Plus que jamais, courage et vérité !
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1. La citation du jour.
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"Le moyen d’avoir raison
dans l’avenir est, à certaines heures, de savoir se résigner à être démodé."
In
Ernest RENAN.
Qu’est-ce qu’une nation ?
Cité par Claude LÉVI-STRAUSS, le
27 juin 1974, lors de son discours de réception à l’Académie française.
Je dédie cette citation à un
imbécile notoire qui s’appelle Pascal CHERKI et se trouve être (momentanément
je l’espère) député socialiste de PARIS. Les commentaires vous éclaireront sur les
raisons de pointer d’un doigt excédé les idéologues dont les poisons, fort
heureusement, sont en train d’achever l’idéologie destructrice qu’est le
socialisme contemporain (j’insiste sur l’adjectif).
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2. Commentaires.
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Je ne sais pas si Alain
FINKIELKRAUT a pensé à ce qu’avait dit avant lui RENAN, et cité avant lui Claude
LEVI-STRAUSS, lorsqu’il a, à son tour, prononcé il y a peu son discours de
réception parmi les Immortels. Mais il aurait pu se prévaloir de ses glorieux
prédécesseurs et nous n’en aurions certes pas voulu à ce philosophe aussi
talentueux que modeste qu’il rappelle cette vérité : le réel se venge
toujours de l’utopie.
Figurez-vous que monsieur Pascal
CHERKI, député socialiste au talent assez menu quoique tapageur a osé dire ceci
(en gras ci-dessous), que l’on
retrouve cité dans un Flash Actu du Figaro, publié le 29 janvier à 16 h 41,
sous la plume de Jules PECNARD :
"Il semble que la nomination d'Alain FINKIELKRAUT
à l'Académie française n'ait pas fini de faire des vagues.
L'événement a le mérite de ne laisser personne indifférent, y compris les
politiques. Interrogé sur LCP au sujet de l'écrivain conservateur, le député PS
de Paris Pascal CHERKI a déclaré que s'il n'était pas juif, «il serait un des porte-paroles du Front
national». «Je ne suis pas adepte de sa philosophie réactionnaire», a
ajouté l'élu frondeur.
Le député proche de
Martine AUBRY reconnaît tout de même avoir lu dans sa jeunesse un des ouvrages
du philosophe, L'avenir d'une négation, «qui est un très beau livre sur ce qu'est
le sentiment d'être juif. Depuis, je trouve que M. Finkielkraut a dérivé»,
juge-t-il. S'agissant de l'identité nationale, Pascal CHERKI estime ne pas y
mettre «les mêmes mots que M. FINKIELKRAUT».
«Je suis moi-même juif et je ne me reconnais pas dans cette philosophie
réactionnaire. Je suis plutôt un héritier des Lumières, et pour moi les
Lumières ça émancipe, ça ne divise pas les gens», poursuit le député."
On croit
rêver quand on entend cet homme affirmer que les Lumières à la sauce socialiste,
dont il est une petite et très tremblotante flamme, ne clivent pas ! On
croit rêver quand on entend ça : des centaines de milliers de personne
dans la rue pour combattre les lois sociétales iniques du mariage pour tous, de
la GPAet de la PMA, des policiers par centaines qui contestent la politique
pénale de l’ex-Garde des Sceaux, sous les fenêtres même dudit Garde, Place
Vendôme, des enseignants qui se dressent vent debout contre la réforme du
Collège, des éleveurs au bord de la ruine qui crient au secours sans que les
pouvoirs publics réagissent pour mettre fin aux abus des grandes surfaces, des
maires qui protestent contre la réduction drastique des dotations de l’Etat
sans que celui-ci procède à la moindre diminution des dépenses publiques (au
contraire !), des habitants (à CALAIS mais ailleurs aussi) excédés par la
chienlit, les agressions, les insultes et les comportements de nombre de « migrants »,
tout cela ne serait pas clivant ?
Mais il y
a une cerise sur le gâteau : c’est la référence à l’origine juive d’Alain
FINKIELKRAUT et à la propre origine juive de monsieur CHERKI qui achève de démontrer la
schizophrénie qui, comme son nom l’indique, clive le cerveau socialiste.
On ne peut faire référence à l’origine ethnique quand il s’agit de concitoyens
d’origine arabe ou africaine, on ignore les profanations quotidiennes des
églises, des cimetières, des calvaires chrétiens, mais par un miracle sémantique
extraordinaire, il est possible de faire allusion à des origines juives sans
que ladite allusion soulève de protestations ? Qui est le raciste dans l’histoire ?
Monsieur CHERKI ou monsieur FINKIELKRAUT ?
Le
socialisme de monsieur HOLLANDE n’est en rien le socialisme de JAURES, sans
parler de celui de BARBUSSE. Le socialisme de monsieur HOLLANDE et de ses
affidés consiste à faire passer dans la société française, de force, et sans
égard pour son histoire, ses sentiments, ses attachements, les idées
mondialisantes, marchandes, abstraites, propres à rassurer le petit nombre des
puissants qui, aux Etats-Unis et sans doute ailleurs, ont formé le projet de
réduire le monde à un marché unique, égalitaire, dépourvu de toute substance
charnelle.
Un jour
viendra, et plus proche qu’on ne le pense sans doute, où les Pascal CHERKI et
les Martine AUBRY et les TAUBIRA, les HOLLANDE et les autres seront les honnis
de notre histoire. Un jour viendra où les démodés que nous sommes verront
fleurir les vérités qu’ils ont défendues, au prix souvent de leur réputation,
quand ce n’était pas de leur honneur. Pascal CHERKI est un nul, un archinul qui
se prend pour une pythie. Qu’il se taise, lui, et non point Alain FINKIELKRAUT
qui respire sur des cimes inconnues des nains.
En somme,
le cerveau d’un socialiste est fait de telle manière que toute contestation des
idées, des projets, des propos qui en émane est perçu comme réactionnaire,
conservateur, ultra, intégriste. Je dis, moi, que ce sont ces cerveaux-là qui
ont besoin d’un électrochoc.
Portraits de messieurs FINKIELKRAUT et CHERKI (site du Figaro).
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3. Informations diverses.
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Une vidéo censurée sur France 2 ?
Il semblerait que l'interview du Pr CHOUARD ait été censurée sur France 2. Essayez de chercher cette interview. J'ai un lien que je vous donne sous réserve :
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