdit adepte Mais ce n’est pas le cas. Ce que madame BERHOUMA refuse, c’est que l’on applique la raison à l’examen de la doctrine de l’islam. Le faire est être islamophobe. Je suis désolé de dire que je ne marche pas dans ce type d’échange… Je trouve que l'intervention de cette personne nourrit, hélas, l'islamophobie qu'elle dénonce avec tant de véhémence, et apporte la preuve que c'est le ressentiment nietzschéen qui est au fondement de sa diatribe.

(b) Si vous avez compris quelque chose au projet de déchéance de nationalité qui s’appliquerait aux binationaux nés français, faites-le moi savoir ! Car c’est une telle cacophonie, à droite comme à gauche, un tel mélange de genre, que l’on n’y comprend plus rien. Monsieur HOLLANDE s'est pris les pieds dans le tapis, alors que l'idée, il faut le souligner, est juste. Dans le tapis en effet, au point que je viens d’inventer une nouveau mode verbal celui de l’embrouillaminatif et le temps qui lui convient, celui de parfait. Mon amie Françoise va être contente.
Il me paraît normal de sanctionner tous les comportements des Français qui se lèvent contre les intérêts de leur patrie. Mais alors il faut être juste. Le terrorisme est le mode violent de cette opposition, sans aucun doute. Mais que dire du mode doucereux qui consiste à aller planquer ses sous dans des paradis fiscaux pour échapper au fisc ? N’est-ce pas aller aussi contre les intérêts de sa patrie ? De ceux-là on n’en parle guère, or ils sont nombreux. De sorte qu’à TOUS ces comportements qui se dressent contre la France, il me paraît nécessaire en effet de sévir : ce peut être la déchéance de nationalité mais aussi l’indignité nationale et la privation définitive de ses droits civiques.
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3. Informations diverses.
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A propos du no limit, un article publié sur le site de Liberté politique, par François BILLOT de LOCHNER (en tout cas je le suppose).

"Les nouveaux « philosophes », ou plutôt « idéosophes » du politiquement correct ont trouvé leur nouveau slogan : No limit, dont le sens  est d'une grande simplicité : il doit n'exister ni barrière, ni contrainte, ni limitation d'aucune sorte à ce qu'ont envie de dire ou de faire chaque individu, chaque communauté, chaque société. Il s'agit de la théorie du « tout est possible-tout est permis ». Quiconque essaye d'introduire une limite devient l'ennemi dangereux contre lequel il faut lutter.

Assez naturellement, les concepteurs de cette idéologie sont pris à leur propre piège. En effet, déclarer la guerre à ceux qui proposent des limites consiste, ni plus ni moins, à réduire ou interdire que ces derniers pensent ou agissent librement. Ainsi, une minorité agissante entend imposer à tous des limites au nom du « no limit ». Cela aboutit mécaniquement à la dictature du politiquement correct que nous vivons actuellement.
Ainsi, la classe politique de gouvernement ne cesse de proclamer son attachement illimité aux valeurs démocratiques, mais refuse avec constance le référendum d'initiative populaire : elle limite donc à son gré le jeu démocratique, ce qui lui permet d’enfoncer le pays dans une déconstruction planifiée. Elle n'a cessé de justifier les déficits publics annuels, sans jamais en définir la limite tolérable : il en résulte que la France est en cessation de paiement. Elle a mis en oeuvre une politique d'éducation nationale permettant l'expression sans limite du corps professoral : jamais les connaissances et les capacités de raisonnement des élèves n'ont été aussi conditionnées et limitées. Elle autorise une jouissance individuelle sans limite, ne devant faire l'objet d'aucune répression : la pornographie, la drogue, la licence sexuelle, la violence enferment désormais une partie de la jeunesse dans un goulag bien verrouillé.
En réalité, les individus et les sociétés ne peuvent s'épanouir qu'à l'intérieur de limites admises par chacun et par tous. Refuser toute limite conduit à la catastrophe.
 Or, l'idéologie du « No limit » cloisonne, réduit, emprisonne. Elle favorise la destruction méthodique des principes et valeurs offrant un cadre permettant aux individus de se construire dans les meilleures conditions personnelles et sociétales, et, de cette façon, annihile leur autonomie et leur capacité personnelle. La reconstruction de la France passera donc nécessairement par la remise en perspective de limites, et donc par la déconstruction de l'idéologie mortifère d’un « No limit » oppresseur."
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Journée pour la vie aux Etats-Unis (via le Salon beige).



vendredi 22 janvier 2016

22 janvier 2016. Nouvelles de la Résistance.Est-il trop tard pour réformer les institutions ?

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Devant l'accumulation de tant de mensonges et d'incapacités, plus que jamais, il est nécessaire de se dire que 

Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté !
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1. La citation du jour.
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Encore BERNANOS, allez-vous dire ! Je n’y peux rien si je trouve dans ses livres des vues profondes et prophétiques.

"Demain ce sera plus simple encore. Si simple qu’on ne pourra plus rien écrire sur le malheur des hommes dont les causes immédiates décourageront l’analyse. Les premiers symptômes d’une maladie mortelle fournissent au professeur le sujet de brillantes leçons, Mais toutes les maladies mortelles présentent le même phénomène ultime, l’arrêt du cœur. Il n’y a pas grand-chose à dire là-dessus. Votre société ne mourra pas autrement. Vous discuterez encore des « pourquoi » et des « comment », et déjà les artères ne battront plus. L’image me semble juste, car la réforme des institutions vient trop tard lorsque la déception des peuples est devenue irréparable, lorsque le cœur des peuples est brisé."
In
Georges BERNANOS.
Les grands cimetières sous la lune. (Collection "Points". Série Témoignage. N°P91.)
Librairie Plon, Paris, 1995.
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2. Commentaires.
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La réforme des institutions vient trop tard en effet. Je n’ignore pas que le texte de BERNANOS a été écrit à propos de la guerre civile espagnole. Mais avec elle, avec le nazisme, avec le fascisme, s’annonçaient les actuels désastres. On imaginait qu’il suffisait de créer un grand machin, l’Europe à 28 membres, dont les nations constituantes parlent plus d’une quinzaine de langues différentes, pour combattre les antagonismes, les haines internationales (dont la France hélas, avec Napoléon, a été l’une des principales pourvoyeuses), les éteindre ainsi à tout jamais. La machin en question s’occupe de tout, sauf de l’essentiel ; le parlement européen est une pétaudière où l’on se dispute les bonnes places et où les lobbies LGBT, pro-IVG, homosexualistes tiennent le haut du pavée et la dragée haute à des peuples qui ne veulent pas de leurs folies.
On désigne du doigt la POLOGNE, en fait on fait désigner du doigt la POLOGNE par monsieur Donald TUSK, polonais, Président du Conseil européen, parce que son parti a été battu à plate couture par un parti plus conservateur, soucieux de maintenir à la POLOGNE une souveraineté si souvent malmenée au cours de sa longue histoire. On fait aussi un procès à monsieur Viktor ORBAN qui, pour les mêmes raisons et avec les mêmes choix politiques entend que charbonnier soit maître chez lui.
Ne parlons pas de l’inénarrable monsieur Jean-Claude JUNCKER, Président de la Commission européenne qui ignore totalement qu’il existe dans les patries constituant l’Europe un légitime sentiment national ; vous verrez que lui et ses acolytes parviendront à faire interdire la production de fromages fermentés, de foie gras, mais autorisera l’extension des vignobles qui viendront concurrencer nos propres productions. Cet homme a le droit de ne pas aimer la France ; il n’a pas le droit de transcrire dans son action politique cette inimitié. Partisan du mondialisme, il est parvenu à obliger les états membres à accueillir sans contrôle de centaines de milliers de personnes en provenance de Syrie, d’Irak, d’Afghanistan, d’Erythrée et des pays d’Afrique du Nord dont tous ne sont pas en détresse, mais cherchent la bonne occasion de profiter du système. Il me semble qu’il ne doit pas être difficile de faire la différence entre une famille comprenant une maman, des enfants et un papa et des jeunes en pleine force de l’âge, célibataire (hélas, car on a vu ce que la continence forcée peut donner, à COLOGNE ou ailleurs), et qui devraient défendre la liberté de leur propre pays.
Désolé, mais je ne marche pas dans ce grands bazar. Il y a eu quantités d’erreurs dans ce beau projet, la première a été l’élargissement de l’Europe, notamment à la Grande-Bretagne et aux pays de l’Europe orientale, la seconde de créer une passoire à gros trous qui s’appelle l’espace SCHENGEN. Combien de morts encore avant qu’on supprime cette idiotie ? (Elle n'avait pas lieu d'être quand l'Europe était l'Europe ; l'Europe est morte, hélas ! Et je porte le deuil d'une belle disparue)

3. Informations diverses.
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Toutes les études sur les enfants élevés par des homosexuels sont invalides
C'est un pavé dans la mare du lobby LGBT qu'envoie le docteur Pierre Lévy-Soussan, psychiatre, psychanalyste et auteur de "Destins de l'adoption", invité de l'émission "Le Rendez-vous santé" sur LCI.
Vous ne serez pas étonnés d'apprendre que cette séquence a été supprimée et qu'il n'est plus possible de la voir sur le site LCI. Heureusement le Salon beige a gardé copie de cette séquence caviardée ! La voici. Au cas où l'image disparaîtrait, voici le lien :

https://youtu.be/gMwTifuGSRs

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Accueil de monsieur CAZENEUVE par La Manif Pour Tous à BLOIS.








jeudi 21 janvier 2016

21 janvier 2016. Nouvelles de la Résistance. A la mémoire de Louis XVI, en l'honneur de la vérité !

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Non à tous les mensonges des jacobins !
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La citation du jour.
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Il y a 223 ans, Louis XVI était assassiné par une bande de fanatiques. Voici un extrait du livre d'un témoin, un homme qui fut fidèle à ses engagements :

"La secte (jacobine) avance vers la consommation de ses mystères. Mais ce Louis qui fut Roi existe encore... Il faut... des vengeances réelles. ROBESPIERRE s'avance : laissons-le là avec tous ses bourreaux ; il n'est que la bête féroce lâché par la secte. Ce n'est point lui, c'est elle qui dévore Louis XVI ; et dans Louis nous distinguons la victime que la secte poursuit. Ce n'est point sa personne qu'elle hait ; les jacobins eux-mêmes auraient aimé et révéré Louis XVI, s'il n'eût été roi. Ils font tomber sa tête, comme ils abattent les statues du bon, du grand Henri : il n'a point d'autre titre à leur haine. Il fut Roi, et il faut que tout ce qui annonce qu'il exista des Rois et que tous leurs monuments, que tous leurs emblèmes soient livrés à la hache. Ce n'est pas à Louis, c'est à la Royauté qu'ils ont fait cette guerre de Vandales. Ils ont dit Louis XVI un tyran ! Ils le disent encore, mais ils savent très bien dans quel sens ils l'entendent. Ils le disent, comme tous leurs sophistes disaient tout Roi tyran. Ils le savent : Louis XVI pendant dix-neuf ans de règne, a écrit bien des lettres de grâce, il n'a pas signé la mort d'un seul homme ; et ce n'est pas là le règne d'un tyran ; Louis XVI ne s'est annoncé Roi, qu'en commençant par sacrifier à ses sujets le tribut de son avènement à la Couronne. Il abolit en faveur de son peuple l'usage des corvées ; en faveur des coupables eux-mêmes ou de tout accusé, l'usage des tortures ; ce ne sont pas là les édits d'un tyran. Ils l'ont vu encore abandonner à ses sujets tous les droits féodaux de ses domaines, afin d'obtenir par l'exemple en faveur de son peuple, ce que la justice [note du transcripteur : le pouvoir judiciaire] et le droit des propriétés ne lui permettaient pas de requérir par voie d'autorité. Ils le savent, Louis XVI n'a aucun de ces vices onéreux aux nations ; il est religieux ennemi de tout faste ; il est compatissant, généreux pour le pauvre ; ils l'ont vu ouvrir tous ses trésors pour rechausser, vêtir, nourrir l'indigence, et lui porter lui-même les secours dans les chaumières. Ils ont vu jusqu'à ce monument que les pauvres roulant, pressant la neige en pyramide, élevèrent à Louis XVI adoucissant pour eux la rigueur des hivers ; et ils le savent bien, ce n'est pas en l'honneur des tyrans que la reconnaissance du pauvre est tout à la fois si touchante et si industrieuse. Ils le disent et despote et tyran ; ils ne l'ignorent pas ; jamais Prince ne fut plus zélé pour ses devoirs, et ne fut moins jaloux de ses droits que Louis XVI. Il n'en connaissait qu'un, celui de la conscience et de l'amour. Si jamais il a pu parler en maître qui veut être obéi, c'est lorsque environné d'assassins, il disait tant de fois à ses gardes : S'il faut pour me sauver qu'une goutte de sang soit versée, je défends qu'on la verse."
In
Augustin BARRUEL.
Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme.
Publié à HAMBOURG, en 1799. Tome V, page 157.

Permettez enfin, Ô lecteurs attentifs de vous citer cet extrait du Testament de Louis XVI :

"Je pardonne de tout mon coeur à ceux qui se sont faits mes ennemis, sans que je leur en aie donné aucun sujet, et je prie Dieu de leur pardonner."

Il me semble qu'en ce jour de recueillement, il n'est point nécessaire d'ajouter quoi que ce soit à l'évidence. Demain, je commenterai ce drame.









mercredi 20 janvier 2016

20 janvier 2016. Nouvelles de la Résistance : avis aux sycophantes !

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Nous  n'avons pas, nous n'avons plus le droit d'ignorer et d'être lâches.

Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté. 

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1. La citation du jour.
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"Dans l’histoire de l’humanité, ceux qui ont su, dans le concert des louanges, discerner la crise étaient toujours les plus sages. La voix vulgaire des indolents ou des sycophantes est toujours noyée dans le nivellement de la moyenne. Une foule d’exemples le prouve : l’exploration des extrêmes est nettement plus susceptible de s’approcher de la vérité que le retranchement dans la stabilité. Ceux qui applaudissent et qui crient bravo tombent facilement au même niveau ou plus bas que leur objet d’admiration, alors que ceux qui distinguent les fissures et les scories dans la belle harmonie dépassent toujours leur objet."
Jean-Philippe BÉJA.
Présentation de la rédaction au texte de LIU Xiaobo intitulé « Crise ! La littérature de la nouvelle époque ».
In
LIU Xiaobo.
La philosophie du porc et autres essais. Collection Bleu de Chine.
Gallimard, Paris, 2011, page 58.
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2. Commentaires.
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Bien que cette présentation de Jean-Philippe BÉJA porte sur une critique radicale et serrée de la littérature chinoise contemporaine par LIU Xiaobo, il me semble qu’elle peut s’appliquer à tous ceux qui font profession d’écrire et tout spécialement les journalistes. Des indolents, il y en a dans cette profession ; ils sont tellement paresseux qu’ils ne prennent pas le temps de dénoncer les vices et les erreurs d’un système politique à bout de souffle. Des sycophantes (ou dénonciateurs, ou mouchards si l’on veut – je n’ose ici faire allusion à monsieur Laurent JOFFRIN…), prêts à dénoncer leurs adversaires politiques quitte à les injurier, à leur faire de faux procès, il en pleut des dizaines : que n’a-t-on pas dit d’Eric ZEMMOUR ? Sans parler de Sylvain GOUGENHEIM qui, documents à l’appui, montrait que les savants arabes n’avaient pas été les seuls à transmettre à l'Europe les auteurs grecs, mais que les moines du mont Saint-Michel y avaient eu une part très importante et qui, pour cela, s’est vu l’objet d’une campagne de pétition et de dénigrement de ses collègues ? Que ne dit-on pas de Michel ONFRAY (dont, je le redis, je n’approuve nullement les positions philosophiques) ? Que ne dit-on pas de Robert MÉNARD qui vient de répondre de manière brillante et inattaquable à 29 professeurs d’histoire de sa bonne ville de BÉZIERS qui lui faisaient un procès d’anti-laïcité ? Les journalistes stipendiés sont tombés plus bas que leur objet d’admiration en effet ; ils idolâtrent les éléphants socialistes, à la trompe desquels ils n’arrivent point (car certains d’eux ont du talent) ; pauvres thuriféraires de bien pauvres idoles !
Oui, ZEMMOUR, ONFRAY, MENARD, soulignent les fissures d’un système qui ne sait pas discerner, et accueille aveuglément aussi bien les migrants pourchassés et persécutés dans leur pays d’origine, que les parasites qui les accompagnent, sans compter les terroristes infiltrés. Je sais bien qu’il est difficile de distinguer le vrai du faux dans cette question. Du moins a-t-on non seulement le droit mais le devoir de signaler les dysfonctionnements de cette politique.
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3. Informations diverses.
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L'organisation sportive a effacé la mention "100% Jésus" du bandeau de la star brésilienne NEYMAR "par respect". Par respect envers qui ? NEYMAR ? Les millions de supporters chrétiens ?



De la part de gens dont les responsables ne se sont pas tous montrés irréprochables, c'est intolérable, et c'est contraire à la vérité. L'ombre du QATAR  et son argent ? Allez savoir ! En tout cas, je dis merde à ceux qui ont osé manipuler la photo.
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Messe pour le repos de l'âme du Roi Louis XVI (via le Salon beige).


La personne du Roi était constitutionnellement inviolable. Ils ont prétexté la fuite de Louis XVI à VARENNES, fuite motivée par les menaces qui pesaient sur sa famille et dont la suite a montré le bien-fondé, pour l'emprisonner, lui faire un procès injuste et l'assassiner ainsi que son épouse. Ils ont laissé mourir de tuberculose son fils, un adolescent de 17 ans, ils ont assassiné une des soeurs de Louis XVI... Mais les héritiers de ces bourreaux-là s'étranglent pour une peau saucisson dans une mosquée. Entendons-nous bien : je désapprouve le geste qui consiste à offenser des croyants ; mais je n'approuve pas les sanglots à sens unique ! Tous les jours en France, une église est vandalisée, profanée, voire incendiée ; ce ne semble pas émouvoir les frères de la rue Cadet ! Ce qu'ils dénoncent dans les folies de DAESH c'est ce qui jadis leur a permis d'être aujourd'hui au pouvoir et d'avoir la compassion unidirectionnelle. De grâce, qu'ils aient la pudeur de se taire ou de faire repentance.
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Note additionnelle.

Je répondrai par un billet détaillé aux comparaisons (à mon avis osées) qu'un ami de Facebook fait entre SALAZAR, FRANCO, PETAIN et l'actuel Président hongrois Viktor ORBAN.