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Ne nous laissons plus manipuler par les mensonges d'Etat !
Les élites se moquent du Peuple ; ils en sucent la moelle nourricière à leur seul profit ! Il n'est que temps de réagir : on parle du mariage des homosexuels, de l'euthanasie, de l'avortement, mais assez peu de ce Peuple qui souffre du chômage, d'une politique familiale désastreuse et du cynisme des dirigeants : ils n'ont que le mot solidarité à la bouche, mais ils ne sont pas fichus de loger nos propres sans-abris tout en trouvant des solutions miraculeuses pour loger les "réfugiés" et les "migrants", sans consulter les habitants des villages, bourgs et villes où ils ont décidé du haut de leur cathèdre de les propulser. Soyez patients ! Lisez tout.
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1. La citation du jour.
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Comment pourrait-on vous inventer cher Georges BERNANOS ? Impossible tant vous êtes inclassables !
"Les notaires, huissiers et
avocats qui ont fait la révolution de 1793 s’imaginaient qu’on pouvait remettre
indéfiniment la réalisation d’un programme aussi réduit. Ils croyaient qu’un
peuple, un vrai peuple, un peuple formé par mille ans d’histoire peut être mis
au frais dans la cave, en attendant mieux. « Occupons-nous des élites, on
verra plus tard. » Plus tard, il était trop tard. Dans la nouvelle maison
construite sur les plans du législateur romain, aucune place n’avait été prévue
pour le peuple de France. Il eût fallu tout jeter bas. Ce fait n’a rien de
surprenant. L’architecte libéral ne s’était pas plus préoccupé de loger son
prolétariat que l’architecte romain, ses esclaves. Seulement les esclaves ne
formaient qu’un ramas d’ilotes de toutes langues, de toutes nations, de toutes
classes, une part d’humanité sacrifiée, avilie, leur misérable tribu était une
œuvre des hommes. Au lieu que la Société moderne laisse se détruire lentement,
au fond de sa cave, une admirable création de la nature et de l’histoire. Vous
pouvez naturellement avoir une autre opinion que la mienne, je ne crois pas que
la monarchie eût laissé se déformer si gravement l’honnête visage de mon pays.
Nous avons eu des rois égoïstes, ambitieux, frivoles, quelques-uns méchants. Je
doute qu’une famille de princes français eût manqué de sens national au point
de permettre qu’une poignée de bourgeois ou de petits-bourgeois, d’hommes
d’affaires ou d’intellectuels, jacassant et gesticulant à l’avant-scène,
prétendissent tenir le rôle de la France, tandis que notre vieux peuple, si
fier, si sage, si sensible, devenait peu à peu cette masse anonyme qui
s’appelle : un prolétariat."
In
Georges BERNANOS.
Les grands cimetières sous la lune. (Collection
"Points". Série Témoignage. N°P91.)
Librairie Plon, Paris,
1995.
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2. Commentaires.
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Pour s’en occuper des élites, ils
s’en occupent : prébendes, honneurs, bonnes places, irresponsabilité
sociale, pénale et politique, tout est fait pour qu’une clique méprisante de
hauts fonctionnaires, d’élus issus de cette classe d’inutiles, imposent à notre
peuple ses lubies sociétales, ses vues qui ne reposent que sur le vent – lequel tourne, on
le sait, et fait tourner les lubies – à la seule fin de garder leurs avantages
et leurs privilèges.
Je sais, on va dire que je fais
de l’anti-élitisme primaire et l’on pourrait aussi me rétorquer que, à ma
modeste place de Professeur des Universités (à la retraite), on peut me ranger
au rang de ces profiteurs. Je suis cependant assez lucide pour reprendre à mon
compte ce que disait Louis PASTEUR, l’éponyme de la défunte Université à
laquelle j’ai eu l’honneur d’appartenir : « C’est l’homme qui honore
la fonction, non la fonction qui honore l’homme ». Quand je vois cet
apparat de gardes républicains en grande tenue présenter les armes à un homme
qui roule la nuit en scooter pour aller voir sa maîtresse, ou qui les a
présentées à un autre capable de dire « casse toi, pauv’ con » à un
concitoyen récalcitrant, je me dis que la fonction est fort peu honorée par ces
comportements.
Je ne me suis jamais permis de
délivrer un cours en blue jean et pull-over ; je portais systématiquement
un blazer bleu-marine, un pantalon gris et une cravate ; je n’aurais
jamais imaginé arriver en retard pour donner une leçon qui commençait
exactement quand l’aiguille de la pendule passait sur l’heure officielle à
laquelle je devais commencer (de sorte que jamais un étudiant ne se serait
permis d’arriver en retard, sauf cas de force majeure) ; et je mettais un
grand soin à n’utiliser qu’un langage dépourvu de toute vulgarité. Sans doute
sont-ce là de petites choses, mais je prends à témoin les étudiants qui m’ont
connu : ils confirmeront le respect que je leur portais, et les efforts
que je faisais pour être clair et pédagogique. Bien entendu, on dira que c’est
très orgueilleux de dire cela ; j’aurais pu faire mieux sans aucun doute,
du moins étais-je conscient de la dignité de la fonction, et surtout de mes
propres limites. Je n’avais point la science infuse, certes, ce qui m’obligeait
à un incessant travail de mise à jour. Comprenez-bien : je ne me pose pas
en exemple ; j’expose les soucis qui ont été les miens pendant que j’enseignais.
Et j’ai aujourd’hui la joie de compter
onze Professeurs des Universités, en France ou en Angleterre (les deux derniers
en date ont pour prénom Laurent et Philippe) parmi mes élèves. Ils sont ma
fierté ; ils justifient ma raison d’être ; je les admire et les
assure de mon affection. Et tous n’étaient pas nés avec une cuillère d’argent
dans la bouche, je vous l’affirme !
Mais le peuple, les élites s’en
moquent. Je vous reparlerai de la lettre que j’ai reçue de l’Association des
Maires de France après que j’eus envoyé une jolie carte de crèche à monsieur
BAROIN. C’est très exactement l’expression du mépris dans lequel ces élites
auto-proclamées tiennent le peuple.
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3. Informations diverses.
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Le 31 janvier 1794 : massacre de Mouchamps, « œuvre » des
colonnes infernales (via le Salon beige).
"La colonne infernale du général Cordelier arrivée à Mouchamps met le feu au
château et pendant l'incendie du château, massacre 200 personnes, au Parc
Soubise, sur la commune de Mouchamps, "en haine de la religion".
La colonne infernale Lachenay qui se dirige vers les Essarts, traverse Le
Boupère, commune pourtant réputée patriote, et y tue deux cents habitants ;
brûle le bourg et les fermes des environs ; puis fait de même à
Rochetrejoux. Elle atteint alors Mouchamps. Les troupes bleues atteignent la
cour du Parc-Soubise. Lachenay donne l'ordre d'incendier le château, d'aligner
deux cents personnes capturées en cours de route, et de les fusiller. (Elles l'ont été presque toutes.)
A la fin des années 50, une plaque commémorative a été posée et bénie par
monseigneur Cazaux, alors évêque de Luçon, en souvenir des martyrs qui furent
tués ici pour que règne la république en France."
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LMPT Italia connaît aussi des problèmes de comptage (idem.
"Des problèmes de comptage de la part des
médias français, en tout cas, qui annoncent tous en choeur (ils ont dû copier-coller
la même dépêche AFP) "des dizaines de milliers" de manifestants
aujourd'hui à Rome contre l'union civile ouvrant l’adoption aux couples de même
sexe, alors qu'un communiqué de La Manif Pour Tous
annonçait environ 2 millions de personnes. Les médias français sont brouillés
avec les chiffres et avec la réalité."
Vous aurez des comptes à rendre au Peuple, menteurs et manipulateurs ! Comme le montrent ces images, ils étaient en effet quelques dizaines de milliers... Quelle honte, quel tripatouillage de la réalité !