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Ce n’est pas l’ignorance qui nous empêche de devenir
vrai ! C’est la lâcheté !
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1. LA
CITATION DU JOUR.
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"Or,
pendant qu’ils étaient là, le temps où elle [Marie] devait enfanter se trouva
révolu. Elle mit au monde son fils premier-né, l’enveloppa de langes et le
coucha dans une crèche, parce qu’il n’y avait pas de place pour eux à l’hôtellerie."
(Luc 2, 6-7)
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2. COMMENTAIRES.
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Apparemment,
grâce à l’intervention de la Ligue dite de Défense des Droits de l’Homme, il
semble bien qu’il n’y ait pas davantage de place pour eux à la Mairie de
PARAY-LE-MONIAL. L'officine ténébreuse a en effet trouvé que cette crèche
était une offense aux droits de l’homme et a obtenu du Tribunal Administratif de le démontage de cette crèche qui offensait tant les farouches
défenseurs de… de quoi au fait ? De la laïcité la plus sectaire et la plus
répugnante qui se puisse imaginer.
Sachez
bien deux choses et même trois : premièrement, PARAY-LE-MONIAL est jumelé
avec BETHLEEM, le lieu de naissance de JÉSUS, deuxièmement, cette crèche a été
confectionnée par des personnes handicapées, chrétiennes et musulmanes de cette ville,
troisièmement, on ne voit pas comment un Tribunal peut ordonner cette décision
demandée par une Association qui, selon ses statuts, n’a pas d’intérêt à
défendre, sauf ceux des Loges dont elle est le fidèle relais.
« Oui,
il n’y avait pas de place pour eux à la Mairie ». Il semble, en
revanche qu’il y en ait beaucoup pour accueillir clandestins, et migrants, sans
aucun discernement, ni aucune justification politique : l'accueil est parfois très justifié, sans aucun doute, parfois, il est... disons-les choses, peu regardant.
Regardez la photo de la
crèche qui scandalise ces imbéciles. Et concluez vous-même.
J’aurais
bien envie de demander aux commerçants de PARAY-LE-MONIAL, de mettre dans leur
vitrine soit une crèche de leur cru, soit la photo de la crèche qui doit être
évacué de la mairie.
Voici un autre commentaire pris sur le site
"M’est avis que le maire de
Paray-de-Monial ne devrait pas en rester là : il y a d’autres recours
juridique. Il est absurde, comme le soutient l’avocate de la Ligue française de défense des droits de l’homme et du citoyen (LDDH), qu’une crèche de Noël placée dans un lieu le
transforme ipso facto en « lieu de culte » ! Faudrait-il donc déposer
toutes les peintures de Nativité de nos musées publics au motif que la présence
de ces œuvres pourrait transformer ces musées en lieux de culte ? Absurde
et grotesque ! En outre, la présence de cette Crèche, certes emblématique
de la période de Noël, n’était en mairie que pour souligner un aspect du
jumelage de Paray-le-Monial avec Bethléem où cette Crèche et ses personnages
ont été fabriqués par des handicapés, chrétiens et musulmans,
soutenus par une association d’aide promue par la mairie ! Des Crèches
identiques sont d’ailleurs vendues, au profit de l’association dans un musée de
la ville sans que personne n’y trouve à redire… L’action de la LDDH est
odieuse et la décision du tribunal contestable. Qu’elle soit donc
contestée !
La justice a ordonné aujourd’hui
le retrait de la crèche installée dans le hall d’accueil de la mairie de
Paray-le-Monial (Saône-et-Loire), a-t-on appris aujourd’hui auprès de l’avocate
du demandeur. « L’exécution de la décision du maire de Paray-le-Monial
exposant une crèche de Noël à l’intérieur de l’hôtel de ville est
suspendue », indique dans son jugement le tribunal administratif de Dijon,
saisi en référé suspension. « La justice administrative a estimé que
cette crèche était contraire au principe de neutralité qui doit être observé
dans les services publics », a expliqué à l’AFP le conseil de la Ligue des
droits de l’Homme (LDDH), Me Sophie Mazas, à l’initiative du recours
judiciaire. Le tribunal a également condamné la commune à payer 1000 € à la
LDDH. « On n’est pas opposé à l’installation de crèches mais pas dans
un endroit où vous allez voter. La mairie n’est pas un lieu de culte », a
ajouté Me Mazas. « Cette crèche a une valeur culturelle », a souligné
pour sa part le maire LR de Paray-le-Monial, Jean-Marc Nesme. « C’est
inimaginable. Je ne fais que respecter une convention d’échanges culturels
entre Paray-le-Monial et Bethléem, signée le 9 septembre 2003 sous couvert du
Consulat général de France à Jérusalem et de Yasser Arafat », a fait
valoir l’édile assurant qu’il paiera « de (s)a poche » les 1000 €
demandés par la justice."
Telle est donc la crèche qui fait scandale : comparez sa taille avec celle du sapin ! Et voyez combien le scandale est énorme !
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